viernes, 17 de enero de 2025

EXPOSITION DISCO. PHILHARMONIE DE PARIS

 

du 14 février au 17 août 2025

Née aux États-Unis au début des années 1970, la musique disco devient rapidement un phénomène planétaire. À rebours des clichés, cette exposition rend justice à la fulgurance de cette musique fortement ancrée dans l’histoire et la culture noires des États-Unis, héritière de la soul, du gospel et du funk. 

Un ensemble d’archives audiovisuelles, de photographies, d’instruments et de costumes souligne la dimension politique et festive de cette musique qui a porté sur la piste de danse différentes minorités et classes sociales, toutes réunies dans un même élan hédoniste. Accompagnée d’une bande-son mixée par Dimitri from Paris, l’exposition insiste sur l’esthétique que le disco a suscité auprès des artistes et des designers.

I am what I am : de la lutte à la fête

La musique disco reflète le contexte politique et militant dans lequel elle a émergé, en particulier l’ensemble des luttes liées à l’affirmation des droits civiques, aux mouvements de libération gays et aux revendications féministes de la fin des années 1960. 

Contribuant à la popularisation de la musique et de la culture noires auprès d’un large public, le disco consacre le talent d’artistes visionnaires comme le duo Chic, le chanteur Sylvester, les producteurs Giorgio Moroder, Cerrone ou Jacques Morali, ou encore le batteur Earl Young, inventeur du disco beat. Interprétés par des femmes africaines-américaines, dont les voix ont été formées à la soul et au gospel, les tubes de Diana Ross, Donna Summer, Grace Jones ou Loleatta Holloway célèbrent les thèmes de l’émancipation et de la conquête du plaisir féminin.

Night Fever : les discothèques, usines à rêves

Impulsé par les DJ, le phénomène disco témoigne des nombreuses innovations qui touchent le monde de la musique, comme le maxi 45 tours, la technique du mixage, les light shows ou encore l’amplification à outrance. 

Nouvelles usines à rêves, les discothèques rivalisent de prouesses technologiques afin d’attirer les danseurs : à côté des danses de couple, comme le bump ou le plus populaire hustle, triomphent les danses individuelles qui témoignent d’une libéralisation des corps jusqu’alors inédite.

Celebration : une pop culture

Amorcé au sein des minorités gay, noire et latino, le mouvement disco conquiert dès 1977 l’ensemble des classes sociales, aux États-Unis comme en Europe, accompagnant l’émergence d’une société des loisirs et du paraître pour célébrer, au terme d’une décennie de luttes, l’émancipation des mœurs. 

Symbole de cette expansion, le succès mondial du film La Fièvre du samedi soir donne naissance à une véritable discomania qui pénètre l’ensemble de la pop culture, du cinéma à la mode, en passant par la télévision, les comics, la publicité ou le marketing.

Commissaire

Jean-Yves Leloup

Conseiller

Patrick Thévenin

https://philharmoniedeparis.fr/fr/activite/exposition/27966-disco

SERIE LUDWIG | TRAILER - BBC

David Mitchell and Anna Maxwell Martin star in a new comedy drama on iPlayer. David Mitchell plays John Taylor/Ludwig, a genius recluse who finds out his twin brother has gone missing. At the request of his brother's wife Lucy (Anna Maxwell Martin), John impersonates his detective brother to find out what's happened.


#Ludwig #Mystery #Drama #Comedy #Detective #Puzzle

All our TV channels and S4C are available to watch live through BBC iPlayer, although some programmes may not be available to stream online due to rights. If you would like to read more on what types of programmes are available to watch live, check the 'Are all programmes that are broadcast available on BBC iPlayer?' FAQ 👉 https://bbc.in/2m8ks6v.

EXPOSITION "APOCALYPSE HIER ET DEMAIN". BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE (BNF)

 4 fév. 2025 Until 8 juin. 2025

François-Mitterrand

Galeries 1 et 2

La BnF propose la première grande exposition consacrée à l’apocalypse. L’apocalypse ? Un mot obscur, qui fait peur, un mot qui parle de la fin du monde. 

