domingo, 30 de octubre de 2022

UNDER THE SUN: AROUND THE WORLD IN 21 HOUSES BY ROLAND BEAUFRE. MUSÉE YVES SAINT-LAURENT, MARRAKECH

Photographs by Roland Beaufre, Foreword by Roberto Peregalli and Laura Sartori Rimini and Rupert Thomas

Dreamy tropical estates curated by the most renowned interior designers and tastemakers come alive in this vibrant collection of images brimming with sumptuous style.

French photographer Roland Beaufre’s debut monograph showcases some of the most exclusive, elegant properties under the sun, offering a glimpse into the private retreats of style icons, designers, and creatives who found solace in special, sun-washed places.

Whether situated in a secluded desert, along the Mediterranean coastline, or on a Caribbean beach, each property exudes decadence and warmth. 

From the villa of Bernard-Henri Lévy and Arielle Dombasle in Tangier to Farah Diba Pahlavi’s house in the Moroccan village of Taroudant, and from Henri Garelli’s Provençal-style abode in Corsica to Deborah Turbeville’s home in San Miguel de Allende, Mexico. 

And exotic palaces in India and Thailand, readers will discover twenty-one gorgeous properties whose interior design, architecture, and landscapes capture the vibrancy of these lush locales. 

With forewords penned by the founders of Studio Peregalli and Rupert Thomas accompanying Beaufre’s timeless photographs, this new volume will inspire wanderlust among interior design and  tecture aficionados everywhere.

About The Author

Roland Beaufre is a French interiors photographer who regularly contributes to The World of Interiors, Vogue, and many other publications. He studied at the École des Beaux-Arts in Paris and has published several books on great houses and interiors. Philosopher Roberto Peregalli and architect Laura Sartori Rimini founded Studio Peregalli, an interiors and architecture firm, in Milan in the early 1990s. Rupert Thomas was the editor in chief of The World of Interiors for twenty-two years.

https://www.rizzoliusa.com/book/9780847872602/



MUSÉE YVES SAINT LAURENT, MARRAKECH


EXPOSITION EN COURS

LE MAROC DE THÉOPHILE-JEAN DELAYE (1896-1970)

DU 17 SEPTEMBRE 2022 AU 15 JANVIER 2023

Le Musée Yves Saint Laurent Marrakech consacre une exposition  à Théophile-Jean Delaye, cartographe et illustrateur du Maroc, du samedi 17 septembre 2022 au dimanche 15 janvier 2023.

Cette exposition s’inscrit dans le cadre d’une convention de partenariat, signe en juin 2020, par le Muse des civilisations de l’Europe et de la Mditerrane (Mucem) Marseille et la Fondation Jardin Majorelle Marrakech.

Conçue avec le partenariat exceptionnel du Mucem, cette exposition retrace le parcours de Théophile-Jean Delaye au Maroc grâce à une sélection de 120 oeuvres, dont une partie significative provient du Mucem. 

Le musée national, basé à Marseille, a fait l’acquisition de ces oeuvres auprès des descendants de l’artiste en avril 2019.

L’exposition bénéficie également des généreux prêts de la famille de l’artiste. Théophile-Jean Delaye fut le premier cartographe scientifique des reliefs montagneux du sud du Maroc, notamment du Toubkal, dans les années 1930. Son oeuvre picturale considérable est autant portée par un regard scientifique qu’artistique.

Né dans le Dauphiné, au pied des Alpes françaises, Théophile-Jean Delaye a ressenti très tôt l’attirance de la haute montagne. 

Tous ses livres et tous les articles qu’il a publiés dans la Revue de géographie du Maroc entre 1930 et 1940 montrent bien que ce n’est pas seulement en cartographe qu’il s’intéresse à la montagne, mais aussi en alpiniste, voire « en rochassier » comme il le dit lui-même.

Cette montagne marocaine lui est si chère qu’il a le souci de la préserver en étant à l’origine de la création, dès 1942, du Parc naturel du Toubkal, le premier parc naturel marocain, qui deviendra le Parc national de Toubkal. C’est également lui qui a créé la section marocaine du Club alpin français, qui célèbre ses 80 ans cette année.

