Notas de paso: Si oriente Medio fue la cuna de la civilización, es posible que sea pronto su sepulcro. Si no se remedia cuanto antes, ya. Por razones- siempre atendibles dicen- de captación de recursos, de raza, de religión. "El hombre es un animal que mata" dijo Robert Badinter, responsable de la abolición de la pena de muerte en Francia en los años ochenta.
Jack Lang* es el responsable presidente del IMA de París y desde allí, el intelectual de siempre, en tiempos ministro de cultura,generoso y receptivo, lleva un barco que es difícil de maniobrar en estos tiempos. Gracias por su esfuerzo, por el equipo y por facilitar una vía negociadora siempre y de paz
Alicia Perris
Exposition à l’Institut du Monde Arabe à Paris présentant
les richesses archéologiques de l’enclave palestinienne, avec des pièces
parfois vieilles de plusieurs siècles.
*Douze présidents se sont succédés à la tête de l'Institut du monde arabe depuis sa fondation, en 1980. L'IMA est présidé par Jack Lang depuis 2013.
Né en 1939, diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris, Docteur en Droit et agrégé de Droit Public et de Sciences Politiques, Jack LANG a été professeur de Droit Public et Doyen de la Faculté de Droit de Nancy. En 1963, il crée et devient Directeur du Festival international de théâtre universitaire de Nancy avant de prendre la direction en 1972 du Théâtre National de Chaillot. Sa carrière politique débute en 1977 comme Conseiller de Paris. Délégué national à la Culture du Parti Socialiste, directeur de la campagne pour les élections européennes de 1979, il est le porte-parole de la campagne présidentielle de François Mitterrand en 1981 qui le nomme ministre de la Culture après son élection, poste qu’il occupera jusqu’en 1986, puis de 1988 à 1993. Il cumule les fonctions de ministre de la Culture et de ministre de l’Éducation nationale de 1992 à 1993. Maire de Blois de 1989 à 2000, il est également député pendant plus de 20 ans, d’abord du Loir-et-Cher, puis du Pas-de-Calais. Après avoir enseigné à Nancy, il devient Professeur à l’Université Paris X – Nanterre et au Conservatoire National des Arts et Métiers. En 1997, il devient Président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée Nationale. Il est également Président du jury au Festival du Film de Berlin et prend la direction du Piccolo Teatro de Milan. De 2000 à 2002, il rejoint le gouvernement du Premier ministre Lionel Jospin en tant que ministre de l’Éducation nationale. Membre du Bureau national du Parti Socialiste jusqu’en 2007, Jack Lang a également été Conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban Ki-Moon, sur la question de la piraterie internationale. En 2013, le Président de la République François Hollande le nomme à la présidence de l’Institut du monde arabe. Jack Lang est également l’auteur de très nombreux ouvrages et articles de référence.
"TRÉSORS SAUVÉS DE GAZA: 5000 ANS D'HISTOIRE" À DÉCOUVRIR À L'IMA • FRANCE 24
#exposition #gaza #culture
Exposition à l’Institut du Monde Arabe à Paris présentant
les richesses archéologiques de l’enclave palestinienne, avec des pièces
parfois vieilles de plusieurs siècles.
Rien n’est pire que l’abandon et l’oubli. Cette exposition,
que je qualifierai de salut public, rend hommage à Gaza, vibrante et
merveilleusement jeune.
Jack Lang, président de l'Institut du monde arabe
Depuis 2007, le Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH)
est devenu le musée-refuge d’une collection archéologique de près de 529 œuvres
appartenant à l’Autorité nationale palestinienne et qui n’ont jamais pu
retourner à Gaza : ces amphores, statuettes, stèles funéraires, lampes à huile,
figurines, mosaïque..., datant de l’âge du bronze à l’époque ottomane, forment
un ensemble devenu une référence au vu des destructions récentes.
LE TÉMOIN D’UNE HISTOIRE COMPLEXE
Avec l’aide du MAH et le soutien de l’Autorité nationale
palestinienne, l’IMA expose une sélection de 130 chefs-d’œuvre de cet ensemble,
issu des fouilles franco-palestiniennes commencées en 1995, dont la
spectaculaire mosaïque d'Abu Baraqeh, et de la collection privée de Jawdat
Khoudery, offerte en 2018 à l’Autorité nationale palestinienne et présentée
pour la première fois en France.
Cette exposition témoigne d’un pan de l’histoire inconnu du
grand public : celui du prestigieux passé de l’enclave palestinienne, reflet
d’une histoire ininterrompue depuis l’âge du bronze. Oasis vantée pour sa
gloire et sa douceur de vie, convoitée pour sa position stratégique dans les
enjeux égypto-perses, terre de cocagne des commerçants caravaniers, port des
richesses de l’Orient, de l’Arabie, de l’Afrique et de la Méditerranée, Gaza
recèle quantité de sites archéologiques de toutes les époques aujourd’hui en
péril. La densité de son histoire est un trésor inestimable, dont l’exposition
témoigne de la complexité.
LE PATRIMOINE DANS LA GUERRE
Au 25 mars 2025, l’Unesco observe, en se basant sur des
images satellitaires, des dommages sur 94 sites cultuels gaziotes : 12 sites
religieux, 61 bâtiments d’intérêt historique et/ ou artistiques, 7 sites
archéologiques, 6 monuments et 3 dépôts de biens culturels mobiliers et 1
musée.
