jueves, 30 de agosto de 2012

SEPTIEMBRE EN LA SALLE PLEYEL


Le St Louis Symphony 

ouvre la saison

David Robertson, direction
Christian Tetzlaff, violon


Vendredi 7 septembre, 20h

Pour ouvrir brillamment la saison 2012-2013, la Salle Pleyel a le grand plaisir d’accueillir, dans le cadre de sa première tournée européenne depuis quinze ans, le St. Louis Symphony et son chef passionné David Robertson pour leur unique escale française. Accompagnée du violonisteChristian Tetzlaff, soliste associé à l’événement, la phalange originaire du Missouri propose de confronter de grands classiques du répertoire symphonique, Brahms et Beethoven, à des œuvres américaines plus contemporaines d’Elliott Carteret George Gershwin.

 Roberto Alagna
La Navarraise – Le dernier jour d’un condamné
Samedi 29 septembre, 20h
Deux (re)découvertes seront au programme de ce concert autour du ténor Roberto AlagnaLa Navarraise de Jules Massenet et Le Dernier jour d’un condamné de David Alagna, créé avec succès en 2007 et enregistré par Deutsche Grammophon.
Ce diptyque sera l’occasion pour Roberto Alagna de retrouver deux rôles magnifiques qu’il a déjà chantés. Il partagera la scène avec une éblouissante palette de chanteurs, dont la mezzo-soprano Karine Deshayes, l’Orchestre National de France et Les Cris de Paris sous la direction de Frédéric Chaslin.

Lucerne Festival Academy Orchestra,
le XXe à l’honneur
Pierre Boulez, direction
Deborah Polaski, soprano
Dimanche 9 septembre, 16h
Entouré des jeunes musiciens de la prestigieuse académie de Lucerne, Pierre Boulez, son fondateur et directeur artistique, aborde pour ce concert le répertoire le plus emblématique et le plus cher à son cœur. Inspirée par Faulkner et Shakespeare, Sound & Fury (1999) de Philippe Manoury requiert un effectif fourni.
L’œuvre oppose deux blocs spatialisés de cuivres et de cordes. Conçue pour ensemble orchestral et dispositif électronique (ingénieurs de l’IRCAM aux commandes),Speakings de Jonathan Harvey (2008) interroge la relation entre musique et parole. Enfin, la grande Deborah Polaski interprète le monodrame Erwartung de Schönberg (1909) : 426 mesures sans réitération, disant « l’angoisse d’une femme qui attend son amant au cœur d’une forêt sombre »

www.sallepleyel.fr/ 

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