domingo, 27 de abril de 2025

"TRÉSORS SAUVÉS DE GAZA: 5000 ANS D'HISTOIRE" À DÉCOUVRIR À L' IMA DE PARIS


Notas de paso: Si oriente Medio fue la cuna de la civilización, es posible que sea pronto su sepulcro. Si no se remedia cuanto antes, ya. Por razones- siempre atendibles dicen- de captación de recursos, de raza, de religión. "El hombre es un animal que mata" dijo Robert Badinter, responsable de la abolición de la pena de muerte en Francia en los años ochenta.

Jack Lang* es el responsable presidente del IMA de París y desde allí, el intelectual de siempre, en tiempos ministro de cultura,generoso y receptivo, lleva un barco que es difícil de maniobrar en estos tiempos. Gracias por su esfuerzo, por el equipo y por facilitar una vía negociadora siempre y de paz
Alicia Perris

Exposition à l’Institut du Monde Arabe à Paris présentant les richesses archéologiques de l’enclave palestinienne, avec des pièces parfois vieilles de plusieurs siècles.


*Douze présidents se sont succédés à la tête de l'Institut du monde arabe depuis sa fondation, en 1980. L'IMA est présidé par Jack Lang depuis 2013.

Né en 1939, diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris, Docteur en Droit et agrégé de Droit Public et de Sciences Politiques, Jack LANG a été professeur de Droit Public et Doyen de la Faculté de Droit de Nancy. En 1963, il crée et devient Directeur du Festival international de théâtre universitaire de Nancy avant de prendre la direction en 1972 du Théâtre National de Chaillot.
Sa carrière politique débute en 1977 comme Conseiller de Paris. Délégué national à la Culture du Parti Socialiste, directeur de la campagne pour les élections européennes de 1979, il est le porte-parole de la campagne présidentielle de François Mitterrand en 1981 qui le nomme ministre de la Culture après son élection, poste qu’il occupera jusqu’en 1986, puis de 1988 à 1993. Il cumule les fonctions de ministre de la Culture et de ministre de l’Éducation nationale de 1992 à 1993.
Maire de Blois de 1989 à 2000, il est également député pendant plus de 20 ans, d’abord du Loir-et-Cher, puis du Pas-de-Calais.
Après avoir enseigné à Nancy, il devient Professeur à l’Université Paris X – Nanterre et au Conservatoire National des Arts et Métiers.
En 1997, il devient Président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée Nationale. Il est également Président du jury au Festival du Film de Berlin et prend la direction du Piccolo Teatro de Milan.
De 2000 à 2002, il rejoint le gouvernement du Premier ministre Lionel Jospin en tant que ministre de l’Éducation nationale.
Membre du Bureau national du Parti Socialiste jusqu’en 2007, Jack Lang a également été Conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-Moon, sur la question de la piraterie internationale.
En 2013, le Président de la République François Hollande le nomme à la présidence de l’Institut du monde arabe.
Jack Lang est également l’auteur de très nombreux ouvrages et articles de référence.




"TRÉSORS SAUVÉS DE GAZA: 5000 ANS D'HISTOIRE" À DÉCOUVRIR À L'IMA • FRANCE 24

#exposition #gaza #culture



Exposition à l’Institut du Monde Arabe à Paris présentant les richesses archéologiques de l’enclave palestinienne, avec des pièces parfois vieilles de plusieurs siècles.


Rien n’est pire que l’abandon et l’oubli. Cette exposition, que je qualifierai de salut public, rend hommage à Gaza, vibrante et merveilleusement jeune.

Jack Lang, président de l'Institut du monde arabe




Depuis 2007, le Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH) est devenu le musée-refuge d’une collection archéologique de près de 529 œuvres appartenant à l’Autorité nationale palestinienne et qui n’ont jamais pu retourner à Gaza : ces amphores, statuettes, stèles funéraires, lampes à huile, figurines, mosaïque..., datant de l’âge du bronze à l’époque ottomane, forment un ensemble devenu une référence au vu des destructions récentes.


LE TÉMOIN D’UNE HISTOIRE COMPLEXE

Avec l’aide du MAH et le soutien de l’Autorité nationale palestinienne, l’IMA expose une sélection de 130 chefs-d’œuvre de cet ensemble, issu des fouilles franco-palestiniennes commencées en 1995, dont la spectaculaire mosaïque d'Abu Baraqeh, et de la collection privée de Jawdat Khoudery, offerte en 2018 à l’Autorité nationale palestinienne et présentée pour la première fois en France.


Cette exposition témoigne d’un pan de l’histoire inconnu du grand public : celui du prestigieux passé de l’enclave palestinienne, reflet d’une histoire ininterrompue depuis l’âge du bronze. Oasis vantée pour sa gloire et sa douceur de vie, convoitée pour sa position stratégique dans les enjeux égypto-perses, terre de cocagne des commerçants caravaniers, port des richesses de l’Orient, de l’Arabie, de l’Afrique et de la Méditerranée, Gaza recèle quantité de sites archéologiques de toutes les époques aujourd’hui en péril. La densité de son histoire est un trésor inestimable, dont l’exposition témoigne de la complexité.



LE PATRIMOINE DANS LA GUERRE

Au 25 mars 2025, l’Unesco observe, en se basant sur des images satellitaires, des dommages sur 94 sites cultuels gaziotes : 12 sites religieux, 61 bâtiments d’intérêt historique et/ ou artistiques, 7 sites archéologiques, 6 monuments et 3 dépôts de biens culturels mobiliers et 1 musée.