Un espace est dédié à la cartographie des bombardements,
menée par différents groupes de recherches et accompagnée par un recensement
des dernières découvertes archéologiques à Gaza, et par des photographies
inédites de la ville du début du XXe siècle issues de la collection de l’École
biblique et archéologique française de Jérusalem. Il abordera les questions
relatives au patrimoine en temps de guerre, et particulièrement à Gaza où plus
des deux tiers du bâti est détruit.
Exposition organisée par l'Institut du monde arabe en
partenariat avec le ministère du Tourisme et des Antiquités de Palestine et le
musée d'Art et d'Histoire de Genève.
El Institut français de Madrid rinde homenaje a Costa-Gavras
con una retrospectiva especial de cuatro de sus películas más emblemáticas. El
cineasta nos hace también el honor de presentar en preestreno su última
película «El último suspiro» y la publicación en castellano de sus memorias «Ve
a donde sea imposible llegar».
Programa completo
Lunes 21 de abril –
19:30h
Presentación del ciclo y proyección de Z.
Martes 22 de abril
18:00h – Presentación del libro Ve a donde sea imposible
llegar de Costa-Gavras con la coeditora de Providence Ediciones, seguida de
firma de sus ejemplares y venta de libros en francés y en español.
19:30h – Proyección de Los raíles del crimen.
21:30h – Proyección de Arcadia
Miércoles 23 de abril – 19:30h
Preestreno de El último suspiro con la presencia de
Costa-Gavras y Esteve Riambau, historiador, crítico y realizador
cinematográfico y seguido de un Q&A al finalizar la proyección. La película
se estrena en España el 25 de abril.
COSTA GAVRAS, UN DIRECTOR IMPRESCINDIBLE
Gran cineasta político desde Z (1969), Costa-Gavras nunca ha
dejado de explorar las zonas grises de nuestras sociedades. Ya sea imaginando
la desaparición de un periodista estadounidense en Chile en Missing
(1982), el ascenso del fascismo en Music Box (1989) o la deshumanización
del mundo laboral en Arcadia (2005), sus películas combinan lo íntimo y
lo político.
Mikis Theodorakis, un músico griego y folklorista
para la Historia, otro personaje mítico de los setenta y para la eternidad,
compuso la banda sonora de varias de las películas de Costa Gavras. Abajo, la
de Estado de Sitio, con Los Calchakis, para disfrutar en bucle. Theodorakis
y Los Calchakis - Estado de sitio
A lo largo de su carrera, Costa-Gavras ha explorado diversos
géneros manteniendo su compromiso con el cine como reflexión social y política,
y ha desempeñado un papel importante en la preservación del patrimonio
cinematográfico como Presidente de laCinémathèque Française.
Una selección especial: Z, Los raíles del crimen y
Arcadia
Del 21 al 22 de abril, el Institut français de Madrid
presentó una retrospectiva incluyendo algunas de las películas más emblemáticas
de Costa-Gavras, como Z, Los raíles del crimen o Arcadia, unas películas que
exploran la lucha contra la injusticia, la corrupción política y los abusos de
poder, combinando el suspense con una profunda reflexión social y política.
En marzo, recibió un César de Honor de manos de la
actriz Karin Viard, que lo describió como «un hombre que nunca ha tenido miedo
de desafiar a los poderosos. Cuando trabajas con él, es un amigo que te acoge a
su mesa», declaró. Concluyó su homenaje diciendo: «Gracias Costa por
demostrar que se puede hacer cine con fervor, espíritu e impacto. A veces basta
una película para cambiar el mundo».
Presentación literaria: Ve a donde sea imposible llegar (en
español)
En este libro, el artista habla de su juventud antes del
éxito, revela anécdotas sobre el mundo del cine y recuerda las personas que han
dejado huella en su vida y su arte.
Proyección de El último suspiro, en presencia del
cineasta
El 23 de abril, los admiradores de Costa-Gavras se pudo
descubrir en preestreno la última película del director, antes de su estreno en
España el 25 de abril.
Presentada en competición oficial en el festival de San
Sebastián el pasado mes de septiembre, El último suspiro, protagonizada por Denis
Podalydès, de la Comédie-Française, y en la que aparecen Angela
Molina y Charlotte Rampling, Costa-Gavras aborda sin patetismo un tema
universal: nuestra relación con la muerte y el final de la vida.
En un diálogo amistoso y apasionado, el médico Augustin
Masset y el escritor Fabrice Toussaint se enfrentan cara a cara, uno con el
final de la vida de sus pacientes, y el otro con su propio destino. Llevados
por un torbellino de visitas y encuentros, ambos se embarcan en un sensible
viaje entre el humor y el llanto: una aventura humana en el corazón de todas
nuestras vidas.
Una experiencia excepcional en Madrid, gracias al patrimonio
y la inquietud que la cultura francesa siempre ha mantenido y conserva por la
política, la historia y la cultura. Por todos los mundos de la creación y la
comunicación. Un privilegio
Abajo, audio del encuentro de presentación de sus Memorias
en el Teatro del Institut en Madrid, en francés y español. En varios actos
estuvieron presentes las máximas autoridades francesas en España, como el
Agregado de Cultura y la nueva embajadora de ese país y diversos representantes
de la Embajada griega en España.
Orquesta Nacional de Francia dirigida por Cristian Macelaru
con obras de Georges Bizet(1838-1875), Camille-Saint- Saëns (1835-1921) y
Modeste Mussorgki (1839-1881) / Maurice Ravel (1875-1937). Radio France, París.
24 de abril de 2025.
En directo del Auditorium de la Maison de la Radio y de la
Musique en Paris.