Il n’en finit pas de résonner depuis deux mille ans dans notre culture et nos sociétés occidentales quand survient une catastrophe majeure, et aujourd’hui encore, en fond de nos angoisses climatiques. Et pourtant… 

Ce mot signifie révélation, dévoilement. Dans sa source biblique, l’Apocalypse parle d’un voile se levant sur le royaume intemporel qui réunira les croyants dans la Jérusalem céleste. Un mot porteur d’espoir, fait pour déjouer nos peurs profondes ?

Du Moyen Âge à notre époque, l’exposition traverse cet imaginaire en montrant certains des plus prestigieux manuscrits de l’Apocalypse de Jean, des fragments rarement présentés de la célèbre tenture de tapisseries d’Angers, ou la fameuse suite de gravures de Dürer consacrées au texte, mais aussi de nombreux chefs-d’œuvre, tableaux, sculptures, photographies, installations, livres rares, extraits de films, venant des collections de la Bibliothèque comme des plus grandes collections françaises et européennes, publiques et privées (Centre Pompidou, musée d’Orsay, British Museum, Victoria and Albert Museum, etc.).

Parmi ces quelque 300 pièces, des œuvres de William Blake, Odilon Redon, Vassily Kandinsky, Ludwig Meidner, Natalia Gontcharova, Otto Dix, Antonin Artaud, Unica Zürn, jusqu’à Kiki Smith, Tacita Dean, Miriam Cahn et Anne Imhof.

L’exposition en bref

Ouvrant le parcours de l’exposition sur les deux galeries du site François-Mitterrand, la section « Le Livre de la Révélation » plonge le spectateur dans l’Apocalypse de Jean, le texte apocalyptique le plus célèbre de l’Occident. 

Elle offre des clés d’interprétation des représentations liées aux différents épisodes qui le composent, des sept sceaux au Jugement dernier, en mettant en lumière le sens originel du récit : le sens positif d’une révélation plutôt que d’une fin tragique. 

En explorant ce texte complexe et infiniment riche, et en exposant ses visions ainsi que les récits multiples qui s’y entremêlent, l’exposition cherche à renouer avec la compréhension de ce message et de cette mise en garde vieille de 2000 ans. Manuscrits enluminés flamboyants et œuvres majeures — peintures, sculptures, dessins, vitraux, et tapisseries — témoignent de l’importance et de la diffusion de ce texte et de son iconographie au Moyen Âge, tout en montrant comment cet imaginaire s’est consolidé et continue d’influencer notre époque.


La seconde partie de l’exposition, intitulée « Le temps des catastrophes », est consacrée à la fortune de l’apocalypse dans les arts, de Dürer à Brassaï, en passant par le sublime apocalyptique anglais et l’expressionnisme allemand. 

Elle rappelle que le texte a donné naissance à des œuvres qui comptent parmi les chefs-d’œuvre de l’histoire de l’art, illustrant ainsi la fascination tenace et persistante des artistes — et à travers eux, de l’humanité — pour ce récit qui mêle les fléaux et la fin des temps à l’espoir et à l’attente d’un monde nouveau.

Loin de se limiter à une vision catastrophiste de l’apocalypse, véhiculée par le genre post-apocalyptique dans la littérature, le cinéma et la bande dessinée, et revenant à son sens originel, l’exposition accorde une large place au « Jour d’après ». 

Cette section présente un ensemble d’œuvres contemporaines, dont certaines de format monumental (Otobong Nkanga, Abdelkader Benchamma, etc.), qui esquissent ce « Jour d’après », marqué par la « colère » divine ou celle des éléments. 

C’est autour de ce « Jour d’après » que se construisent les fictions et représentations les plus inventives, qui, d’une certaine manière, restent fidèles à l’apocalypse, en concevant la catastrophe comme le prélude à un nouvel ordre du monde.