Un espace est dédié à la cartographie des bombardements, menée par différents groupes de recherches et accompagnée par un recensement des dernières découvertes archéologiques à Gaza, et par des photographies inédites de la ville du début du XXe siècle issues de la collection de l’École biblique et archéologique française de Jérusalem. Il abordera les questions relatives au patrimoine en temps de guerre, et particulièrement à Gaza où plus des deux tiers du bâti est détruit.




Exposition organisée par l'Institut du monde arabe en partenariat avec le ministère du Tourisme et des Antiquités de Palestine et le musée d'Art et d'Histoire de Genève.



https://www.imarabe.org/fr/agenda/expositions-musee/tresors-sauves-gaza-5000-ans-histoire


COSTA GAVRAS, LEGENDARIO. EN EL INSTITUT FRANÇAIS DE MADRID, PRESENTÓ MEMORIAS, PELÍCULA Y ASISTIÓ A REVISIONADOS DE SU FILMOGRAFÍA

Información, David Radin, del Institut Français

Audio y fotos, Alicia Perris

Compilación y webmaster, Julio Serrano 

El Institut français de Madrid rinde homenaje a Costa-Gavras con una retrospectiva especial de cuatro de sus películas más emblemáticas. El cineasta nos hace también el honor de presentar en preestreno su última película «El último suspiro» y la publicación en castellano de sus memorias «Ve a donde sea imposible llegar».

Programa completo

 Lunes 21 de abril – 19:30h

Presentación del ciclo y proyección de Z.

Martes 22 de abril

18:00h – Presentación del libro Ve a donde sea imposible llegar de Costa-Gavras con la coeditora de Providence Ediciones, seguida de firma de sus ejemplares y venta de libros en francés y en español.

19:30h – Proyección de Los raíles del crimen.

21:30h – Proyección de Arcadia


Miércoles 23 de abril – 19:30h

Preestreno de El último suspiro con la presencia de Costa-Gavras y Esteve Riambau, historiador, crítico y realizador cinematográfico y seguido de un Q&A al finalizar la proyección. La película se estrena en España el 25 de abril.


COSTA GAVRAS, UN DIRECTOR IMPRESCINDIBLE

Gran cineasta político desde Z (1969), Costa-Gavras nunca ha dejado de explorar las zonas grises de nuestras sociedades. Ya sea imaginando la desaparición de un periodista estadounidense en Chile en Missing (1982), el ascenso del fascismo en Music Box (1989) o la deshumanización del mundo laboral en Arcadia (2005), sus películas combinan lo íntimo y lo político.

Mikis Theodorakis, un músico griego y folklorista para la Historia, otro personaje mítico de los setenta y para la eternidad, compuso la banda sonora de varias de las películas de Costa Gavras. Abajo, la de Estado de Sitio, con Los Calchakis, para disfrutar en bucle. Theodorakis y Los Calchakis - Estado de sitio

A lo largo de su carrera, Costa-Gavras ha explorado diversos géneros manteniendo su compromiso con el cine como reflexión social y política, y ha desempeñado un papel importante en la preservación del patrimonio cinematográfico como Presidente de la Cinémathèque Française.

Una selección especial: Z, Los raíles del crimen y Arcadia

Del 21 al 22 de abril, el Institut français de Madrid presentó una retrospectiva incluyendo algunas de las películas más emblemáticas de Costa-Gavras, como Z, Los raíles del crimen o Arcadia, unas películas que exploran la lucha contra la injusticia, la corrupción política y los abusos de poder, combinando el suspense con una profunda reflexión social y política.

En marzo, recibió un César de Honor de manos de la actriz Karin Viard, que lo describió como «un hombre que nunca ha tenido miedo de desafiar a los poderosos. Cuando trabajas con él, es un amigo que te acoge a su mesa», declaró. Concluyó su homenaje diciendo: «Gracias Costa por demostrar que se puede hacer cine con fervor, espíritu e impacto. A veces basta una película para cambiar el mundo».

Presentación literaria: Ve a donde sea imposible llegar (en español)

En este libro, el artista habla de su juventud antes del éxito, revela anécdotas sobre el mundo del cine y recuerda las personas que han dejado huella en su vida y su arte.

Proyección de El último suspiro, en presencia del cineasta

El 23 de abril, los admiradores de Costa-Gavras se pudo descubrir en preestreno la última película del director, antes de su estreno en España el 25 de abril.

Presentada en competición oficial en el festival de San Sebastián el pasado mes de septiembre, El último suspiro, protagonizada por Denis Podalydès, de la Comédie-Française, y en la que aparecen Angela Molina y Charlotte Rampling, Costa-Gavras aborda sin patetismo un tema universal: nuestra relación con la muerte y el final de la vida.

En un diálogo amistoso y apasionado, el médico Augustin Masset y el escritor Fabrice Toussaint se enfrentan cara a cara, uno con el final de la vida de sus pacientes, y el otro con su propio destino. Llevados por un torbellino de visitas y encuentros, ambos se embarcan en un sensible viaje entre el humor y el llanto: una aventura humana en el corazón de todas nuestras vidas.

Una experiencia excepcional en Madrid, gracias al patrimonio y la inquietud que la cultura francesa siempre ha mantenido y conserva por la política, la historia y la cultura. Por todos los mundos de la creación y la comunicación. Un privilegio

Abajo, audio del encuentro de presentación de sus Memorias en el Teatro del Institut en Madrid, en francés y español. En varios actos estuvieron presentes las máximas autoridades francesas en España, como el Agregado de Cultura y la nueva embajadora de ese país y diversos representantes de la Embajada griega en España.