Programa
Georges Bizet (1838-1875): L'Arlésienne, opus 23,
suite n°2 - para orquesta (1879)
1. Pastorale
2. Intermezzo
3. Menuetto
4. Farandole
Camille Saint-Saëns (1835-1921): Tres cuadros sinfóniques
de La Foi, opus 130 (1909), drama d'Eugène Brieux
1. Poco allegro
2. Andantino
3. Allegro moderato e maestoso
Modest Petrovitch Moussorgski (1839-1881): Cuadros de
una exposición (1874)
1. Promenade (Paseo)
2. Le gnome (El gnomo)
3. Promenade (Paseo)
4. Il vecchio castello (El viejo castillo)
5. Promenade (Paseo)
6. Le jardin des Tuileries (El Jardín de las Tullerías)
7. Bydlo
8. Promenade (Paseo)
9. Ballet des poussins dans leur coque (Baile de los
pollitos en su cascarón)
13. Con mortuis in lingua mortua (latín, con muertos en
lengua muerta)
14. La cabane sur des pattes de poules (La cabaña sobre
patas de gallinas)
15. La Grande Porte de Kiev (La gran puerta de Kiev)
Antes de comenzar, un "speaker" presenta y explica de forma amena brevemente el repertorio. Para dar comienzo al concierto en una sala preciosa, de
madera y con perfumes a cedro, excelente acústica, la música incidental de la
obra del escritor provenzal Alphonse Daudet L'Arlésienne (Arlesiana)
(normalmente transcrita como 'La chica de Arlés'). El escritor, un clásico que
además se estudia en los colegios y se sigue leyendo como un “must”, había
adaptado un cuento de las Cartas de mi molino inspirada en el suicidio por amor
de un sobrino de Frédéric Mistral.
Había sido compuesta por Georges Bizet para el
estreno de la obra el 1 de octubre de 1872 en el Teatro Vodevil (hoy conocido
como Teatro Paramount). La arlesiana, título con el que
se la conoce en español, consta de 27 números (algunos de unos pocos compases) para voz, coro y orquesta
de cámara, algunos siendo pequeños solos y otros largos entreactos, pero en este caso se
escucharon cuatro fragmentos solamente de la Suite no. 2). El mismo Bizet
interpretó el armonio tras los bastidores durante el
estreno de la obra.
Bizet concibió varios temas semipopulares, algunos
orientalizantes, o hispanizantes, como en casi toda su obra. La partitura
alcanza finales de gran poder dramático con una gran economía de medios. Aun así recibió críticas
negativas tras su estreno y no se interpreta habitualmente en su forma
original. La obra en sí no tuvo éxito y concluyó tras sólo
21 interpretaciones. El caso es que había sido montada como reemplazo de última
hora para otra obra que había sido prohibida por los censores y, por ello, la
audiencia no estaba tan predispuesta a la nueva obra.
Esta música incidental, programática de facto, ha
sobrevivido y florecido, a pesar de todo. Se puede escuchar más frecuentemente
en forma de dos suites, pero también hay grabaciones completas de la música.
L'Arlésienne, Suite n.º 2, también escrita para orquesta
sinfónica, fue arreglada y publicada en 1879, cuatro años después de la muerte
del compositor, por Ernest Guiraud, empleando los temas originales de Bizet
(aunque no todos ellos pertenecían a la música incidental de L'Arlésienne). Cada
parte del concierto cuenta con un responsable diferente para las notas del
programa de mano y en el primer caso se deben a Chantal Cazaux,
detallada, clara y con una bibliografía a pie de página para completar la
información, como los libros incluidos de “Georges Bizet” de Hervé Lacombe
(Fayard, 2000) o “Georges Bizet” publicada en Gallimard por Rémy Stricker en
1999.
Se da la circunstancia de que las tres partituras que ha
dirigido el maestro titular esa noche pertenece a una contemporaneidad evidente,
aunque no siempre coincidente en los hechos históricos o políticos, teniendo en
cuenta que el maestro ruso tenía otro contexto musical y un panorama de otra
Europa diferente a la francesa. Pero hay una concordancia perceptible y luego
redondeada con la transcripción de Ravel, uno de los puntales de la música gala
del siglo XIX, frecuentadísimo por su Bolero en salas de conciertos, películas
y otros tipos de literatura.
En la segunda parte de la primera sección de la velada antes
del entreacto, Charles-Camille de Saint-Saëns (París, 9 de octubre de
1835-Argel, 16 de diciembre de 1921). Un compositor, director de orquesta,
organista, pianista y militar francés. Músico muy dotado —un virtuoso pianista
y también un excelente improvisador al órgano—, espíritu curioso ante todo,
escritor, caricaturista, gran viajero, Saint-Saëns desempeñó un papel
excepcional en la renovación de la música francesa, tanto por su enseñanza
—tuvo como alumnos, entre otros, a Gabriel Fauré—, como, sobre todo, por su
actividad en favor de la música nueva —fue uno de los fundadores de la Société
Nationale de Musique, destinada a tocar y difundir la música francesa—. Puede
considerársele un eslabón esencial de la renovación que condujo a Claude
Debussy y a Maurice Ravel.
Además Saint-Saëns fue un intelectual multifacético. Desde
pequeño se dedicó al estudio de la geología, la arqueología, la botánica y la
entomología. La Foi (La Fe), tres cuadros sinfónicos del opus 130, es música de
escena (1908-1909), creada en el Teatro de Monte-Carlo para su orquesta. A
partir de un drama de Eugène Brieux, que se desarrolla en el antiguo
Egipto, no por un gusto por el exotismo, sino para destacar el lugar de la
religión en la sociedad.
