EXPOSITION MARATHON, LA COURSE DU MESSAGER. MUSÉE DE LA POSTE, PARIS


Quel lien y a-t-il entre Philippidès, qui annonce aux Athéniens la victoire grecque lors de la bataille de Marathon et le Facteur Cheval ? Ils sont porteurs de messages. Une exposition dont le parcours thématique entraîne le visiteur dans une déambulation inspirante entre exploits sportifs, patrimoine historique et art contemporain.

15 mai 2024, 11:00 - 15 septembre 2024, 18:00

Jean-Marc Huitorel et Dominique Marchès, co-commissaires, ont conçu une exposition particulièrement riche sur le thème de la course et du message. La course comme moyen de déplacement, et bien plus encore comme expérience à part entière. Avec en particulier une approche de la course comme porteuse de message, où la course et son message apparaissent indissociables.

Le marathon, en tant que discipline olympique, a été inventée par l’académicien Michel Breal, ami de Pierre de Coubertin, pour les premiers Jeux Olympiques modernes à Athènes en 1896. Elle s’inspire de la légende du coureur de Marathon, point de départ de l’exposition. 

Ce clin d’œil à l’actualité ne doit rien au hasard. Labellisée Olympiade culturelle par Paris 2024, cette exposition a à cœur de faire vivre les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, au-delà des épreuves sportives, par une mise en perspective des plus originales !

La légende du coureur de Marathon

En 490 av. J.-C., les Perses attaquent la Grèce et débarquent sur la plaine de Marathon. Les Grecs, menés par le général Miltiade, finissent par vaincre les Perses après une longue bataille.

Selon la légende, un messager nommé Philippidès est envoyé à Athènes, distante d’environ 40 km pour annoncer la victoire. À son arrivée, il se serait écrié « Nikomen ! » (Nous avons gagné !) avant de s’effondrer et de mourir d’épuisement.

Les messagers tels que Philippidès sont, en quelque sorte, les ancêtres des facteurs. Cette légende porte en elle les valeurs qui s’inscriront au cœur de l’histoire du courrier postal : dévouement, célérité et efficacité !

Tout au long de l’exposition, sportifs et facteurs seront tour à tour mis à l’honneur : du coureur de Marathon, Philippidès lui-même, aux champions olympiques Alain Mimoun et Boughéra El Ouafi, sans oublier le fameux Facteur Cheval.

Que les moins sportifs se rassurent, ce n’est pas une course de fond que le Musée de La Poste leur propose, mais une déambulation intellectuelle, émotionnelle et artistique autour de la course et de son message, en perpétuelle évolution. A travers les 160 œuvres et supports qui la composent : des extraits de films, des affiches et des journaux, des objets sportifs, des textes, des bandes dessinées et autres courses graphiques le public sera invité à parcourir les différents espaces de l’exposition, évocation des méandres du message, afin de découvrir les multiples facettes de la course et du messager.

https://www.museedelaposte.fr/fr/expositions-et-evenements/marathon-la-course-du-messager


MEXICA. DES DONS ET DES DIEUX AU TEMPLO MAYOR0

3 avril 2024  08 sept. 2024

Le fruit des recherches conduites au temple principal de la culture mexica est présenté pour la première fois en Europe. Une exposition unique dans l’histoire de l’archéologie mésoaméricaine.

Le 21 février 1978, les sous-sols de la grouillante ville de Mexico livrent l’un des secrets les plus exceptionnels de la Mésoamérique : les vestiges de l’ancienne cité de Tenochtitlan, capitale de la civilisation mexica longtemps nommée à tort aztèque et de son enceinte sacrée, le Templo Mayor. La découverte fortuite, par des terrassiers de la Compagnie d’électricité, d’un énorme monolithe circulaire figurant la déesse de la lune Coyolxauhqui inaugure alors un demi-siècle de fouilles archéologiques d’une ampleur inédite. Car si l’histoire de l’Empire mexica (1325-1521) est largement connue et documentée, sa culture demeurait ignorée dans les domaines des rituels, de l’art et de l’architecture.