(Foto de la derecha, firma de libros)










sábado, 26 de abril de 2025

UNA ORQUESTA NACIONAL DE FRANCIA, DIRIGIDA POR CRISTIAN MACELARU DIBUJA UN CONCIERTO SUBLIMADO Y ELEGANTE EN RADIO FRANCIA DE PARÍS

Orquesta Nacional de Francia dirigida por Cristian Macelaru con obras de Georges Bizet(1838-1875), Camille-Saint- Saëns (1835-1921) y Modeste Mussorgki (1839-1881) / Maurice Ravel (1875-1937). Radio France, París. 24 de abril de 2025.

En directo del Auditorium de la Maison de la Radio y de la Musique en Paris.

Programa

Georges Bizet (1838-1875): L'Arlésienne, opus 23, suite n°2 - para orquesta (1879)

1. Pastorale

2. Intermezzo

3. Menuetto

4. Farandole

Camille Saint-Saëns (1835-1921): Tres cuadros sinfóniques de La Foi, opus 130 (1909), drama d'Eugène Brieux

1. Poco allegro

2. Andantino

3. Allegro moderato e maestoso

Modest Petrovitch Moussorgski (1839-1881): Cuadros de una exposición (1874)

1. Promenade (Paseo)

2. Le gnome (El gnomo)

3. Promenade (Paseo)

4. Il vecchio castello (El viejo castillo)

5. Promenade (Paseo)

6. Le jardin des Tuileries (El Jardín de las Tullerías)

7. Bydlo

8. Promenade (Paseo)

9. Ballet des poussins dans leur coque (Baile de los pollitos en su cascarón)

10. Samuel Goldenberg y Schmuyle

11. Le marché de Limoges (El mercado de Limoges)

12. Catacombes. Sépulcre romain (Catacumbas, sepulcro romano)

13. Con mortuis in lingua mortua (latín, con muertos en lengua muerta)

14. La cabane sur des pattes de poules (La cabaña sobre patas de gallinas)

15. La Grande Porte de Kiev (La gran puerta de Kiev)

Antes de comenzar, un "speaker" presenta y explica de forma amena brevemente el repertorio. Para dar comienzo al concierto en una sala preciosa, de madera y con perfumes a cedro, excelente acústica, la música incidental de la obra del escritor provenzal Alphonse Daudet L'Arlésienne (Arlesiana) (normalmente transcrita como 'La chica de Arlés'). El escritor, un clásico que además se estudia en los colegios y se sigue leyendo como un “must”, había adaptado un cuento de las Cartas de mi molino inspirada en el suicidio por amor de un sobrino de Frédéric Mistral.

Había sido compuesta por Georges Bizet para el estreno de la obra el 1 de octubre de 1872 en el Teatro Vodevil (hoy conocido como Teatro Paramount). La arlesiana, título con el que se la conoce en español, consta de 27 números (algunos de unos pocos compases) para voz, coro y orquesta de cámara, algunos siendo pequeños solos y otros largos entreactos, pero en este caso se escucharon cuatro fragmentos solamente de la Suite no. 2). El mismo Bizet interpretó el armonio tras los bastidores durante el estreno de la obra.

Bizet concibió varios temas semipopulares, algunos orientalizantes, o hispanizantes, como en casi toda su obra. La partitura alcanza finales de gran poder dramático con una gran economía de medios. Aun así recibió críticas negativas tras su estreno y no se interpreta habitualmente en su forma original. La obra en sí no tuvo éxito y concluyó tras sólo 21 interpretaciones. El caso es que había sido montada como reemplazo de última hora para otra obra que había sido prohibida por los censores y, por ello, la audiencia no estaba tan predispuesta a la nueva obra.

Esta música incidental, programática de facto, ha sobrevivido y florecido, a pesar de todo. Se puede escuchar más frecuentemente en forma de dos suites, pero también hay grabaciones completas de la música.

L'Arlésienne, Suite n.º 2, también escrita para orquesta sinfónica, fue arreglada y publicada en 1879, cuatro años después de la muerte del compositor, por Ernest Guiraud, empleando los temas originales de Bizet (aunque no todos ellos pertenecían a la música incidental de L'Arlésienne). Cada parte del concierto cuenta con un responsable diferente para las notas del programa de mano y en el primer caso se deben a Chantal Cazaux, detallada, clara y con una bibliografía a pie de página para completar la información, como los libros incluidos de “Georges Bizet” de Hervé Lacombe (Fayard, 2000) o “Georges Bizet” publicada en Gallimard por Rémy Stricker en 1999.

Se da la circunstancia de que las tres partituras que ha dirigido el maestro titular esa noche pertenece a una contemporaneidad evidente, aunque no siempre coincidente en los hechos históricos o políticos, teniendo en cuenta que el maestro ruso tenía otro contexto musical y un panorama de otra Europa diferente a la francesa. Pero hay una concordancia perceptible y luego redondeada con la transcripción de Ravel, uno de los puntales de la música gala del siglo XIX, frecuentadísimo por su Bolero en salas de conciertos, películas y otros tipos de literatura.

En la segunda parte de la primera sección de la velada antes del entreacto, Charles-Camille de Saint-Saëns (París, 9 de octubre de 1835-Argel, 16 de diciembre de 1921). Un compositor, director de orquesta, organista, pianista y militar francés. Músico muy dotado —un virtuoso pianista y también un excelente improvisador al órgano—, espíritu curioso ante todo, escritor, caricaturista, gran viajero, Saint-Saëns desempeñó un papel excepcional en la renovación de la música francesa, tanto por su enseñanza —tuvo como alumnos, entre otros, a Gabriel Fauré—, como, sobre todo, por su actividad en favor de la música nueva —fue uno de los fundadores de la Société Nationale de Musique, destinada a tocar y difundir la música francesa—. Puede considerársele un eslabón esencial de la renovación que condujo a Claude Debussy y a Maurice Ravel.