Cette approche scientifique de la montagne n’en exclut pas la dimension esthétique qu’il exprime ensuite dans son oeuvre dessinée et peinte.

 Commissariat : Mireille Jacotin, François Larbre

Scénographie : Jasmin Oezcebi

Dossier de presse :
Français
Anglais
Arabe

Brochure :
Français
Anglais
Arabe

Jusqu’au 15 janvier 2023

IL GIARDINO È BELLEZZA ALLA PORTATA DI TUTTI: INTERVISTA A MARCO MARTELLA

Parliamo con Marco Martella, curatore di parchi e giardini storici, punto di riferimento in Europa per quanto riguarda la storia, la cultura e l'arte dei giardini, autore di vari libri, tra cui il suo ultimo "Un piccolo mondo, un mondo perfetto"


http://www.ponteallegrazie.it/scheda-... ) e curatore della rivista in lingua francese "Jardins"  (http://www.editionsdusandre.com/editi... ).


CENTENAIRE ALBERT IER. EXPOSITION RAOUL GUNSBOURG, MUSIQUE, OPÉRA ET D´AUTRES CÉLÉBRATIONS À MONACO

S.A.S. le Prince Albert II, très attaché à l’héritage intellectuel et moral des membres de sa famille, a tenu à ce qu’une série de manifestations commémoratives soient organisées à l’occasion du centenaire, en 2022, du décès de son trisaïeul le prince Albert Ier (1848-1922).

Le Souverain a chargé un comité, réunissant plusieurs entités de la Principauté, de préparer un calendrier d’événements et d’actions, dans le dessein d’honorer la mémoire de ce prince emblématique, savant, humaniste et mécène, mais aussi, et de manière complémentaire, de proposer un travail scientifique comportant notamment des publications, la réalisation d’un portail Internet, et un colloque pluridisciplinaire.

Ces célébrations se dérouleront aussi à l’étranger, en Norvège et au Portugal notamment, compte tenu des nombreux voyages et de l’appartenance du prince à de nombreuses sociétés savantes européennes et mondiales. 

Plusieurs événements marqueront l’engagement artistique du prince Albert Ier en Principauté. 

Une rétrospective du peintre Louis Tinayre, qui a accompagné le souverain dans toutes ses campagnes océanographiques à partir de 1904, sera présentée à la salle du quai Antoine Ier à l’été 2022, en partenariat avec la Direction des Affaires culturelles. 

La musique, emblématique du Monaco « Belle Époque », sera à l’honneur avec un concert hommage de l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo, dans la Cour d’honneur du Palais, où seront notamment exécutées les œuvres créées spécialement par Massenet et Saint-Saëns pour l’inauguration du Musée océanographique en 1910. 

Une représentation de La Damnation de Faust, de Berlioz, sera proposée par Jean-Louis Grinda pour la Fête nationale 2022. Cette programmation fait écho à la première version scénique de l’œuvre, donnée à Monte-Carlo le 18 février 1893, qu’avait soutenue « passionnément » le prince Albert Ier et dont plus tard il enregistrera lui-même des morceaux sur son phonographe. 

En parallèle, une exposition, organisée par l’Opéra de Monte-Carlo, au Grimaldi Forum, sera consacrée à Raoul Gunsbourg (1860-1955), directeur et metteur en scène emblématique. 

Nommé à la tête de l’Opéra par le prince Albert Ier en 1892, il frappa un grand coup avec la création de La Damnation, qui consacra sa réputation dans le monde entier.

Exposition Raoul Gunsbourg

S’il est un personnage emblématique de la direction d’opéra, c’est bien Raoul Gunsbourg. Par sa longévité (directeur  de l’Opéra de Monte-Carlo de sa nomination par le prince Albert Ier en 1892 jusqu’à 1951), son audace créatrice (d’innombrables premières mondiales à Monte-Carlo parmi lesquelles L’Enfant et les sortilèges de Ravel, La Rondine de Puccini, Le Jongleur de Notre-Dame de Massenet, Hélène de Saint-Saëns, Pénélope de Fauré…). 

