domingo, 29 de diciembre de 2024

HAPPY NEW YEAR 2025 FROM THE WHITNEY’S COLLECTION: SELECTIONS FROM 1900 TO 1965 ON VIEW

 This exhibition of more than 120 works, drawn entirely from the Whitney’s collection, is inspired by the founding history of the Museum. The Whitney was established in 1930 by Gertrude Vanderbilt Whitney, a sculptor and patron, to champion the work of living American artists. Mrs. Whitney recognized both the importance of contemporary American art and the need to support the artists who made it. The collection she assembled foregrounded how artists uniquely reveal the complexity and beauty of American life.

The exhibition begins with a gallery devoted to selections from the Museum’s founding collection, followed by galleries that weave their way through major art historical movements and genres. 

Key achievements by individual figures, including Georgia O’Keeffe and Jacob Lawrence, are interspersed throughout the show. Icons of the collection such as Calder’s Circus and the work of Edward Hopper are featured as well as more recent acquisitions—in particular, Norman Lewis’s American Totem (1960), a painting made at the height of the civil rights movement by an under-appreciated protagonist in the story of Abstract Expressionism. Such additions demonstrate that the Whitney’s collection is a dynamic cultural resource that allows us to continually reframe the history of American life and artistic production.

This exhibition is organized by David Breslin, former DeMartini Family Curator and Director of the Collection, with Margaret Kross, Senior Curatorial Assistant, and Roxanne Smith, Curatorial Assistant.

The Whitney’s Collection: Selections from 1900 to 1965 is sponsored by

Major support is provided by the Barbara Haskell American Fellows Legacy Fund.

Generous support is provided by the Jon and Mary Shirley Foundation.

https://whitney.org/exhibitions/collection-1900-to-1965

SIGNES ASCENDANTS : LA SCIENCE MÉDIÉVALE DE L’ASTROLOGIE EXPOSITION AU PST ART : L’ART ET LA SCIENCE ENTRENT EN COLLISION SÉRIE

 Les Européens médiévaux croyaient que les mouvements du soleil, de la lune, des étoiles et des planètes affectaient directement leur vie sur terre.

 La position de ces corps célestes avait le pouvoir non seulement d’influencer les personnalités individuelles, mais aussi de créer les conditions saisonnières idéales pour une variété de tâches allant de la plantation de cultures à la saignée. En explorant les 12 signes du zodiaque qui nous sont encore familiers aujourd’hui, cette exposition révèle les mystères de l’astrologie médiévale telle qu’elle se croisait avec la médecine, la divination et la vie quotidienne au Moyen Âge.

Centre Getty


Pavillon nord du musée, niveau Plaza

https://www.getty.edu/exhibitions/rising-signs-the-medieval-science-of-astrology/

INTERVIEW DE GUILLAUME CANET : "LOUIS XVI A TOUJOURS ÉVOLUÉ DANS UN MONDE D'APPARENCES" (POINT DE VUE)

Dans Le Déluge, du cinéaste italien Gianluca Jodice, il incarne un souverain désemparé, à l’approche des dernières semaines de sa vie alors qu’il est conduit à la tour du Temple avec sa famille. Une approche métaphysique de cette figure marquante, que l’acteur s’est appropriée au prix d’une spectaculaire métamorphose.

Par Emmanuel Cirodde

Guillaume Canet incarne Louis XVI dans Le Déluge, rôle pour lequel il a modifié son visage à l’aide de prothèses. © Fabio Lovino

La réplique cinglante de Marie-Antoinette : "Je ne supporte plus ta stupidité indécente !", en dit long sur ce Louis XVI...

Elle est fatiguée par son déni et son absence de réaction. Il semble ne pas prendre conscience de ce qu’ils sont en train de vivre. Louis XVI est un personnage assez particulier. Ce scénario m’a éclairé sur cet aspect de l’Histoire que je ne connaissais pas, lié à son comportement psychologique. Louis XV à sa mort avait dit : "Après moi, le déluge", car il savait que son petit-fils serait dans l’incapacité de gouverner. J’ai découvert chez lui une timidité, son incapacité à vivre avec une femme – il était très mal à l’aise en leur présence –, son bégaiement, son côté un peu renfermé, obsédé par ses horloges et les mouvements mécaniques. Il avait beaucoup de mal à vivre en société et a été élevé dans l’idée qu’il était détenteur du pouvoir divin et que pour cela, les gens l’aimaient. Le film montre cette désillusion, lorsqu’il se rend compte qu’il n’est qu’un homme et qu’il a fini par se faire détester par le peuple.

Quel était le point de vue du réalisateur sur Louis XVI ?