La obra le trajo algunos contratiempos al compositor y como
explica Hélène Cao en las notas, “No hay tantos músicos en esa época,
capaces de apreciar la diferencia de una cultura extranjera”.
La segunda parte, firmada en las notas por Christian
Wasselin, estuvo dedicada a los Cuadros de una exposición (en ruso:
Карти́нки с вы́ставки, Kartinki s výstavki,) una famosa suite, compuesta por
Modest Músorgski (1839-1881) en 1874. El músico compuso la obra para piano,
aunque ha sido conocida y más interpretada por la orquestación que el
compositor Maurice Ravel (1875-1937) hizo de ella en 1922. El compositor ruso
compuso esta obra inspirado en diez pinturas y dibujos incluidos en una
exposición póstuma de su gran amigo, el artista y arquitecto Víktor Hartmann
(1834-1873), quien solo tenía 39 años cuando murió. A manera de homenaje, el
compositor quiso «dibujar en música» (música programática) algunos de los
cuadros expuestos y dedicó la partitura a Stásov.
Se puede considerar Cuadros de una exposición como
“ejemplo de los dos principales sistemas armónicos que el Círculo de Balakirev
desarrolló durante su producción y exploración musical. El primero es la
armonización diatónica de las canciones folk (o de sus imitaciones) donde el
compositor intentó mantener la ambigüedad tonal evitando los acordes de
dominante y las modulaciones, a favor de acordes estáticos y notas pedales. Por
otro lado la presencia de la armonía cromática, codificada para los pasajes fantásticos,
mitológicos, demoníacos o de magia. Se usaban la escala de tonos enteros o la
octatónica. Ambos tipos de armonías estaban claramente codificadas y se
utilizaban paralelamente pero nunca se confundían”, según explican los
expertos.
En cuanto a La Orquesta Nacional de Francia, es la
“garante de la interpretación francesa por su dinamismo y su patrimonio y
legado”. Heredera de la tradición interpretativa de la música francesa, la
Orquesta Nacional de Francia ha intentado crear un repertorio propio a través
de estrenos de obras de los más grandes compositores contemporáneos: le Soleil
des eaux de Pierre Boulez, la Sinfonía Turangalîla de Olivier Messiaen (1950,
en estreno francés), la Primera Sinfonía de Henri Dutilleux (1951), así como el
concierto para violín L'Arbre des songes con Isaac Stern (1985), Déserts de
Edgar Varèse (1954), o Jonchaies de Iannis Xenakis (1977).
La orquesta ha grabado numerosos discos. Entre su amplio
catálogo fonográfico destacan: Guerra y paz de Serguéi Prokófiev con Mstislav
Rostropóvich, Lulú de Alban Berg con Jeffrey Tate, la integral de la obra para
orquesta de Edgar Varèse con Kent Nagano. La grabación de Pelléas et Mélisande
de Claude Debussy (Bernard Haitink) fue galardonado como mejor «grabación
clásica del año» a los Victoires de la musique classique 2002 entre otros
muchos.
Désiré-Émile Inghelbrecht, primer director titular, fundó la
tradición musical de la orquesta, un repertorio en el que predominan las obras
de Claude Debussy y Maurice Ravel, pero en el que también tienen cabida
partituras como el Borís Godunov de Modest Músorgski, de la que la radio
francesa fue una de las primeras en recuperar en 1935. A Sergiu Celibidache,
primer director invitado desde 1973 a 1975, le siguió Lorin Maazel. Desde 2008
a 2016, el director italiano Daniele Gatti ha sido el director musical de la
orquesta.
En esta ocasión, al frente de la magnífica velada, con un
sentido exquisito de los planos sonoros, las entradas de los solistas, la elegancia
y gracilidad distintas en cada momento de las interpretaciones, el
entendimiento y la comunicación con los intérpretes con gestos pequeños,
minimalistas pero elocuentes, el director Cristian Măcelaru.
Nacido en Timișoara (1980) es además violinista y el menor
de una familia de 10 hijos. Estudió violín en su juventud y frecuentó ambientes
sobre todo de Estados Unidos y luego de Colonia (Alemania).
En septiembre de 2018, dirigió por primera vez la Orquesta
Nacional de Francia (ONF) y regresó para una
segunda aparición como director invitado en el verano
de 2019. Sobre la base de estas apariciones, en noviembre de 2019, la ONF
anunció el nombramiento de Măcelaru como su siguiente director musical, a partir del 1 de
septiembre de 2021, con un contrato inicial de 4 años. Tras
la dimisión de Emmanuel Krivine como director musical
de la ONF en mayo de 2020, Măcelaru se
convirtió en director musical de la ONF el 1 de
septiembre de 2020, un año antes de lo previsto originalmente. En septiembre de
2022, la ONF anunció una extensión del
contrato de Măcelaru hasta el año 2027. Su relación con la orquesta de la que es titular se ve y
se oye fluida y natural, amable.
La segunda parte, firmada en las notas por Christian
Wasselin, estuvo dedicada a los Cuadros de una exposición (en ruso:
Карти́нки с вы́ставки, Kartinki s výstavki,) una famosa suite, compuesta por Modest
Músorgski (1839-1881) en 1874. Músorgski escribió la obra para piano,
aunque ha sido conocida y más interpretada por la orquestación que el
compositor Maurice Ravel (1875-1937) hizo de ella en 1922. El compositor
ruso compuso esta obra inspirado en diez pinturas y dibujos incluidos en una
exposición póstuma de su gran amigo, el artista y arquitecto Víktor Hartmann
(1834-1873), quien solo tenía 39 años cuando murió. A manera de homenaje, el
compositor quiso «dibujar en música» (música programática)
algunos de los cuadros expuestos y dedicó la
partitura a Stásov.