Commissariat

Commissariat général

Jeanne Brun, directrice adjointe du Musée national d’Art moderne - Centre Pompidou en charge des collections

avec la collaboration de Pauline Créteur, chargée de recherche auprès de la directrice adjointe du Musée national d’Art moderne - Centre Pompidou

Commissariat

François Angelier, journaliste et essayiste

Charlotte Denoël, cheffe du service des Manuscrits médiévaux, département des Manuscrits, BnF

Lucie Mailland, cheffe du service Philosophie, religion, département Philosophie Histoire Sciences de l’homme, BnF

Cette exposition est réalisée avec la participation exceptionnelle du Centre Pompidou

En partenariat avec Télérama, Connaissance des Arts, ARTE, Le Monde, France Culture, La Cinémathèque

https://www.bnf.fr/fr/agenda/apocalypse

THE WINNERS OF THE NINTH EDITION OF RENATA TEBALDI INTERNATIONAL VOICE COMPETITION – OPERA SECTION

 


The winner of the ninth Renata Tebaldi competition in San Marino was born in Pesaro as Renata Tebaldi: the baritone Matteo Mancini won the first overall prize by interpreting one of the most famous pieces by his fellow citizen Gioachino Rossini, “Largo al factotum” from “Il barbiere di Siviglia”.

Mancini, born in 1998, was a student of the Accademia del Blecanto “Rodolfo Celletti” in Martina Franca, of the Accademia Rossiniana “Alberto Zedda” in Pesaro and of the Accademia del Maggio Musicale Fiorentino. 

He presented himself to the jury with a program that ranged from Mozart to Richard Strauss, from Ambroise Thomas to Nino Rota, as well as the aforementioned Rossini. 

In addition to the first prize, Mancini was also given a contract in the season of the An der Wien theater in Vienna and for a concert in São Paulo in Brazil.


The second overall prize was awarded to the Kazakh soprano Altynbek Aigerim (1996), who sang

“Senza mamma” from Puccini’s Suor Angelica in the final concert.


The third place went to the Norwegian Lydia Hoen Tjor (1994), who performed “Bel raggio lusinghier” from Rossini’s Semiramide. The soprano also won the critics’ prize and the audience’s prize.


Among the numerous special prizes (which will be announced in detail in the next days), it is also worth mentioning the scholarship for the youngest finalist – kindly offered by Soroptimist International and Single Club Repubblica di San Marino – which went to the Italian soprano Mariam Suleiman (born in 2000, who performed Pamina’s aria from Mozart’s Die Zauberflöte in the final), while the scholarship for emerging talent went to the youngest voice admitted to the competition, the Korean soprano Hyemyung Kim (2003).

The other finalists who performed in the concert on December 20 at the Teatro Concordia in San Marino were the Norwegian soprano Hannah Edmunds (1999, “Tu che di gel sei cinta”, Turandot, Puccini), the Korean bass Hyukwoo Kwon (1992, “La calunnia”, The Barber of Seville, Rossini), the Korean baritone Seungwoo Sun (1995, “Votre toast”, Carmen, Bizet), the Bolivian soprano Shelén Hughes (1996, “Deh vieni, non tardar”, The Marriage of Figaro, Mozart), the Austrian soprano Vanessa Waldhart (1994, “Ach, ich liebte”, Die Entführung aus dem Serail, Mozart). The concert, opened with Rossini’s Cenerentola symphony, was accompanied by the G. Rossini Symphony Orchestra conducted by Nicola Valentini.

https://www.fondazionerenatatebaldi.org/en/2024/12/announced-the-winners-of-the-ninth-edition-of-renata-tebaldi-international-voice-competition-opera-section/

martes, 14 de enero de 2025

EL INCENDIO EN CALIFORNIA DESTRUYE BELMONT MUSIC PUBLISHER, CONSAGRADO AL LEGADO DE SCHOENBERG. INTERNATIONAL CLASSICAL MUSIC AWARDS (ICMA) ANNOUNCE THE 2025 WINNERS.

 El incendio de Los Ángeles destruye Belmont Music Publishers, que había sido consagrado a preservar el legado de Arnold Schoenberg

El incendio de Los Ángeles arrasa con Belmont Music Publishers, dedicado a preservar el legado de Schoenberg - Scherzo

ICMA AWARDS

Today, the Jury of the International Classical Music Awards (ICMA) announced the winners of the awards for the 2025 edition. Jury President Remy Franck says: « Our awards were chosen from a nomination list comprising 374 releases and a wide range of artists and labels. The winner list comprises many renowned as well as young musicians and no less than 17 international labels!



We include again the ICMA Classeek Award which is organized in collaboration with the digital platform Classeek and continue our long-lasting cooperation with the International Music Academy Liechtenstein, so that together with the Young Artist Award, we can promote three young and highly promising talents. 