Son flair artistique pour s’attacher les plus grands chanteurs (Enrico Caruso, Féodor Chaliapine, Nelly Melba…), sa roublardise (des dizaines d’anecdotes, cocasses le plus souvent) jusqu’à sa fin un peu triste (comme il se doit à l’opéra), on peut le considérer comme un exemple si ce n’est un maître.

Parlant d’égal à égal avec les plus grands artistes et créateurs, démiurge imaginatif cultivant avec talent une certaine mauvaise foi, Raoul Gunsbourg mérite cet hommage que l’Opéra de Monte-Carlo souhaite lui rendre afin de mesurer concrètement son apport inestimable à l’art en Principauté. 

Nous le ferons par cette exposition que nous vous offrons tel un beau voyage plein de richesses et de surprises.

https://www.opera.mc/fr/saison2021-2022/centenaire-albert-ier-181

sábado, 29 de octubre de 2022

DAQUIN, LE COUCOU . PIÈCES DE CLAVECIN. ET OUI, SOUVENIRS, CONSERVATOIRE "CARLOS LÓPEZ BUCHARDO" ET L´OPÉRA À LA MONNAIE, "BASTARDA"


From scanned Ampico piano roll No. 52553, digitally restored with midi softwares and modern piano samples. (139)


ET AUSSI, 

THÉÂTRE DE LA MONNAIE, GÉNÈVE


THE HARDEST THING TO GOVERN IS THE HEART.— ELIZABETH I TUDOR

Enfant bâtarde devenue monarque idolâtré, femme collectionnant les favoris passée à la postérité sous le surnom de « Virgin Queen » : la reine Elizabeth I d’Angleterre (1533-1603) suscite depuis plusieurs siècles la fascination des historiens, des poètes, des dramaturges, des peintres et… des compositeurs ! Gaetano Donizetti a consacré pas moins de quatre opéras à l’époque élisabéthaine : Elisabetta al castello di Kenilworth (1829), Anna Bolena (1830), Maria Stuarda (1834) et Roberto Devereux (1837).

Avec Bastarda, le metteur en scène Olivier Fredj et le chef d’orchestre Francesco Lanzillotta se proposent de refondre cette tétralogie officieuse en une fresque ambitieuse lors de deux soirées retraçant la vie d’Elizabeth I. Puisant dans les moments musicaux et dramatiques emblématiques des œuvres originales, ils composent une partition entièrement nouvelle au profit d’une dramaturgie inédite. Adoptant une perspective à la fois historique et psychologique, ce projet explore la figure complexe d’une femme de pouvoir partagée entre la raison d’État et ses sentiments les plus intimes.

Il en résulte une narration de six heures, réparties en deux soirées, à voir idéalement l’une et l’autre : « For better, for worse... » relate l’enfance et l’accession au trône d’Elizabeth, et « Till death do us part » raconte son inévitable déclin.

DISTRIBUTION

Direction musicale & arrangements musicauxFRANCESCO LANZILLOTTA
Concept artistique, script originale & mise en scèneOLIVIER FREDJ
Adaptation et dialogueYANN APPERRY, OLIVIER FREDJ
Collaboration artistiqueCECILIA LIGORIO
Décors & éclairagesURS SCHÖNEBAUM
CostumesPETRA REINHARDT
VidéoSARAH DERENDINGER
ChorégraphieAVSHALOM POLLAK
Collaboration artistiqueCECILIA LIGORIO
DramaturgieMARIE MERGEAY
Chef des choeursJORDI BLANCH TORDERA