Habría que recordar en la primera parte la intervención del
arpa y de una flauta traversa verdaderamente estupendas, así como la labor de
la concertino, vibrante y entusiasta, Sarah Nemtanu. Orgiástica la
Farandole que cierra L´Arlesiana de Bizet. La audiencia, de todas las edades,
que prácticamente coronaba el aforo, disfrutó, aplaudió y escuchó con una
serenidad y respeto que no se dispone en otros públicos del mundo, ruidosos y
al límite de un comportamiento educado. La cortesía, en Francia es proverbial,
también en las salas de concierto. Ni una tos, ni un suspiro.
Aunque hubo una cierta dificultad para llegar a Radio France
(París se bloquea a menudo a diferentes horas del día), al entrar en Radio France,
un edificio enorme, amplio, acristalado, aunque a la medida humana, se disipan
las dudas, los inconvenientes. Apolíneo y dionisíaco a la vez, el ambiente
reinante y el programa de la noche apaciguan a los espectadores y al entorno,
lleno de una aparente despreocupación y ligereza que predisponen al goce y la
escucha. Es como un ballet. El público, los acomodadores, todos, como de
puntillas y disponibles. No hay roces, ni voces resonantes, ni desencuentros. Casi
podría decirse que se roza la perfección. Voilà.
Disparition du pape François, au nom des pauvres du monde entier
Premier pape originaire d’Amérique du Sud, le primat argentin, qui vient de mourir à l’âge de 88 ans, avait mis sa personne au service des plus démunis de son pays puis du monde. Réformateur, il n’a pas hésité à bousculer les puissants dans leurs certitudes, mais aussi une Église catholique conservatrice, ébranlée par certains dossiers délicats.
Il Pontefice si trovava a Roma, a Casa Santa Marta, dove era
stato trasferito dopo il ricovero al Gemelli. Aveva 88 anni
Papa Francesco è morto oggi, lunedì 21 aprile. Il Pontefice
si trovava a Roma, a Casa Santa Marta, dove era stato trasferito dopo il
ricovero al Gemelli. A dare la notizia il cardinale Farrell: «Alle 7.35 il
Vescovo di Roma è tornato alla casa del Padre»
CITTÀ DEL VATICANO Isola di Sanciano, 3 dicembre 1552, poco
dopo mezzanotte: in una capanna, vegliato da un amico cinese, Francesco
Saverio, primo missionario gesuita, muore guardando la Cina, il sogno di una
vita distante un paio di miglia marine. Roma, 31 luglio 2013, Chiesa del Gesù:
sono passati poco più di quattro mesi da quando il conclave, il 13 marzo, ha
eletto l’argentino Jorge Mario Bergoglio e Francesco, primo Papa gesuita della
storia, celebra messa nella «chiesa madre» della Compagnia il giorno della
festa del fondatore, sant’Ignazio di Loyola.
«A me è sempre piaciuto pensare al
tramonto del gesuita, quando un gesuita finisce la sua vita, quando tramonta»,
dice nell'omelia. E cita l’immagine di padre Francesco Saverio che muore
guardando la Cina: «L’arte lo ha dipinto tante volte questo tramonto, questo
finale di Saverio. Anche la letteratura, in quel bel pezzo di Pemán. Alla fine,
senza niente, ma davanti al Signore. A me fa bene, pensare questo».
Il tramonto di Francesco, dopo 88 anni di vita e quasi
dodici di pontificato, porta con sé la sensazione di qualcosa di irreversibile,
la «rivoluzione della tenerezza» innescata dalla rinuncia di Benedetto XVI e
compiuta da quel prete «callejero», di strada, figlio di emigrati piemontesi -
il papà Mario ragioniere, impiegato nelle ferrovie, la madre Regina Sivori
casalinga impegnata a tirar su cinque figli - cresciuto al 531 di calle
Membrillar, nel barrio Flores di Buenos Aires, quartiere di italiani dove Alfredo
Di Stefano, un signore del quale Pelè diceva «per me il più forte è stato lui»,
ricordava di averlo visto giocare a pallone con gli altri ragazzini.
Il diploma
da perito chimico, la vocazione, il seminario, e a ventun anni il noviziato
della Compagnia a Cordoba, a settecento chilometri da Buenos Aires,
accompagnato in bus dai genitori: anni difficili, perché dai gesuiti studiano
molti figli di famiglie bene, ricche, e lui ne ricaverà un senso di solitudine
e il risentimento per quella mentalità elitaria che definirà la «psicologia da
principi».
Così all’inizio c’è già tutto. I confratelli cardinali,
nella Sistina, sanno bene chi stanno votando. Bergoglio era già stato il nome
dei «progressisti» nel conclave del 2005 che aveva eletto Ratzinger. Ma
l’atmosfera cupa e asfittica che ha accompagnato lo scandalo Vatileaks, la
necessità di una scossa che Benedetto XVI avverte per primo, decidendo di
dimettersi, portano uno dei conclavi sulla carta più conservatori - gli
elettori sono stati nominati quasi tutti da Wojtyla e Ratzinger - a scegliere
quel cardinale che a Buenos Aires raggiungeva in bus i sobborghi della villas
miserias, le famiglie di baraccati talvolta non sapevano che quel prete fosse
l’arcivescovo.