Además Saint-Saëns fue un intelectual multifacético. Desde pequeño se dedicó al estudio de la geología, la arqueología, la botánica y la entomología. La Foi (La Fe), tres cuadros sinfónicos del opus 130, es música de escena (1908-1909), creada en el Teatro de Monte-Carlo para su orquesta. A partir de un drama de Eugène Brieux, que se desarrolla en el antiguo Egipto, no por un gusto por el exotismo, sino para destacar el lugar de la religión en la sociedad.

La obra le trajo algunos contratiempos al compositor y como explica Hélène Cao en las notas, “No hay tantos músicos en esa época, capaces de apreciar la diferencia de una cultura extranjera”.

La segunda parte, firmada en las notas por Christian Wasselin, estuvo dedicada a los Cuadros de una exposición (en ruso: Карти́нки с вы́ставки, Kartinki s výstavki,) una famosa suite, compuesta por Modest Músorgski (1839-1881) en 1874. El músico compuso la obra para piano, aunque ha sido conocida y más interpretada por la orquestación que el compositor Maurice Ravel (1875-1937) hizo de ella en 1922. El compositor ruso compuso esta obra inspirado en diez pinturas y dibujos incluidos en una exposición póstuma de su gran amigo, el artista y arquitecto Víktor Hartmann (1834-1873), quien solo tenía 39 años cuando murió. A manera de homenaje, el compositor quiso «dibujar en música» (música programática) algunos de los cuadros expuestos y dedicó la partitura a Stásov.

Se puede considerar Cuadros de una exposición como “ejemplo de los dos principales sistemas armónicos que el Círculo de Balakirev desarrolló durante su producción y exploración musical. El primero es la armonización diatónica de las canciones folk (o de sus imitaciones) donde el compositor intentó mantener la ambigüedad tonal evitando los acordes de dominante y las modulaciones, a favor de acordes estáticos y notas pedales. Por otro lado la presencia de la armonía cromática, codificada para los pasajes fantásticos, mitológicos, demoníacos o de magia. Se usaban la escala de tonos enteros o la octatónica. Ambos tipos de armonías estaban claramente codificadas y se utilizaban paralelamente pero nunca se confundían”, según explican los expertos.

En cuanto a La Orquesta Nacional de Francia, es la “garante de la interpretación francesa por su dinamismo y su patrimonio y legado”. Heredera de la tradición interpretativa de la música francesa, la Orquesta Nacional de Francia ha intentado crear un repertorio propio a través de estrenos de obras de los más grandes compositores contemporáneos: le Soleil des eaux de Pierre Boulez, la Sinfonía Turangalîla de Olivier Messiaen (1950, en estreno francés), la Primera Sinfonía de Henri Dutilleux (1951), así como el concierto para violín L'Arbre des songes con Isaac Stern (1985), Déserts de Edgar Varèse (1954), o Jonchaies de Iannis Xenakis (1977).

La orquesta ha grabado numerosos discos. Entre su amplio catálogo fonográfico destacan: Guerra y paz de Serguéi Prokófiev con Mstislav Rostropóvich, Lulú de Alban Berg con Jeffrey Tate, la integral de la obra para orquesta de Edgar Varèse con Kent Nagano. La grabación de Pelléas et Mélisande de Claude Debussy (Bernard Haitink) fue galardonado como mejor «grabación clásica del año» a los Victoires de la musique classique 2002 entre otros muchos.

Désiré-Émile Inghelbrecht, primer director titular, fundó la tradición musical de la orquesta, un repertorio en el que predominan las obras de Claude Debussy y Maurice Ravel, pero en el que también tienen cabida partituras como el Borís Godunov de Modest Músorgski, de la que la radio francesa fue una de las primeras en recuperar en 1935. A Sergiu Celibidache, primer director invitado desde 1973 a 1975, le siguió Lorin Maazel. Desde 2008 a 2016, el director italiano Daniele Gatti ha sido el director musical de la orquesta.

En esta ocasión, al frente de la magnífica velada, con un sentido exquisito de los planos sonoros, las entradas de los solistas, la elegancia y gracilidad distintas en cada momento de las interpretaciones, el entendimiento y la comunicación con los intérpretes con gestos pequeños, minimalistas pero elocuentes, el director Cristian Măcelaru.

Nacido en Timișoara (1980) es además violinista y el menor de una familia de 10 hijos. Estudió violín en su juventud y frecuentó ambientes sobre todo de Estados Unidos y luego de Colonia (Alemania).

En septiembre de 2018, dirigió por primera vez la Orquesta Nacional de Francia (ONF) y regresó para una segunda aparición como director invitado en el verano de 2019. Sobre la base de estas apariciones, en noviembre de 2019, la ONF anunció el nombramiento de Măcelaru como su siguiente director musical, a partir del 1 de septiembre de 2021, con un contrato inicial de 4 años. Tras la dimisión de Emmanuel Krivine como director musical de la ONF en mayo de 2020, Măcelaru se convirtió en director musical de la ONF el 1 de septiembre de 2020, un año antes de lo previsto originalmente. En septiembre de 2022, la ONF anunció una extensión del contrato de Măcelaru hasta el año 2027. Su relación con la orquesta de la que es titular se ve y se oye fluida y natural, amable.