Our awards are recognitions of excellence in musical performance. They can provide – and have already provided, as many of our previous winners can acknowledge – many benefits for the winners, artists as well as labels, enhancing reputation and increasing personal motivation. We have assurance that the full benefit of our awards will be felt by all our winners, in a musical environment in which revenue from streaming services, for example, brings anything but real rewarding. »

Violinist Gidon Kremer wins the Lifetime Achievement Award. Conductor  Leonardo García Alarcón is Artist of the Year. Cellist Benjamin Kruithof is Young Artist of the Year and pianist Can Saraç is the winner of the Discovery Award. Christoph Ehrenfellner wins the Composer Award. BR Klassik is Label of the Year. The ICMA-Classeek Award goes to cellist Ettore Pagano. 

Special Achievement Awards are granted to conductor Adam Fischer, to pianist Oliver Triendl and to the Düsseldorfer Symphoniker. In the audio and video categories, 17 productions have been awarded, with artists such as Vilde Frang, Unsuk Chin, Anna Gourari, Marin Alsop, Andreas Scholl, Samuel Hasselhorn and many more.

The winners receive the ICMA trophies during the annual Award Ceremony that will take place at the Tonhalle in Düsseldorf, on 19 March 2025. This evening will also include a Gala Concert with the participation of several of the winners and the Düsseldorfer Symphoniker conducted by Adam Fischer.

https://www.icma-info.com/international-classical-music-awards-icma-announce-the-2025-winners/#more-4338

sábado, 11 de enero de 2025

DORA CARRINGTON: BEYOND BLOOMSBURY. LIBRO: "EL PAPA EN GUERRA", DAVID I. KERTZER


9 November 2024 until 27 April 2025

Dive into the life and work of Dora Carrington – a remarkable artist who defied social norms with her bohemian lifestyle.

 

This will be the first museum exhibition of works by Dora Carrington (1893-1932) in almost 30 years. The Barbican Art Gallery held the last major exhibition of her work in 1995 and in the same year Emma Thompson starred as the free-spirited painter in the film Carrington. 

Co-curated by Anne Chisholm, editor of Carrington’s Letters (2017) and Ariane Bankes, the exhibition will reveal the continued relevance of Carrington’s remarkable work and unconventional life.

 

As a significant contributor to Modern British art during the interwar years and an associate of the Bloomsbury Group, Carrington was described as ‘the most neglected serious painter of her time’ by former Tate Director, Sir John Rothenstein. 

This exhibition aims to reposition Carrington in the history of Modern British art. Spanning paintings, drawings and prints from across her career, the exhibition will include film and photographs from private and public collections. 

It will form a powerful portrait of Carrington, exploring her defiance of gender norms and her circle of eminent friends. Taken together, her artworks, many made for her friends, capture a Bohemian way of life: loving, creative, domestic and intimate.

https://pallant.org.uk/whats-on/dora-carrington/


EL PAPA EN GUERRA

La historia secreta de Pío XII, Mussolini y Hitler

Atico de los Libros - 9788419703705

Historia UniversalII Guerra Mundial y guerra fría

Sinopsis de EL PAPA EN GUERRA

El verdadero rol del papa durante la Segunda Guerra MundialCuando Pío XII murió en 1958, sus documentos permanecieron sellados en el Archivo Secreto Vaticano. Así, multitud de preguntas sobre lo que sabía e hizo durante la Segunda Guerra Mundial y el Holocausto quedaron sin respuesta. Con el tiempo, esas preguntas no han hecho más que crecer y enconarse, y Pío XII se ha convertido en uno de los papas más polémicos de la historia. En 2020, los archivos de Pío XII se desclasificaron finalmente. 

David I. Kertzer, uno de los principales estudiosos sobre el Vaticano, ha accedido a estas nuevas y cruciales fuentes, así como a archivos de Italia, Alemania, Francia, Gran Bretaña y Estados Unidos, para trazar un extraordinario y actualizado retrato de las acciones y omisiones del papa mientras la guerra desgarraba el continente y los nazis asesinaban en masa a los judíos de Europa. 