Nelle riunioni dei cardinali prima del conclave, il 9 marzo,
l’intervento del gesuita argentino già contiene il programma del pontificato:
«La Chiesa è chiamata a uscire da se stessa e ad andare verso le periferie, non
solo geografiche ma anche esistenziali», dice. La Chiesa aperta: «A volte penso
che Gesù bussi da dentro, perché lo lasciamo uscire».
Accetta l’elezione come
un «peccatore » che confida «nella misericordia» di Dio, e lascia tutti senza
fiato quando dice: «Vocabor Franciscus», mi chiamerò Francesco. Mai nessun
pontefice aveva scelto il nome del santo di Assisi. «Non dimenticarti dei
poveri», gli aveva detto il francescano Hummes, che gli sedeva accanto. Quattro
giorni più tardi sarà lo stesso Papa, l’indice al petto, a raccontare: «Quella
parola è entrata qui: i poveri, i poveri... Ho pensato subito a Francesco
d’Assisi. Poi ho pensato alle guerre, e Francesco è l’uomo della pace. E così,
è venuto il nome, nel mio cuore… Ah, come vorrei una Chiesa povera e per i
poveri!».
La veste bianca, l’uscita dalla Sistina. Prova subito a
chiamare Benedetto XVI ma a Castel Gandolfo non sentono la telefonata, si
parleranno alle 20,45, ma intanto anche Ratzinger scopre come tutto il mondo il
nuovo Papa che s’affaccia che dalla Loggia delle Benedizioni, «Voi sapete che
il dovere del Conclave era di dare un Vescovo a Roma. Sembra che i miei
fratelli Cardinali siano andati a prenderlo quasi alla fine del mondo, ma siamo
qui».
Non era una battuta. È l’idea che fonda il suo magistero,
quello che lui stesso ha definito «lo sguardo di Magellano», il grande
navigatore portoghese che all’inizio del Cinquecento si propone di
circumnavigare il globo e «quando arriva arriva alla fine del continente
americano, guarda all’Europa dal nuovo punto raggiunto e capisce un’altra
cosa», perché «la realtà si vede meglio dalla periferia che dal centro».
Così il Papa arrivato «quasi dalla fine del mondo» rovescia
le prospettive, a cominciare dalla stessa figura papale. Resta a vivere nella
camera 201 a Santa Marta, l’albergo vaticano che ospitava gli elettori, perché
«non posso vivere da solo», e così cancella l’immagine da corte imperiale con
pochi eletti ammessi all’Appartamento apostolico che gli pare «un imbuto
rovesciato». Dopo una delle prime notti, all’alba vede una giovane guardia
svizzera fuori dalla porta, «sei stato in piedi tutta la notte, figlio?», lo fa
sedere e gli offre la colazione. Allergico al «si è sempre fatto così», spiega
che «all’inizio sono caduti alcuni muri: “Il Papa non può!”» e va di persona
nei negozi a cambiare occhiali o scarpe, si porta da sé il bagaglio a mano, si
stupisce dello stupore, «dobbiamo cercare di essere normali, la normalità della
vita».
E poi, i viaggi, cuore del suo magistero. Da una parte ci
sono le grandi sfide: il dialogo con la Cina e l’ «accordo provvisorio»
sottoscritto dal 2018 per la nomina dei vescovi; l’amicizia con l’Islam e il
«Documento sulla fratellanza umana» firmato nel 2019 a Dubai con il Grande imam
di Al Azhar Ahmad Al-Tayyeb, massima autorità sunnita; il viaggio in Iraq del
2021, primo Papa nella terra di Abramo, e l’incontro con il grande ayatollah
Ali Al-Sistani, leader sciita; l’avvicinamento col mondo ortodosso e il primo,
storico incontro tra un Papa e il patriarca di Mosca, Kirill, il 12 febbraio
2016.
Dall’altra, le periferie. Francesco dà voce e visibilità
agli ultimi della Terra, gli «scartati», come un faro proiettato, almeno per
qualche giorno, sulle vicende di popoli che non interessano a nessuno, oscurati
dalla comunicazione globale. Bisognava vederlo, in Bangladesh, mentre chiedeva
«scusa» a nome di tutto il mondo ai Rohingya, alla donna musulmana che gli
diceva piangendo: «Vorrei mostrare il mio dolore al capo dei cristiani» .
O tra
i Mapuche e gli indios dell’Amazzonia: «Dobbiamo lasciare da parte la logica di
credere che ci siano culture superiori o inferiori». Il primo viaggio lo compie
a sorpresa tra i migranti a Lampedusa, al centro del Mediterraneo divenuto «un
grande cimitero», per denunciare la «globalizzazione dell’indifferenza» e i troppi
«muri» destinati a crollare, come ripeterà a Lesbo, Cipro, Malta, «i ponti sono
sempre soluzioni, i muri mai».
Nella sua terza enciclica, Fratelli tutti , aveva scelto un
verso di Virgilio, «Sunt lacrimae rerum et mentem mortalia tangunt», per dire
con Enea il dolore delle cose e delle vicende umane che toccano la mente e il
cuore. Perché è «la realtà stessa che geme e si ribella», in un mondo nel quale
in un mondo nel quale «tutto è connesso»: la devastazione dell’ambiente,
l’iniquità dell’economia e la «cultura dello scarto» a danno degli ultimi, la
tragedia delle migrazioni e la «terza guerra mondiale combattuta a pezzi».