La segunda parte, firmada en las notas por Christian Wasselin, estuvo dedicada a los Cuadros de una exposición (en ruso: Карти́нки с вы́ставки, Kartinki s výstavki,) una famosa suite, compuesta por Modest Músorgski (1839-1881) en 1874. Músorgski escribió la obra para piano, aunque ha sido conocida y más interpretada por la orquestación que el compositor Maurice Ravel (1875-1937) hizo de ella en 1922. El compositor ruso compuso esta obra inspirado en diez pinturas y dibujos incluidos en una exposición póstuma de su gran amigo, el artista y arquitecto Víktor Hartmann (1834-1873), quien solo tenía 39 años cuando murió. A manera de homenaje, el compositor quiso «dibujar en música» (música programática) algunos de los cuadros expuestos y dedicó la partitura a Stásov.

Habría que recordar en la primera parte la intervención del arpa y de una flauta traversa verdaderamente estupendas, así como la labor de la concertino, vibrante y entusiasta, Sarah Nemtanu. Orgiástica la Farandole que cierra L´Arlesiana de Bizet. La audiencia, de todas las edades, que prácticamente coronaba el aforo, disfrutó, aplaudió y escuchó con una serenidad y respeto que no se dispone en otros públicos del mundo, ruidosos y al límite de un comportamiento educado. La cortesía, en Francia es proverbial, también en las salas de concierto. Ni una tos, ni un suspiro.

Aunque hubo una cierta dificultad para llegar a Radio France (París se bloquea a menudo a diferentes horas del día), al entrar en Radio France, un edificio enorme, amplio, acristalado, aunque a la medida humana, se disipan las dudas, los inconvenientes. Apolíneo y dionisíaco a la vez, el ambiente reinante y el programa de la noche apaciguan a los espectadores y al entorno, lleno de una aparente despreocupación y ligereza que predisponen al goce y la escucha. Es como un ballet. El público, los acomodadores, todos, como de puntillas y disponibles. No hay roces, ni voces resonantes, ni desencuentros. Casi podría decirse que se roza la perfección. Voilà.

Alicia Perris

lunes, 21 de abril de 2025

LUTO: POINT DE VUE : DISPARITION DU PAPE FRANÇOIS. FRANCESCO È MORTO, AVEVA 88 ANNI. L'ANNUNCIO DEL CARDINALE FARRELL: «ALLE 7.35 È TORNATO ALLA CASA DEL PADRE»

Disparition du pape François, au nom des pauvres du monde entier

Premier pape originaire d’Amérique du Sud, le primat argentin, qui vient de mourir à l’âge de 88 ans, avait mis sa personne au service des plus démunis de son pays puis du monde. Réformateur, il n’a pas hésité à bousculer les puissants dans leurs certitudes, mais aussi une Église catholique conservatrice, ébranlée par certains dossiers délicats.

Par Candice Dupret - 21 avril 2025, 10h13

 Le pape François s'est éteint ce 21 avril 2025 l'âge de 88 ans
Le pape François s'est éteint ce 21 avril 2025 l'âge de 88 ans © Uncredited / AP / SIPA

IN ITALIA

di Gian Guido Vecchi

Il Pontefice si trovava a Roma, a Casa Santa Marta, dove era stato trasferito dopo il ricovero al Gemelli. Aveva 88 anni

Papa Francesco è morto oggi, lunedì 21 aprile. Il Pontefice si trovava a Roma, a Casa Santa Marta, dove era stato trasferito dopo il ricovero al Gemelli. A dare la notizia il cardinale Farrell: «Alle 7.35 il Vescovo di Roma è tornato alla casa del Padre»

CITTÀ DEL VATICANO Isola di Sanciano, 3 dicembre 1552, poco dopo mezzanotte: in una capanna, vegliato da un amico cinese, Francesco Saverio, primo missionario gesuita, muore guardando la Cina, il sogno di una vita distante un paio di miglia marine. Roma, 31 luglio 2013, Chiesa del Gesù: sono passati poco più di quattro mesi da quando il conclave, il 13 marzo, ha eletto l’argentino Jorge Mario Bergoglio e Francesco, primo Papa gesuita della storia, celebra messa nella «chiesa madre» della Compagnia il giorno della festa del fondatore, sant’Ignazio di Loyola. 

«A me è sempre piaciuto pensare al tramonto del gesuita, quando un gesuita finisce la sua vita, quando tramonta», dice nell'omelia. E cita l’immagine di padre Francesco Saverio che muore guardando la Cina: «L’arte lo ha dipinto tante volte questo tramonto, questo finale di Saverio. Anche la letteratura, in quel bel pezzo di Pemán. Alla fine, senza niente, ma davanti al Signore. A me fa bene, pensare questo».

Il tramonto di Francesco, dopo 88 anni di vita e quasi dodici di pontificato, porta con sé la sensazione di qualcosa di irreversibile, la «rivoluzione della tenerezza» innescata dalla rinuncia di Benedetto XVI e compiuta da quel prete «callejero», di strada, figlio di emigrati piemontesi - il papà Mario ragioniere, impiegato nelle ferrovie, la madre Regina Sivori casalinga impegnata a tirar su cinque figli - cresciuto al 531 di calle Membrillar, nel barrio Flores di Buenos Aires, quartiere di italiani dove Alfredo Di Stefano, un signore del quale Pelè diceva «per me il più forte è stato lui», ricordava di averlo visto giocare a pallone con gli altri ragazzini. 

Il diploma da perito chimico, la vocazione, il seminario, e a ventun anni il noviziato della Compagnia a Cordoba, a settecento chilometri da Buenos Aires, accompagnato in bus dai genitori: anni difficili, perché dai gesuiti studiano molti figli di famiglie bene, ricche, e lui ne ricaverà un senso di solitudine e il risentimento per quella mentalità elitaria che definirà la «psicologia da principi».