El papa en guerra aclara los mitos que han rodeado a las acciones del papa entre 1939 y 1945, y muestra un papa que se plegó repetidamente a la voluntad de Hitler y Mussolini.Esta es, sin duda, la obra definitiva sobre el rol del papa durante los terribles años de la Segunda Guerra Mundial.Best seller del New York TimesMejor Libro del Año para el New YorkerGanador del Premio Julia Ward HoweNominado al Premio Pen/Jacqueline Bograd

LOUVRE: BON ANNIVERSAIRE A MOLIÈRE. E “TOSCA” FESTEGGIA I 125 ANNI CON MARIOTTI SUL PODIO. OPERA DI ROMA

Bon anniversaire à Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, né le 15 Janvier 1622🎂 !
Sa statue, présentée au Louvre, est sculptée par Jean-Jacques Caffieri et fait partie d’une commande réalisée entre 1775 et 1789 par le comte d'Angiviller.
Dans cette commande de 28 statues, l'artiste souhaitait célébrer les plus grandes figures françaises.
📍 Venez découvrir cette œuvre : Aile Richelieu, Galerie des Grands Hommes
🌎 Happy birthday to Jean-Baptiste Poquelin, mostly known as #Molière, born on January 15, 1622🎂
His statue, exhibited at the Louvre, is sculpted by Jean-Jacques Caffieri, and was commissioned between 1775 and 1789 by the Comte d'Angiviller. He wanted to celebrate France's greatest men through a commission of twenty-eight statues.


TOSCA A L´OPERA DI ROMA

A 125 anni esatti dalla data della sua prima rappresentazione assoluta, avvenuta il 14 gennaio 1900 al Teatro Costanzi, il più romano dei capolavori di Giacomo Puccini torna nel luogo del suo debutto. 

Il 14 gennaio 2025, alle ore 20.00, Michele Mariotti sale sul podio dell’Opera di Roma per dirigere Tosca nella versione scenica della prima rappresentazione assoluta, ricostruita dalla fondazione capitolina in collaborazione con l’Archivio Storico Ricordi nel 2015 a partire dagli originali bozzetti e da allora in scena regolarmente al Costanzi con la regia di Alessandro Talevi.

 Il direttore musicale dell’Opera di Roma torna a interpretare il titolo dopo averlo diretto per la prima volta nell’estate 2023 durante la tournée capitolina in Giappone, e poi a dicembre dello stesso anno sul podio del Costanzi.

 Nel ruolo della protagonista Saioa Hernández, che proprio come Tosca ha debuttato all’Opera di Roma nel 2021, mentre a incarnare Cavaradossi è Gregory Kunde, apprezzatissimo Otello nella Stagione 2023/24 del Costanzi. Gevorg Hakobyan è invece il barone Scarpia. 

Dopo la prima del 14, trasmessa in diretta su Radio3 Rai, sono in programma altre quattro repliche da giovedì 16 a domenica 19 gennaio. Mariotti dirige anche la Tosca del 16 gennaio, mentre nelle date del 17, 18 e 19 gennaio a salire sul podio è Francesco Ivan Ciampa, che con il titolo pucciniano debutta all’Opera di Roma.

 Nelle repliche del 17 e 19 gennaio, Tosca è invece interpretata da Anastasia Bartoli, Cavaradossi da Vincenzo Costanzo e nella recita del 19  nel  ruolo di Scarpia ci sarà Daniel Luis de Vicente. Completano il cast Luciano Leoni come Cesare Angelotti, Domenico Colaianni nella parte del Sagrestano e Saverio Fiore come Spoletta. Le scene e i costumi originali di Tosca, disegnati da Adolf Hohenstein, sono stati ricostruiti rispettivamente da Carlo Savi e Anna Biagiotti. Luci di Vinicio Cheli. Orchestra e Coro, diretto da Ciro Visco, sono del Teatro dell’Opera di Roma. Con la partecipazione della Scuola di Canto Corale del Costanzi.

In occasione del 125º anniversario della prima assoluta di Tosca, la sera della prima verrà scoperta in teatro una targa commemorativa della nascita del capolavoro pucciniano. 