ElisabettaDAVINIA RODRIGUEZ, FRANCESCA SASSU
Anna BolenaSALOME JICIA
LeicesterENEA SCALA
EnricoLUCA TITTOTO
Giovanna Seymour & SaraRAFFAELLA LUPINACCI
SmeatonDAVID HANSEN
CecilGAVAN RING
Amalia RobsartVALENTINA MASTRANGELO
Maria StuardaLENNEKE RUITEN
Roberto DevereuxSERGEY ROMANOVSKY
NottinghamVITTORIO PRATO
The ChildNEHIR HASRET, ALEXANDRA HERZOG

Orchestre symphonique et choeurs de la Monnaie
Académie des choeurs de la Monnaie s.l.d. de Benoît Giaux

ProductionDE MUNT / LA MONNAIE




ANNÉES 80. MODE, DESIGN ET GRAPHISME EN FRANCE.LE MUSÉE DES ARTS DÉCORATIFS, PARIS

du 13 octobre 2022 au 16 avril 2023

Le musée des Arts décoratifs célèbre les années 1980 à travers une grande exposition présentée dans la nef. Cette décennie historique résonne en France comme un tournant à la fois politique et artistique dans les domaines de la mode, du design et du graphisme, depuis l’élection de François Mitterrand en 1981 jusqu’à la chute du mur de Berlin en 1989.

700 œuvres – objets, mobilier, silhouettes de mode, affiches, photographies, clips, pochettes de disques et fanzines – retracent cette époque frénétique synonyme d’éclectisme, où le postmodernisme ouvre tous les possibles artistiques.

Les années 80 voient naître une nouvelle génération de designers – Olivier Gagnère, Elizabeth Garouste et Mattia Bonetti, Philippe Starck, Martin Szekely… – dans un contexte propice à la liberté d’expression. La silhouette, elle aussi, se libère des injonctions de style et certains créateurs de mode sont élevés au rang de « superstars » comme Jean Paul Gaultier ou Thierry Mugler. 

La publicité, le design graphique et l’audiovisuel connaissent leurs années fastes avec Jean-Paul Goude, Jean-Baptiste Mondino et Étienne Robial. De la musique new wave au post-punk en passant par le hip-hop  : c’est toute une histoire de la fête qui s’écrit dans des lieux mythiques fréquentés par les noctambules du Tout-Paris.

La scénographie de l’exposition, conçue comme un carambolage de formes et de couleurs, a été confiée au designer Adrien Rovero.

L’exposition est rythmée par trois thématiques qui reflètent le grand télescopage des idées et des formes propres à la décennie : une nouvelle ère politique et culturelle, le design en effervescence et le look des années 80.

Inaugurant le parcours dans les galeries côté Tuileries, l’élection de François Mitterrand en 1981 annonce un changement décisif. L’affiche au slogan « La force tranquille » du publicitaire Jacques Séguéla, commandée par Mitterrand ouvre une nouvelle ère de communication visuelle globale et signe l’arrivée du marketing électoral. 

Les « grands travaux » architecturaux sont accompagnés d’identités visuelles : des commandes sont passées à Grapus pour la Villette et le Louvre, et à Jean Widmer pour le musée d’Orsay.

Pour promouvoir le mobilier contemporain, le nouveau président fait appel à cinq architectes d’intérieur pour aménager les appartements privés de l’Élysée : Marc Held, Ronald Cecil Sportes, Philippe Starck, Annie Tribel et Jean- Michel Wilmotte.

C’est sous l’impulsion de l’emblématique ministre de la Culture Jack Lang qu’est inaugurée la Fête de la musique le 21 juin 1982. 

Il œuvre aussi à une reconnaissance publique de la mode avec la création de l’Institut français de la mode (IFM) en 1986, l’organisation de défilés dans la Cour carrée du Louvre, les Oscars de la mode...

Les médias et l’audiovisuel connaissent un essor sans précédent. Étienne Robial crée le concept d’habillage télévisuel pour Canal+ puis pour M6 ou encore la 7. 

Cette multiplication des chaînes de télévision entraîne l’âge d’or du film publicitaire avec des réalisateurs emblématiques tels Étienne Chatiliez, Jean-Paul Goude ou Jean-Baptiste Mondino. 