Così all’inizio c’è già tutto. I confratelli cardinali, nella Sistina, sanno bene chi stanno votando. Bergoglio era già stato il nome dei «progressisti» nel conclave del 2005 che aveva eletto Ratzinger. Ma l’atmosfera cupa e asfittica che ha accompagnato lo scandalo Vatileaks, la necessità di una scossa che Benedetto XVI avverte per primo, decidendo di dimettersi, portano uno dei conclavi sulla carta più conservatori - gli elettori sono stati nominati quasi tutti da Wojtyla e Ratzinger - a scegliere quel cardinale che a Buenos Aires raggiungeva in bus i sobborghi della villas miserias, le famiglie di baraccati talvolta non sapevano che quel prete fosse l’arcivescovo.

Nelle riunioni dei cardinali prima del conclave, il 9 marzo, l’intervento del gesuita argentino già contiene il programma del pontificato: «La Chiesa è chiamata a uscire da se stessa e ad andare verso le periferie, non solo geografiche ma anche esistenziali», dice. La Chiesa aperta: «A volte penso che Gesù bussi da dentro, perché lo lasciamo uscire». 

Accetta l’elezione come un «peccatore » che confida «nella misericordia» di Dio, e lascia tutti senza fiato quando dice: «Vocabor Franciscus», mi chiamerò Francesco. Mai nessun pontefice aveva scelto il nome del santo di Assisi. «Non dimenticarti dei poveri», gli aveva detto il francescano Hummes, che gli sedeva accanto. Quattro giorni più tardi sarà lo stesso Papa, l’indice al petto, a raccontare: «Quella parola è entrata qui: i poveri, i poveri... Ho pensato subito a Francesco d’Assisi. Poi ho pensato alle guerre, e Francesco è l’uomo della pace. E così, è venuto il nome, nel mio cuore… Ah, come vorrei una Chiesa povera e per i poveri!».

La veste bianca, l’uscita dalla Sistina. Prova subito a chiamare Benedetto XVI ma a Castel Gandolfo non sentono la telefonata, si parleranno alle 20,45, ma intanto anche Ratzinger scopre come tutto il mondo il nuovo Papa che s’affaccia che dalla Loggia delle Benedizioni, «Voi sapete che il dovere del Conclave era di dare un Vescovo a Roma. Sembra che i miei fratelli Cardinali siano andati a prenderlo quasi alla fine del mondo, ma siamo qui».

Non era una battuta. È l’idea che fonda il suo magistero, quello che lui stesso ha definito «lo sguardo di Magellano», il grande navigatore portoghese che all’inizio del Cinquecento si propone di circumnavigare il globo e «quando arriva arriva alla fine del continente americano, guarda all’Europa dal nuovo punto raggiunto e capisce un’altra cosa», perché «la realtà si vede meglio dalla periferia che dal centro».

Così il Papa arrivato «quasi dalla fine del mondo» rovescia le prospettive, a cominciare dalla stessa figura papale. Resta a vivere nella camera 201 a Santa Marta, l’albergo vaticano che ospitava gli elettori, perché «non posso vivere da solo», e così cancella l’immagine da corte imperiale con pochi eletti ammessi all’Appartamento apostolico che gli pare «un imbuto rovesciato». Dopo una delle prime notti, all’alba vede una giovane guardia svizzera fuori dalla porta, «sei stato in piedi tutta la notte, figlio?», lo fa sedere e gli offre la colazione. Allergico al «si è sempre fatto così», spiega che «all’inizio sono caduti alcuni muri: “Il Papa non può!”» e va di persona nei negozi a cambiare occhiali o scarpe, si porta da sé il bagaglio a mano, si stupisce dello stupore, «dobbiamo cercare di essere normali, la normalità della vita».

E poi, i viaggi, cuore del suo magistero. Da una parte ci sono le grandi sfide: il dialogo con la Cina e l’ «accordo provvisorio» sottoscritto dal 2018 per la nomina dei vescovi; l’amicizia con l’Islam e il «Documento sulla fratellanza umana» firmato nel 2019 a Dubai con il Grande imam di Al Azhar Ahmad Al-Tayyeb, massima autorità sunnita; il viaggio in Iraq del 2021, primo Papa nella terra di Abramo, e l’incontro con il grande ayatollah Ali Al-Sistani, leader sciita; l’avvicinamento col mondo ortodosso e il primo, storico incontro tra un Papa e il patriarca di Mosca, Kirill, il 12 febbraio 2016.

Dall’altra, le periferie. Francesco dà voce e visibilità agli ultimi della Terra, gli «scartati», come un faro proiettato, almeno per qualche giorno, sulle vicende di popoli che non interessano a nessuno, oscurati dalla comunicazione globale. Bisognava vederlo, in Bangladesh, mentre chiedeva «scusa» a nome di tutto il mondo ai Rohingya, alla donna musulmana che gli diceva piangendo: «Vorrei mostrare il mio dolore al capo dei cristiani» . 

O tra i Mapuche e gli indios dell’Amazzonia: «Dobbiamo lasciare da parte la logica di credere che ci siano culture superiori o inferiori». Il primo viaggio lo compie a sorpresa tra i migranti a Lampedusa, al centro del Mediterraneo divenuto «un grande cimitero», per denunciare la «globalizzazione dell’indifferenza» e i troppi «muri» destinati a crollare, come ripeterà a Lesbo, Cipro, Malta, «i ponti sono sempre soluzioni, i muri mai».