Certo, ci sono le riforme «strutturali» avviate o compiute,
dalle finanze vaticane alla Curia romana, un impulso al decentramento della
Chiesa che si riflette nella centralità del Sinodo dei vescovi mondiali sulle
questioni più delicate e nella nomina di un «Consiglio» del Papa composto da un
gruppo di cardinali da tutti continenti, le nomine cardinalizie che premiano
piccole realtà periferiche a scapito delle sedi storiche, un conclave sempre
meno eurocentrico e occidentale e sempre più rappresentativo del Sud del mondo.
Ma l’aspetto centrale resta il ritorno all’essenziale del
cristianesimo, «le Beatitudini e il capitolo 25 del Vangelo di Matteo, li c’è
tutto», l’atteggiamento che nel giorno del Giudizio distinguerà i giusti dai
dannati: «Ho avuto fame e mi avete dato da mangiare, ho avuto sete e mi avete
dato da bere, ero straniero e mi avete accolto, nudo e mi avete vestito, malato
e mi avete visitato, ero in carcere e siete venuti a trovarmi». Il kerygma, il
Vangelo sine glossa, in purezza.
Di ritorno dal primo viaggio internazionale,
la Giornata mondiale della gioventù di Rio de Janeiro, i giornalisti in volo
gli chiedono se in Vaticano esista la «lobby gay» di cui si era parlato, e lui
spiega tranquillo: «Si deve distinguere il fatto che una persona sia gay dal
fatto di fare una lobby. Se è lobby, tutte le lobby non sono buone. Ma se una
persona è gay e cerca il Signore e ha buona volontà, chi sono io per
giudicare?».
Tutto questo senza peraltro cedere nulla sulle prerogative
del Papa, com’è peraltro ovvio per un gesuita, un pontefice talvolta brusco con
i collaboratori e, nel caso, duro: prosegue la «tolleranza zero» di Ratzinger
sulla pedofilia e arriva a togliere la porpora all’ex cardinale di Washington,
Theodore McCarrick (l’unico precedente risaliva al 1927), così come toglie «le
prerogative del cardinalato» al cardinale Angelo Becciu perché sia processato
per lo scandalo degli investimenti finanziari della Segreteria di Stato.
Di nemici ne ha tanti, soprattutto nella destra cattolica
degli Stati Uniti e nelle frange più reazionarie che cercano di contrapporlo a
Benedetto XVI, ma Francesco liquida i timori di uno scisma («ce ne sono stati
tanti, nella storia della Chiesa») e non replica: «Con le persone che cercano
solo divisione scandalo, l’unica risposta è il silenzio di Gesù. Con Satana non
si dialoga».
Dietro la semplicità apparente, i riferimenti di Francesco
sono sottili, nascosti. Nel greco dei Vangeli, il verbo che indica la
compassione di Gesù è splanchnízomai e viene da splánchna , l’«utero» o le
«viscere» della madre. Toccare le ferite, il dolore. Le viscere materne della
misericordia. Il 18 gennaio 2015 celebra a Manila una messa davanti a sei
milioni persone, «il più grande avvenimento nella storia dei papi», fa notare
padre Lombardi.
Ma nella memoria resta il volo nelle tempesta verso Tacoblan, un’isola
devastata dal tifone Yolanda, la messa sotto la pioggia davanti ai
sopravvissuti, e Francesco che guarda i volti in lacrime di chi ha perso tutto,
figli, amori, case, soppesa l’omelia già scritta, lascia perdere i fogli: «Io
non so che cosa dirvi. Il Signore sì, sa che cosa dirvi», e dice, a braccio,
una delle omelie più belle del pontificato.
Raccontava che il primo annuncio cristiano lo aveva ricevuto
da una donna, Rosa, la nonna paterna, e per questo amava la poesia che
Friedrich Hölderlin aveva dedicato alla sua, ne sillabava i versi, «che l’uomo
mantenga quel che il fanciullo ha promesso». Francesco lo ha mantenuto. E
pazienza se anche lui, tramontando, non è riuscito ad andare in Cina.
Dopo la
morte di Francesco Saverio, fu il missionario gesuita Matteo Ricci a compiere
il sogno del confratello, il 7 agosto 1582, sbarcando trentenne da un galeone
portoghese nella colonia di Macao. Perché «il tempo è superiore allo spazio» e
l’essenziale è «aprire processi». Il resto verrà: «Dio ci “primerea”, ci
anticipa, sempre».
Au Grand Théâtre, le chorégraphe Damien Jalet et l’artiste visuel Kohei Nawa proposent une quête sensuelle et méditative avec Mirage, sur une musique de Thomas Bangalter.
Après VESSEL, Mist et Planet [wanderer], Damien Jalet et Kohei Nawa prolongent leur exploration de la nature et de ses phénomènes inattendus pour dépeindre une humanité en quête de sens. Dans une série de transformations imprédictibles, aux évocations tant mythologiques que scientifiques, les danseuses et danseurs du Ballet du Grand Théâtre de Genève se transforment, couche après couche, dans une variété infinie d’états physiques et émotionnels.
Mirage s’inspire de ces effets d’optiques fascinants et de la fata morgana pour dépeindre la perpétuelle métamorphose du vivant. Dévoilant à la fois les spectres d’une civilisation au bord d’un puits sec et la sensualité des couleurs éclatantes d’une nature tropicale, Mirage se traverse comme un rêve éveillé, fluctuant et mouvant, à l’instar des phénomènes atmosphériques.
Présentée en première mondiale, cette nouvelle création sera mise en musique par l'artiste français Thomas Bangalter.