Il avait envie de dépeindre ce déclin qu’il articule en trois actes assez clairs : les dieux, les hommes et les morts. Il n’y avait pas de volonté particulière chez Gianluca Jodice de vouloir sauver ses personnages mais simplement de décrire ce qui arrive à n’importe quel individu qui se serait mal conduit dans sa vie lorsqu’il se retrouve face à sa mort. Une chose m’a paru très intéressante : Louis XVI semble tellement perdu qu’à la toute fin, lorsqu’il demande au bourreau de lui expliquer comment va se dérouler son exécution, il rajoute : "Et après ?". Ce qui laisse le guillotineur bouche bée. Comme si l’idée même de mourir n’était pas concevable pour Louis XVI.

Cela illustre aussi son rapport à la religion...

Bien sûr. Mais il est obligé de prendre conscience qu’il y a peut-être une autre réalité, et d’ailleurs, il pose des questions très crues. "Vais-je souffrir après que ma tête sera tranchée ? Comment cela se passe lorsqu’il reste de l’oxygène dans le cerveau ?" Il essaie encore de comprendre cette situation qui lui échappe totalement.

Un peu comme s’il s’agissait de se représenter un mouvement d’horlogerie ?

Exactement. Et le film relate d’ailleurs une anecdote liée à sa passion pour les inventions. Louis XVI avait lui-même conseillé Guillotin, l’inventeur de l’échafaud, en lui suggérant de remplacer la lame horizontale par une lame en biseau pour mieux couper ! Il en a fait les frais.

Oui, c’est la réflexion que je me suis faite en voyant le décor de l’extérieur. Mais cela ne m’a pas gêné parce qu’après tout, on peut se l’imaginer comme on veut. Ce sont aussi des conventions de cinéma, le principal étant que le récit soit le plus crédible possible. Le scénario a été écrit avec des historiens et s’inspire aussi des carnets de Cléry, le valet de Louis XVI qui a raconté avec beaucoup de détails comment l’homme a traversé cette déchéance.

Marie-Antoinette, incarnée par Mélanie Laurent dans le long-métrage Le Déluge, du cinéaste italien Gianluca Jodice. © Fabio Lovino

Outre cette lecture de Cléry, comment avez-vous préparé le rôle ?

J’ai rencontré un psychologue, un neurologue et un historien pour essayer d’en apprendre plus sur Louis XVI, sur l’origine de son bégaiement ou sa manière de se comporter. Il a toujours évolué dans un monde d’apparences. Du lever au coucher du roi, tout était théâtral. Au-delà de ce point, on notait chez lui un comportement et des symptômes qui laissent à penser qu’il avait une personnalité atypique. Une scène dans le film rapporte sa discussion à propos de l’égalité entre les hommes à laquelle il ne croit pas. Le film est très ancré dans notre époque, où tant de gens de pouvoir se prennent pour des dieux...

J’ai eu très peur. Je pensais que ça n’allait pas marcher, que le résultat était trop figé et que je serai privé des expressions du visage. J’ai montré des images et des vidéos à des proches qui m’ont beaucoup rassuré. Ce masque correspondait à la dimension royale du personnage restant souvent inexpressif mais accentuait aussi l’état de sidération dans lequel il finit par se retrouver. Je me suis aussi rendu compte que les yeux permettaient d’exprimer beaucoup de choses. Cette apparence m’a aidé à entrer dans la peau de Louis XVI. Je me levais à 3 heures du matin pour commencer la journée par quatre heures maquillage avant de tourner de 8 à 18 ou 19 heures.

Mélanie Laurent, Gianluca Jodice et Guillaume Canet à l'avant-première du film Le Deluge au cinéma UGC Ciné Cité Les Halles à Paris le 10 décembre 2024. © Coadic Guirec/Bestimage

Comment avez-vous abordé les scènes face à Marie-Antoinette qu’incarne Mélanie Laurent ? Vous êtes-vous attaché à donner une "musique" à vos échanges ?

Nous avions travaillé chacun de notre côté mais je n’ai pas le souvenir d’avoir vraiment réfléchi à la manière de créer quelque chose entre les deux. C’était assez agréable d’ailleurs de découvrir le travail de l’autre au fur et à mesure. Jouer un personnage ayant vraiment existé met une petite pression parce qu’on a envie d’atteindre un certain réalisme. J’ai appris beaucoup sur Louis XVI. Cela m’a aussi aidé à comprendre comment la Révolution a pu avoir lieu. S’il n’avait pas eu ce comportement psychologique, peut-être que les choses se seraient passées autrement. Ce roi a payé aussi pour tous les autres. Parce qu’il n’avait pas ce même rapport au pouvoir.