La presse écrite se transforme : Claude Maggiori repense les couvertures de « Libération » et l’« art » du slogan investit tous les domaines……………..

https://madparis.fr/ExpoAnnees80


PRESIDENTE LULA DA SILVA, ELECTO A LA PRESIDENCIA DE BRASIL Y, IL TEATRO ALL’ANTICA DI SABBIONETA (LOMBARDIA)

Noticias Mundiales
30 de octubre de 2022

Luiz Inácio Lula da Silva resulta electo para la presidencia de Brasil


E ANCHE....

TEATRO ALL´ANTICA DI SABBIONETA

Vespasiano Gonzaga conobbe l’architetto Vincenzo Scamozzi, allievo del Palladio, nel 1587, durante il soggiorno a Venezia per ricevere il titolo di patrizio veneto. Scamozzi accettò l’invito del duca di recarsi a Sabbioneta con il progetto del teatro di corte. Il 10 maggio 1588 l’architetto consegnò il disegno di uno spazio legato alla concezione antica con importanti innovazioni che piacquero al committente.

Tornato a Venezia lo Scamozzi fu presente nuovamente a Sabbioneta nel 1589 per seguire i lavori di costruzione, portando con sé lo stuccatore Bernardino Quadri, artefice del loggiato corinzio interno, e alcuni pittori che affrescarono le pareti con due archi di trionfo all’antica, un finto loggiato con personaggi dell’epoca e una serie di imperatori romani dipinti a monocromo.

Fece costruire la scena fissa traendo ispirazione del trattato di Sebastiano Serlio (1475 – 1554).

Terminato il teatro nel 1590, lo Scamozzi affermò che aveva realizzato uno spazio in grado di contenere buon numero di spettatori, con alcuni camerini disposti da un capo (foyer) e all’atro (i camerini per gli attori), nonché la zona per i musici. Munì il teatro di una gradinata destinata alla nobiltà, sovrastata da una loggia per le gentildonne. 

Sul palco era collocata una scena fissa formata da una prospettiva di edifici, costruiti in legno dipinto, i quali formavano una gran piazza da cui si dipartiva una via centrale.

La loggia è il luogo dell’epifania del principe (manifestazione della divinità in forma visibile), nuovo imperatore tra i Cesari dipinti che lo circondano. La copertura è a carena di nave rovesciata; con un

a volta in cannicciato dipinta a cielo doveva dare la sensazione di essere un anfiteatro antico. La scena priva dell’arcoscenio è unita ai due archi di trionfo dipinti per mezzo di botteghe. La città ideale costruita sulla scena continua nelle rovine dipinte, che testimoniano la grandezza dell’Impero romano.

Il busto di Cibele inserito in una delle nicchie è collocato in quanto divinità protettrice delle città fortificate, ma anche personificazione di Sabbioneta: un gioco intellettuale tipico del tardo Manierismo.

Non solo il teatro, ma tutta la città di Sabbioneta trae ispirazione dai modelli classici, così come recita l’iscrizione in lettere capitali che si ripete per quattro volte lungo la cornice marcapiano posta sulle facciate esterne dell’edificio: “ROMA QVANTA FVIT IPSA RVINA DOCET” (Quanto grande sia stata Roma, la stessa [sua] rovina [lo] insegna), a dichiarare al colto visitatore il legame profondo e addirittura la matrice creativa, tra Sabbioneta e Roma.

La città moderna voluta da Vespasiano Gonzaga, ha infatti come costante modello di riferimento l’Urbe, ricca di vestigia antiche, testimonianza della gloria e della potenza dell’Impero romano. 

Sulle pareti laterali del teatro, in corrispondenza dell’orchestra, racchiusi dall’architettura dipinta di due archi di trionfo, campeggiano infatti vedute di Roma: a sinistra, guardando la scena, è rappresentata la piazza del Campidoglio, in cui il Palazzo Senatorio mantiene l’aspetto medievale con i due torricini laterali, mentre il Palazzo dei Conservatori, a destra, mostra già l’aspetto attuale. 