Nella sua terza enciclica, Fratelli tutti , aveva scelto un verso di Virgilio, «Sunt lacrimae rerum et mentem mortalia tangunt», per dire con Enea il dolore delle cose e delle vicende umane che toccano la mente e il cuore. Perché è «la realtà stessa che geme e si ribella», in un mondo nel quale in un mondo nel quale «tutto è connesso»: la devastazione dell’ambiente, l’iniquità dell’economia e la «cultura dello scarto» a danno degli ultimi, la tragedia delle migrazioni e la «terza guerra mondiale combattuta a pezzi».

Certo, ci sono le riforme «strutturali» avviate o compiute, dalle finanze vaticane alla Curia romana, un impulso al decentramento della Chiesa che si riflette nella centralità del Sinodo dei vescovi mondiali sulle questioni più delicate e nella nomina di un «Consiglio» del Papa composto da un gruppo di cardinali da tutti continenti, le nomine cardinalizie che premiano piccole realtà periferiche a scapito delle sedi storiche, un conclave sempre meno eurocentrico e occidentale e sempre più rappresentativo del Sud del mondo.

Ma l’aspetto centrale resta il ritorno all’essenziale del cristianesimo, «le Beatitudini e il capitolo 25 del Vangelo di Matteo, li c’è tutto», l’atteggiamento che nel giorno del Giudizio distinguerà i giusti dai dannati: «Ho avuto fame e mi avete dato da mangiare, ho avuto sete e mi avete dato da bere, ero straniero e mi avete accolto, nudo e mi avete vestito, malato e mi avete visitato, ero in carcere e siete venuti a trovarmi». Il kerygma, il Vangelo sine glossa, in purezza. 

Di ritorno dal primo viaggio internazionale, la Giornata mondiale della gioventù di Rio de Janeiro, i giornalisti in volo gli chiedono se in Vaticano esista la «lobby gay» di cui si era parlato, e lui spiega tranquillo: «Si deve distinguere il fatto che una persona sia gay dal fatto di fare una lobby. Se è lobby, tutte le lobby non sono buone. Ma se una persona è gay e cerca il Signore e ha buona volontà, chi sono io per giudicare?».

Tutto questo senza peraltro cedere nulla sulle prerogative del Papa, com’è peraltro ovvio per un gesuita, un pontefice talvolta brusco con i collaboratori e, nel caso, duro: prosegue la «tolleranza zero» di Ratzinger sulla pedofilia e arriva a togliere la porpora all’ex cardinale di Washington, Theodore McCarrick (l’unico precedente risaliva al 1927), così come toglie «le prerogative del cardinalato» al cardinale Angelo Becciu perché sia processato per lo scandalo degli investimenti finanziari della Segreteria di Stato.

Di nemici ne ha tanti, soprattutto nella destra cattolica degli Stati Uniti e nelle frange più reazionarie che cercano di contrapporlo a Benedetto XVI, ma Francesco liquida i timori di uno scisma («ce ne sono stati tanti, nella storia della Chiesa») e non replica: «Con le persone che cercano solo divisione scandalo, l’unica risposta è il silenzio di Gesù. Con Satana non si dialoga».

Dietro la semplicità apparente, i riferimenti di Francesco sono sottili, nascosti. Nel greco dei Vangeli, il verbo che indica la compassione di Gesù è splanchnízomai e viene da splánchna , l’«utero» o le «viscere» della madre. Toccare le ferite, il dolore. Le viscere materne della misericordia. Il 18 gennaio 2015 celebra a Manila una messa davanti a sei milioni persone, «il più grande avvenimento nella storia dei papi», fa notare padre Lombardi. 

Ma nella memoria resta il volo nelle tempesta verso Tacoblan, un’isola devastata dal tifone Yolanda, la messa sotto la pioggia davanti ai sopravvissuti, e Francesco che guarda i volti in lacrime di chi ha perso tutto, figli, amori, case, soppesa l’omelia già scritta, lascia perdere i fogli: «Io non so che cosa dirvi. Il Signore sì, sa che cosa dirvi», e dice, a braccio, una delle omelie più belle del pontificato.

Raccontava che il primo annuncio cristiano lo aveva ricevuto da una donna, Rosa, la nonna paterna, e per questo amava la poesia che Friedrich Hölderlin aveva dedicato alla sua, ne sillabava i versi, «che l’uomo mantenga quel che il fanciullo ha promesso». Francesco lo ha mantenuto. E pazienza se anche lui, tramontando, non è riuscito ad andare in Cina. 

Dopo la morte di Francesco Saverio, fu il missionario gesuita Matteo Ricci a compiere il sogno del confratello, il 7 agosto 1582, sbarcando trentenne da un galeone portoghese nella colonia di Macao. Perché «il tempo è superiore allo spazio» e l’essenziale è «aprire processi». Il resto verrà: «Dio ci “primerea”, ci anticipa, sempre».

https://roma.corriere.it/notizie/cronaca/25_aprile_21/e-morto-papa-francesco-c4543ec5-9b12-4043-bdb5-139c4e969xlk.shtml

domingo, 20 de abril de 2025

GRAND THÉÀTRE DE GÉNÈVE. ANGENIETEN BERKERS LEBENSBORN. KUNSTHAL ROTTERDAM

NAZI LEBENSBORN KUNSTHAL ROTTERDAM

Documentary photographer Angenieten Berkers (1985, Nijmegen) spent five years researching the Nazi Lebensborn programme, which aimed to increase the number of 'Aryan' descendants. She compiled her findings in the book Lebensborn. Birth Politics of the Third Reich. On the occasion of the commemoration of 80 years of freedom in the Netherlands, Kunsthal Rotterdam will present her work in the exhibition Lebensborn from 28 March.