https://www.pointdevue.fr/culture/cinema/interview-de-guillaume-canet-louis-xvi-a-toujours-evolue-dans-un-monde-dapparences

VÍCTOR ULLATE ROCHE PRESENTÓ UN TALENTOSO ESPECTÁCULO PARA NIÑOS Y JÓVENES TAMBIÉN EN EL AUDITORIO DE EL ESCORIAL AL BORDE DE 2025


Teatro Auditorio de San Lorenzo de El Escorial. Dirección: Víctor Ullate Roche. 28 de diciembre, 2024

Composición musical y letrista: Lola Barroso. Dirección vocal y ayudantía: Nuria Sánchez

Intérpretes: Sergio Aguado, Mateo Cosín (Totó/don Quijote); Aarón Ullate, Marina Cobo (Vito/Sancho); Naia Castro (Chelo/Sobrina); Paula Castellote, Daniela Monter (Rose/Ama); Álvaro de los Santos, Sergio Jorge (Patxi/Barbero); Adriadna Lucena, Noa Sánchez (Maní/Cura).

Diseño de escenografía: Asier Sancho

Diseño de vestuario: Andrea Martínez y Leire Mendizábal

Coreografía: Ana Alcázar

Producción: Sing & Dance Project

Diseño de iluminación: Rafa Catalina

Precioso el musical Clown Quijote de la Mancha, basado en la obra de Cervantes, en la agenda cultural de la Comunidad de Madrid del 27 al 29 de diciembre en el Teatro Auditorio de San Lorenzo de El Escorial. El bailarín Víctor Ullate Roche dirige y protagoniza esta pieza, formada por un conjunto de 6 jóvenes artistas de entre 12 y 18 años, que siguen un guion de Antonio Muñoz Mesa y Olga Margallo.

En esta ocasión, y haciendo gala de creatividad, talento, y trabajo, los clowns descubren cómo se crea una obra de teatro. Guiados por un director, el propio bailarín Ullate Roche, saludando encantado a todos después de la función, disponible siempre, sumergen al público en las hazañas de Don Quijote y Sancho Panza, recordando episodios como la lucha contra los molinos de viento, el viaje con Clavileño, o el amor por Dulcinea.

Es admirable cómo se preparan los decorados, el vestuario, fantástico y sencillo, de bajos costes, reciclables claro está, cómo se comunican los jóvenes con el público, destacando en los párrafos, algunos muy reconocibles de la obra original cervantina, que resultan pedagógicos, didácticos (“Hay que leer…”), para que el público, adultos y muchos, muchos niños, recuerden en estos tiempos de Internet, fibra y fake news, qué es y sigue siendo realmente importantes.

La producción giró por varios municipios, también podría contratársela en los institutos y escuelas, y en los mejores teatros y salas de España, a menudo faltos de espectáculos para niños y jóvenes, que acaban incluidos en la oferta de los mayores.

Detrás de Víctor Ullate Roche hay una dinastía de grandes bailarines, y coreógrafos. Podríamos retrotraernos a la Escuela de Maurice Béjart, también y a academias notables españolas. En efecto, Víctor Ullate Roche (Bruselas, 2 de mayo de 1973) es un actor, bailarín y coreógrafo español, hijo de los bailarines Víctor Ullate y Carmen Roche.

Entre 1989-1992 inició sus estudios de Danza Clásica en el Centro de Danza Carmen Roche. En 1992 y hasta 1994 se diploma en la Escuela Rudra de Teatro, Danza y Canto de Maurice Béjart en Lausanne (Suiza) de la mano de maestros como Alain Louafi en Teatro, Carolyn Carlson y Malou Airaudo en Danza Contemporánea, David Howard y Azari Plisetsky en Danza clásica. Durante los años 1995 y 1996 realiza cursos de cine bajo la dirección de Mariano Barroso, de Interpretación con Juan Carlos Corazza y en el Actors Studio con John Strasberg.

Su experiencia profesional se inicia en 1993 de la mano de Maurice Bèjart con las obras Autour de Faust y Concerto en Re como protagonista realizando una gira europea. En 1994-1999 participa en la obra de Lindsay Kemp Company La Cenicienta interpretando un papel secundario.

En el año 1996 inicia su trayectoria en el teatro – comedia musical con papeles protagonistas en obras tan relevantes como West Side Story, con la que estuvo nominado como mejor bailarín en los premios Max de teatro. Vinieron tiempos de arduo trabajo…

A principios de 2009 sacó al mercado su primer álbum llamado Can you feel the musical, un homenaje a las canciones de los grandes musicales del mundo del cine. En 2009, se incorporó al musical Spamalot, en el papel de Sir Robin, que se estrenó el 10 de septiembre de 2009 en la Gran Vía de Madrid.