L’exposition, organisée en association avec l’Institut national d’anthropologie et d’histoire de Mexico (INAH), lève le voile sur ces découvertes. Parmi les plus frappantes figurent 204 offrandes que le peuple mexica déposait à ses divinités les plus vénérées pour s’insinuer auprès d'elles, leur rendre hommage et, quelquefois, tenter d’obtenir certaines faveurs en retour. Ces dons de toutes sortes font écho à l’exorbitant pouvoir politique et économique que cet empire avait atteint à l’arrivée des conquistadors espagnols en 1519. Leur étude révèle non seulement une société dynamique et prédatrice, mais aussi une excellence artistique et une pensée symbolique et religieuse complexe.

COMMISSAIRE GÉNÉRAL

Leonardo López Luján, Directeur projet Templo Mayor, Museo del Templo Mayor INAH, Mexico


COMMISSAIRES ASSOCIÉS

Fabienne De Pierrebourg, Responsable des collections Amériques, musée du quai Branly Jacques Chirac, Paris

Steve Bourget, Responsable des collections Amériques, musée du quai Branly Jacques Chirac, Paris

https://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/expositions/details-de-levenement/e/mexica


3O ANS MAINTENANT. FARINELLI, EL NACIMIENTO DE UNA VOZ (2002) (V.O.S.). MOSTRA PALERMO MON AMOUR, ISTITUTO ITALIANO DI MADRID

 



E ANCHE A MADRID, ISTITUTO ITALIANO DI CULTURA.MOSTRA
 
El Istituto Italiano di Cultura di Madrid
presenta la exposición
PALERMO MON AMOUR
Enzo Sellerio, Letizia Battaglia, Franco Zecchin, Fabio Sgroi, Lia Pasqualino y con la participación de Begoña Zubero
Un proyecto de la Fondazione Merz comisariado por
Valentina Greco

Del 8 de mayo al 29 de junio 2024
 
Istituto Italiano di Cultura de Madrid
C/ Mayor, 86, Madrid
 
 
LIA PASQUALINO. Letizia Battaglia con un degente dell'ospedale psichiatrico, Palermo, 1986 © Lia Pasqualino
 
 
FRANCO ZECCHIN. Laboratorio teatrale allo Psichiatrico. Palermo, 1983. © Franco Zecchin
 
 
Tras el éxito conseguido en la Fondazione Merz de Turín, el Istituto Italiano di Cultura di Madrid tiene el honor de presentar en su espacios expositivos, desde el 8 de mayo hasta el 29 de junio de 2024, la exposición Palermo Mon Amour, inédita “profundización” en la historia de una ciudad contradictoria y visionaria devuelta a través del objetivo de la cámara fotográfica de extraordinarios autores como: Enzo Sellerio, Letizia Battaglia, Franco Zecchin, Fabio Sgroi y Lia Pasqualino

De forma excepcional para esta etapa en Madrid, gracias a la colaboración con el Instituto Cervantes, el proyecto expositivo se enriquece con la mirada de Begoña Zubero, con una selección de fotografías realizadas durante su larga estancia en Palermo durante el año 2020.
 
 
LIA PASQUALINO. L'oca di Piazza Magione, Palermo, 1987 © Lia Pasqualino
 
 
La exposición, bajo el comisariado de Valentina Greco, presenta, a través de la mirada de cinco fotógrafos italianos, una visión de la historia de Palermo desde los años 50 hasta 1992, explorando el imaginario poético de una ciudad en continua “deflagración” y no siempre recompuesta en su complejidad. 

A la visión amable, jocosa, culta y anti-retórica que caracterizan los años 50 y 60, desgarrada por escenarios de miseria y degradación, pero también atravesada por una tensión hacia el renacimiento civil y económico, siguen los turbulentos años 70, las revoluciones del movimiento punk, las manifestaciones estudiantiles y los hechos de crónica feroz que salpican la vida cotidiana de Palermo hasta el 1992, el año en que parecía que todo podía cambiar. 

Afloran del blanco y negro hombres y mujeres: símbolos como los magistrados Giovanni Falcone y Paolo Borsellino; o Letizia Battaglia, a su vez, fotografiada por Lia Pasqualino y Franco Zecchin. Aflora también el retrato de gente común, todos espectadores y al mismo tiempo protagonistas de una historia y de una humanidad en continuo devenir.
 