The exhibition tells the impressive story of this extraordinary history through photography, archive material and interviews, with an emphasis on the most important events and the personal consequences for those involved. Berkers documented the experiences of nine children who are now in their eighties. The Kunsthal is drawing attention to the stories of three of them – Gisela, Michael and Ingrid.

During her research, Berkers found objects and documents that show how nationalist ideas permeated Lebensborn homes in an eerily organized way. The exhibition includes measuring instruments that were used at the time to determine an 'Aryan' ancestry. Berkers also visited former Lebensborn homes and photographed both the buildings and the surrounding landscape. Although these locations now have a different function, they remain silent witnesses of an eventful past.

Lebensborn Program

In 1935, Germany started a program to provide the Third Reich with the new generation of leaders and future elite: Lebensborn (Source of Life). The architect behind this plan, Heinrich Himmler, aimed to improve the 'racial quality' in the new National Socialist empire that was to be built with these children. Due to the sharp decline in the birth rate, abortion and contraception were banned. Families with children received financial incentives. Before leaving for the front, SS officers were urged to father as many children as possible, even outside marriage.

In the Lebensborn homes spread across Europe, married and unmarried women could give birth to their children if they met the requirements of the Aryan race. When it turned out that the program did not yield sufficient results, they proceeded to abduct children with blond hair and blue eyes from Eastern Europe and then 'Germanize' them. After the war, the children from these homes and their families were often stigmatized and sometimes even mistreated or abused. Many grew up with secrets.

Lebensborn. Birth Politics of the Third Reich

Angenieten Berkers bundled her years of research last year in the book Lebensborn. Birth Politics of the Third Reich (40 EUR, 272 pages, EAN 9789083357164). For sale in the Kunsthal shop and webshop.

About Angenieten Berkers

Angenieten Berkers (1985) is a socially engaged photographer based in Rotterdam and a graduate of the Royal Academy of Art, The Hague. She worked as a sociotherapist for years and helped veterans and refugees with complex PTSD and young people with acute psychiatric problems, among others. As a photographer, she chooses sensitive subjects that she wants to portray in an honest and nuanced way. With her work, she tries to get a grip on the extremes of contemporary society and challenges the viewer's frame of reference.

https://www.kunsthal.nl/nl/plan-je-bezoek/tentoonstellingen/angeniet-berkers-lebensborn/

EXCLUSIF, POINT DE VUE. "LA NUIT DES REINES" À LA BASILIQUE SAINT-DENIS (LES COULISSES). MUSEO ETRUSCO, ROMA.

Au cœur de la basilique cathédrale de Saint-Denis, se prépare un bal d'outre-tombe. D'Aliénor d'Aquitaine à Marie-Antoinette en passant par Catherine de Médicis, chacune de ces reines reprend vie le temps d'une nuit pour raconter un pan de l'histoire de ce lieu pluriséculaire. Point de Vue a pu assister aux répétitions de ce spectacle immersif auquel pas moins de 250 bénévoles ont pris part.

Par Victoire Brunet - 19 avril 2025,

Sur le perron de la cathédrale, des voix de barytons s'élèvent et se mêlent aux cris des enfants qui jouent sur la place. Tandis que le soleil se couche, un acteur s'entraîne à déclamer son texte sous l'œil exigeant du metteur en scène, Charles Mollet. 

Président de la société de production Polaris, mandatée par le Centre des Monuments nationaux pour imaginer un spectacle sur la basilique Saint-Denis, c'est lui qui est à l'origine du scénario de La Nuit des Reines.

 Il a choisi de conter l'histoire de l'édifice à travers le destin de six figures féminines, "un contrepoint" volontaire à la quarantaine de souverains qui y sont inhumés. "Nous aurions pu parler des rois de France, mais dans ce lieu qui a été marqué par les femmes, cela aurait été dommage", nous confie-t-il. Car c'est bien là, sous ces impressionnantes voûtes gothiques, que les reines étaient sacrées et que 32 d'entre elles reposent à présent.

Un spectacle participatif bien rodé

Aux quatre coins de l'église, devant les gisants, dans la sacristie – habituellement interdite au public – ou dans la crypte, six acteurs professionnels s'activent face à une assistance composée d'autres acteurs et de bénévoles. 

 fois leurs scénettes terminées, c'est au tour des observateurs de prendre place. Au total, 12 comédiens de métier et 250 personnes de tous les âges, professions et confessions, Dionysiens pour la plupart, se sont lancés dans l'aventure. "C'est avant tout un spectacle participatif", souligne Charles Mollet.

 S'ils ont reçu des cours intensifs de théâtre avant, chacun y va de ses conseils, les plus expérimentés coachant certains novices. Le tout dans la bienveillance. "Nous nous voyons en dehors des répétitions aussi", s'enthousiasme Séverine Berthelot qui prête ses traits à Sainte Geneviève. 

Habituée du petit écran, aperçue dans le film Les enfants des autres, elle insiste sur le rôle de cette représentation comme moyen de "réintroduire la culture chez les jeunes"……..

https://www.pointdevue.fr/culture/arts/exclusif-dans-les-coulisses-du-spectacle-la-nuit-des-reines-a-la-basilique-saint-denis?_sc=NjgzNDIyMSMzMzg4&utm_campaign=quotidienne%3Futm_source%3Dsendinblue&utm_campaign=Les_derniers+articles++ne+pas+manquer&utm_medium=email&utm_medium=email&utm_source=newsletter