Di fronte è riconoscibile invece la Mole Adrianea con il ponte di Castel Sant’Angelo. Si tratta di vedute topografiche mediate dalle incisioni tratte dal volume L’antichità di Roma di Andrea Fulvio, edito a Venezia nel 1588, conservato al tempo nella biblioteca ducale.

Sopra l’arco del Campidoglio la scritta: QVANTVM ROM(ae) (extat) A RVINA D(icatum), e sulla Mole Adrianea la dedica all’imperatore Rodolfo II, che aveva innalzato Vespasiano al rango di duca:

D(ivo) RVDOLFO II CAES(ari).

Sull’acroterio, ovvero sulla sommità, sono collocate le statue in stucco di Ercole, Minerva, Nettuno, Bacco, Artemide (Diana), Apollo, Mercurio, Venere, Marte, Efesto, Era e Giove.

Le effigi dei Cesari sono dipinte a monocromo a figura intera sulla parete di fondo della loggia. 

L’imperatore centrale è Tito Flavio Vespasiano, il quale si sfila la corona d’alloro per porgerla al duca, che durante le rappresentazioni lì si trovava assiso, quasi a ricevere l’investitura cesarea della sua “Novella Roma”.

Nelle nicchie alle estremità del colonnato si riconoscono, a destra i busti degli imperatori Augusto e Traiano, a sinistra Alessandro Magno, il più grande condottiero dell’antichità, posto a celebrare le virtù guerriere del duca di Sabbioneta.

Dal 1996 il vuoto quasi metafisico del palcoscenico è stato riempito con una fantasiosa ricostruzione della scena perduta.

https://www.visitsabbioneta.it/it/monumenti-luoghi/il-teatro-allantica/

Y. SAINT LAURENT AT HOME.PROCHAINEMENT, ASSOULINE. TEATRO MASSIMO DI PALERMO, REQUIEM PER LE VITTIME DELLA MAFIA, 12/11/22


Yves and Pierre are true collectors—the kind of humanists who have survived into the present—who collect with a concern for literary and historical knowledge. Their homes seem to be haunted by countless storybook characters.

Jacques Grange

Yves Saint Laurent and Pierre Bergé were worldbuilders of an unparalleled caliber; true tastemakers who approached each interior project with imagination and rigeur, crafting grand spaces infused with personality and provenance. 

Connoisseurs in every sense of the word with a deep knowledge and appreciation for art and interior design, the two built and lived among a spectacular and carefully-considered collection. 

In close collaboration with world-class designer Jacques Grange, they crafted private spaces full of wonder and enchantment.

Readers are invited to discover the couple’s savoir-faire through the most exquisite photographs of the interiors and gardens of Yves’s Château Gabriel, the dacha in Deauville; the Villa Majorelle in Marrakech; the apartment on rue de Babylone and his maison de couture on avenue Marceau. 

With photographs by Marianne Haas, and texts and special contributions from Jacques Grange, Catherine Deneuve, Betty Catroux, Laurence Benaïm, Louis Benech and other members of Yves’ tribe, the creative couple’s legacy lives on.

https://eu.assouline.com/products/yves-saint-laurent-at-home


E A PALERMO, TEATRO MASSIMO

Palermo, concerto in memoria vittime di mafia a 30 anni dalle Stragi


 12 Ottobre 2022

Il 12 novembre si terrà a Palermo la Giornata conclusiva dell'anno di commemorazione nel trentennale delle Stragi di Capaci e Via d'Amelio.

coristi teatro massimo

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Il 12 novembre si terrà a Palermo la Giornata conclusiva dell’anno di commemorazione nel trentennale delle Stragi di Capaci e Via d’Amelio. Per l’occasione, verrà intitolata l’aula bunker dell’Ucciardone ai giudici Giovanni Falcone e Paolo Borsellino e verrà suonato il Requiem per le Vittime della Mafia al Teatro Massimo, in diretta video nella Chiesa di San Domenico.

Presenti anche il Presidente della Repubblica Sergio Mattarella e il Ministro della Giustizia. PALERMOLIVE