 
LETIZIA BATTAGLIA. Vucciria, Palermo, 1985 © Fotografia di | photography by Letizia Battaglia. Archivio Letizia Battaglia - Palermo, riproduzione riservata | All rights reserved.
 
 
Explica Valentina Greco, comisaria de la exposición: “La fotografía es un dispositivo necesario para experimentar un lenguaje que pueda narrar qué ocurre en una ciudad, qué es una ciudad. Realizar una fotografía significa participar en la felicidad, en la fragilidad, en la cotidianidad, en la excepcionalidad, en la ferocidad, en la hipocresía, en la afabulación, en la riqueza, en la miseria, en la maravilla de las situaciones colectivas, sean públicas o privadas. 

Las fotografías desvelan la implacable deconstrucción del tiempo, y revelan que entre dos situaciones se encuentra el desbarajuste, la deflagración.”
Con un salto en el presente, el recorrido de la exposición se enriquece del punto de vista y de las imágenes de la fotógrafa Begoña Zubero Apodaca (Bilbao, 1962). 

La investigación de Zubero va desde la exploración del espacio urbano hasta la abstracción de la fotografía subjetiva. En Palermo Mon Amour, Zubero toma inspiración de sus largas estancias en Italia, en los que se concentra en la arquitectura palermitana, interpretada como memoria viva de su pasado y de las influencias culturales recibidas. 

El espacio urbano se convierte en testimonio del carácter multicultural de la ciudad y de los cambios socio-políticos que ha sufrido, completando sin solución de continuidad el retrato esbozado por Sellerio, Battaglia, Zecchin, Sgroi y Pasqualino.
 
 
FRANCO ZECCHIN. Funerale di Giuseppe Impastato, militante comunista ucciso dalla mafia. Cinisi, Palermo, 1984 © Franco Zecchin
 
 
El título de la exposición se inspira en la novela Hiroshima Mon Amour de Marguerite Duras. 

La exposición está pensada como un paseo visual, con un ritmo trepidante y lleno de encuentros que recorre Palermo a través de más de sesenta fotografías de medio y gran formatocomponiendo el retrato-mosaico de una ciudad en un estado de excepción constante, de la cual la fotografía, junto con la escritura y el teatro, han sido atentos observadores y protagonistas.
 
“Estamos seguros que ningún visitante podrá permanecer indiferente a la fuerza rompedora de Palermo Mon Amour. A las miradas de estos extraordinarios fotógrafos que, a lo largo de los años, han gravitado alrededor de la capital de Sicilia, contando su presente y entregándolo, con sus imágenes, a la historia” – declara Marialuisa Pappalardo, directora del IIC di Madrid – “Agradezco a la Fondazione Merz haber aceptado la invitación para realizar la exposición en nuestros espacios y al Instituto Cervantes, especialmente a la sede de Palermo, por haber conseguido que esta etapa madrileña sea aún más especial gracias a las fotografías sobre la Palermo contemporánea realizadas por Begoña Zubero”.
La exposición forma parte del programa de PhotoEspaña 2024.

WURRDHA MARRA. THE WORK OF FIRST NATIONS ARTISTS. 9 DE MAYO, DÍA DE EUROPA. CÍRCULO DE BELLAS ARTES

Welcome to Wurrdha Marra – meaning ‘Many Mobs’ in the Wurundjeri Woi Wurrung language. The name comes to the NGV from the Wurundjeri Woi Wurrung Cultural Heritage Aboriginal Corporation and supports the purpose of this space in sharing the work of First Nations artists, from emerging to senior figures, and across time and place.

For First Nations peoples around the world, art and design are part of a continuum where the past intersects with the present, different materials converge, and diverse perspectives come together. The central role of art in passing down important cultural knowledge is celebrated in this display through the diverse approaches that artists take to maintaining and regenerating customary cultural practices and iconography while also creating new forms of expression.

The works included in this inaugural hang are by emerging artists as well as senior figures across both time and place. Each of these artists has in their own way been at the forefront in creating new forms of expression, and in maintaining and regenerating customary cultural practices and iconography.

Great individual artists, working in Aboriginal-owned art centres or independently after studying at art school, continue to shape and transform art in Australia, inspiring many others to follow their example.

https://www.ngv.vic.gov.au/exhibition/wurrdha-marra/