6, 7 et 9 mai 2025 – 20h 11 mai 2025 – 15h Au Grand Théâtre de Genève
NAZI LEBENSBORN KUNSTHAL ROTTERDAM
Documentary photographer Angenieten Berkers (1985, Nijmegen)
spent five years researching the Nazi Lebensborn programme, which aimed to
increase the number of 'Aryan' descendants. She compiled her findings in the
book Lebensborn. Birth Politics of the Third Reich. On the occasion of the
commemoration of 80 years of freedom in the Netherlands, Kunsthal Rotterdam
will present her work in the exhibition Lebensborn from 28 March.
The exhibition tells the impressive story of this
extraordinary history through photography, archive material and interviews,
with an emphasis on the most important events and the personal consequences for
those involved. Berkers documented the experiences of nine children who are now
in their eighties. The Kunsthal is drawing attention to the stories of three of
them – Gisela, Michael and Ingrid.
During her research, Berkers found objects and documents
that show how nationalist ideas permeated Lebensborn homes in an eerily
organized way. The exhibition includes measuring instruments that were used at
the time to determine an 'Aryan' ancestry. Berkers also visited former
Lebensborn homes and photographed both the buildings and the surrounding
landscape. Although these locations now have a different function, they remain
silent witnesses of an eventful past.
Lebensborn Program
In 1935, Germany started a program to provide the Third
Reich with the new generation of leaders and future elite: Lebensborn (Source
of Life). The architect behind this plan, Heinrich Himmler, aimed to improve
the 'racial quality' in the new National Socialist empire that was to be built
with these children. Due to the sharp decline in the birth rate, abortion and
contraception were banned. Families with children received financial
incentives. Before leaving for the front, SS officers were urged to father as
many children as possible, even outside marriage.
In the Lebensborn homes spread across Europe, married and
unmarried women could give birth to their children if they met the requirements
of the Aryan race. When it turned out that the program did not yield sufficient
results, they proceeded to abduct children with blond hair and blue eyes from
Eastern Europe and then 'Germanize' them. After the war, the children from
these homes and their families were often stigmatized and sometimes even
mistreated or abused. Many grew up with secrets.
Lebensborn. Birth Politics of the Third Reich
Angenieten Berkers bundled her years of research last year
in the book Lebensborn. Birth Politics of the Third Reich (40 EUR, 272 pages,
EAN 9789083357164). For sale in the Kunsthal shop and webshop.
About Angenieten Berkers
Angenieten Berkers (1985) is a socially engaged photographer
based in Rotterdam and a graduate of the Royal Academy of Art, The Hague. She
worked as a sociotherapist for years and helped veterans and refugees with
complex PTSD and young people with acute psychiatric problems, among others. As
a photographer, she chooses sensitive subjects that she wants to portray in an
honest and nuanced way. With her work, she tries to get a grip on the extremes
of contemporary society and challenges the viewer's frame of reference.
Au cœur de la basilique cathédrale de Saint-Denis, se
prépare un bal d'outre-tombe. D'Aliénor d'Aquitaine à Marie-Antoinette en
passant par Catherine de Médicis, chacune de ces reines reprend vie le temps
d'une nuit pour raconter un pan de l'histoire de ce lieu pluriséculaire. Point
de Vue a pu assister aux répétitions de ce spectacle immersif auquel pas moins
de 250 bénévoles ont pris part.
Par Victoire Brunet - 19 avril 2025,
Sur le perron de la cathédrale, des voix de barytons
s'élèvent et se mêlent aux cris des enfants qui jouent sur la place. Tandis que
le soleil se couche, un acteur s'entraîne à déclamer son texte sous l'œil
exigeant du metteur en scène, Charles Mollet.
Président de la société de
production Polaris, mandatée par le Centre des Monuments nationaux pour
imaginer un spectacle sur la basilique Saint-Denis, c'est lui qui est à
l'origine du scénario de La Nuit des Reines.
Il a choisi de conter
l'histoire de l'édifice à travers le destin de six figures féminines, "un
contrepoint" volontaire à la quarantaine de souverains qui y sont inhumés.
"Nous aurions pu parler des rois de France, mais dans ce lieu qui a été
marqué par les femmes, cela aurait été dommage", nous confie-t-il. Car
c'est bien là, sous ces impressionnantes voûtes gothiques, que les reines
étaient sacrées et que 32 d'entre elles reposent à présent.
Un spectacle participatif bien rodé
Aux quatre coins de l'église, devant les gisants, dans la
sacristie – habituellement interdite au public – ou dans la crypte, six acteurs
professionnels s'activent face à une assistance composée d'autres acteurs et de
bénévoles.
fois leurs scénettes terminées, c'est au tour des observateurs
de prendre place. Au total, 12 comédiens de métier et 250 personnes de tous les
âges, professions et confessions, Dionysiens pour la plupart, se sont lancés
dans l'aventure. "C'est avant tout un spectacle participatif",
souligne Charles Mollet.
S'ils ont reçu des
cours intensifs de théâtre avant, chacun y va de ses conseils, les plus
expérimentés coachant certains novices. Le tout dans la bienveillance.
"Nous nous voyons en dehors des répétitions aussi", s'enthousiasme
Séverine Berthelot qui prête ses traits à Sainte Geneviève.
Habituée du petit
écran, aperçue dans le film Les enfants des autres, elle insiste sur le rôle de
cette représentation comme moyen de "réintroduire la culture chez les
jeunes"……..
In occasione del 25 aprile, Anniversario della Liberazione, il Museo sarà aperto con INGRESSO GRATUITO. Ingresso con il consueto orario. Non è necessaria la prenotazione.
Si ricorda ai visitatori che la Sala degli Ori Castellani è chiusa in occasione delle giornate gratuite.