Per esplorarne e approfondirne la genesi poi, l’Opera di Roma allestisce la mostra Tosca 125: Oltre la scena, con preziosi documenti, bozzetti, fotografie, manufatti e costumi provenienti dall’Archivio Storico Ricordi e dalle proprie collezioni.

 Un coinvolgente percorso espositivo in sette tappe, che svela le origini di Tosca nell’omonimo dramma di Victorien Sardou ammirato da Puccini; racconta aspetti poco noti del lavoro del compositore, del suo editore e dei suoi librettisti; illustra come vennero concepite scene, costumi e attrezzeria dell’originario allestimento di Adolf Hohenstein; e narra attraverso contributi audiovisivi in che modo il Teatro dell’Opera di Roma abbia ridato vita, nei propri laboratori e sul proprio palcoscenico, alla prima Tosca.

Tosca 125 è curata da Giuliano Danieli, Maria Pia Ferraris, Pierluigi Ledda e Alessandra Malusardi, ed è frutto della collaborazione istituzionale tra Teatro dell’Opera di Roma e Archivio Storico Ricordi, con l’apporto di LeviDigiLab – Fondazione Ugo e Olga Levi per i contenuti audiovisivi. 

Sarà fruibile gratuitamente prima e durante gli intervalli degli spettacoli, e nel corso delle visite guidate, nella sala-museo al terzo piano del Teatro Costanzi, per l’occasione rinnovata in uno spazio moderno, immersivo e dinamico, che in futuro ospiterà altre esposizioni in dialogo con la programmazione artistica del Teatro.

Con Tosca 125 il Teatro dell’Opera di Roma continua dunque un percorso che coniuga innovazione e sensibilità per la valorizzazione del suo patrimonio musicale e teatrale. Accanto a questi aspetti, è centrale la ricerca di un sempre maggior coinvolgimento del territorio e la collaborazione con istituzioni che si occupano delle fasce più deboli della società.

Per questo Tosca, nel giorno del suo 125esimo compleanno, sarà ripresa e diffusa via streaming al Policlinico Gemelli, in diverse realtà legate alla Caritas di Roma – dalla mensa all’ostello “Don Luigi di Liegro”, passando per la casa di accoglienza Santa Giacinta – all’Istituto Romano San Michele, al Teatro Patologico e in altri luoghi. A questi si aggiunge l’Istituto Italiano di Cultura di Londra.

Il capolavoro di Puccini sarà ripreso nella versione della prima assoluta anche in altri due periodi della Stagione in corso. Dal 1° al 6 marzo 2025 il titolo è proposto con la direzione di Daniel Oren, mentre sul palco come Tosca sale la star Anna Netrebko. Accanto a lei, Yusif Eyvazov interpreta Cavaradossi e Amartuvshin Enkbath canta Scarpia. Nelle repliche del 2 e del 5 marzo i rispettivi ruoli sono invece incarnati da Yolanda Auyanet, Luciano Ganci e Gabriele Viviani.
La terza ripresa del capolavoro di Puccini va infine in scena dal 9 al 13 maggio 2025. A dirigere in questa occasione è James Conlon. Protagonisti Anna Pirozzi nel ruolo di Tosca, Luciano Ganci in quello di Cavaradossi e Claudio Sgura come Scarpia.

Ospitata anche in Spagna, Israele e Giappone, questa produzione di Tosca ricostruisce per lo spettatore odierno la Roma vissuta dal compositore lucchese. «Non ho mai smesso di ammirare la sottigliezza e la cura dei particolari con cui Puccini crea i suoi scenari – dice Alessandro Talevi – e il modo in cui richiedono costantemente un’indagine psicologica profonda da parte di cantanti e regista». 

Le vedute dell’alba romana dalla terrazza di Castel Sant’Angelo, gli interni dorati di Sant’Andrea della Valle, i rintocchi del Mattutino che Giacomo Puccini aspettava di cogliere all’alba per annotare l’intonazione corretta da inserire in partitura. 

Seguendo le originali volontà pucciniane, l’allestimento punta a far rivivere al pubblico l’opera così come Puccini la vide per la prima volta.


https://www.operaroma.it/news/tosca-festeggia-i-125-anni-con-mariotti-sul-podio/#:~:text=A%20125%20anni%20esatti%20dalla,nel%20luogo%20del%20suo%20debutto.