Actualmente dirige junto a su mujer, Nuria Sánchez, una escuela de Artes Escénicas llamada Sing and dance Project Victor Ullate Roche en la que se encargan de la formación de jóvenes artistas. Enhorabuena y que sigan las ideas, y los éxitos.

Alicia Perris

sábado, 28 de diciembre de 2024

MARÍA STUARDA DE DONIZETTI CERRÓ 2024 EN EL TEATRO REAL: BELLA

 María Stuarda, Música de Gaetano Donizetti (1797-1848). Tragedia lírica en dos actos. Libreto de Giuseppe Bardari, basado en la traducción de Andrea Maffei de la obra Maria Stuarda, de Friedrich von Schiller. Primer cast. 26 de diciembre de 2025.

Estrenada en el Teatro alla Scala de Milán el 30 de diciembre de 1835. Estreno en el Teatro Real en coproducción de esta sala con el Gran Teatre del Liceu, el Donizetti Opera Festival - Bergamo, La Monnaie/De Munt de Bruselas y la Ópera Nacional de Finlandia (Suomen kansallisooppera ja -baletti).

Equipo artístico

Dirección musical: José Miguel Pérez-Sierra

Dirección de escena y vestuario adicional: David McVicar

Escenografía: Hannah Postlethwaite

Vestuario: Brigitte Reiffenstuel

Iluminación: Lizzie Powell

Dirección de movimiento: Gareth Mole

Dirección del coro: José Luis Basso

Reparto

Elisabetta: Aigul Akhmetshina

Maria Stuarda: Lisette Oropesa

Roberto, conde de Leicester: Ismael Jordi

Giorgio Talbot: Roberto

Lord Guglielmo Cecil: Andrzej Filonczyk

Anna Kennedy: Elissa Pfaender

Coro y Orquesta Titulares del Teatro Real y actores, bailarines y acróbatas (primer acto).

Como expresan en el entorno del Real, “el Romanticismo en la ópera es una de las épocas más ricas de la historia musical, no solo por la coincidencia de grandes compositores sino por la búsqueda de nuevos equilibrios entre la conciencia social, la necesidad personal de expresión y la complejidad del individuo. La figura de Gaetano Donizetti se inscribe durante la primera mitad del siglo XIX como la de un artista privilegiado, capaz de sintetizar la tradición heredada de Mozart o Rossini con la vanguardia del bel canto. La ópera con él no solo hablará de amores imposibles: también lo hará de cómo encajar el deseo personal con la propia moral dentro de un mundo que exige cumplir con las etiquetas. Buena parte de ese ideario romántico estará presente en su “Trilogía Tudor”, conformada por Anna Bolena (1830), Maria Stuarda (1835) y Roberto Devereux (1837)”.

Son paradigmas femeninos complejos nada convencionales, que sobrevuelan sentimientos tan encontrados como la inteligencia, la ira, la seducción o la belleza. Esta obra se desarrolla en varias localizaciones en Inglaterra, marcadas por las evoluciones y los fragmentos de los diferentes personajes. En el palacio de Westminster, la reina, aunque consciente de las ventajas de una unión matrimonial con Francia (la que nunca finalmente se casó y permitió- oh paradojas! -, que fuera su heredero de la corona de Inglaterra y Escocia el hijo de la condenada María, Jacobo) para su país, es atraída por el noble Leicester, y lo confiesa una graciosa cavatina muy sugerente, “Ah, quando all'ara scorgemi”.

Leicester se conmueve por el mensaje y la grandiosidad del retrato que representa a María, las rival 3 veces casada, católica y bien armada monarca en sus reclamaciones reales,( “Ah, rimiro il bel sembiante”). En el parque de Fotheringay, la reina escocesa, acompañada por su criada Anna, evoca recuerdos felices de la vida que pasó en la corte de Francia donde se crió (Oh, nube ! che lieve per l'aria ti aggiri). Y probablemente una de las frases más significativas de la partitura, con los insultos de María a su prima, a la que trata de “figlia impura di Bolena («hija impura de Ana Bolena») y de bastarda”. La reina la condena a muerte (¡lógicamente!) y el acto culmina con un magnífico sexteto.

Luego, En Fotheringay, María se confiesa con su fiel Talbot en una famosa escena. La reina escocesa cree ver el fantasma de su segundo marido: “Delle mie colpe lo squallido fantasma” Y recuerda con dolor a Rizzio (“Quando la luce rosea”, asesinado por Darnley y cuya sangre -dicen los guías del lugar- todavía espejea en el palacio de Holyrood, en Edimburgo donde fue asesinado).

Duelo de reinas y partidarios por el poder, la religión y las pasiones amorosas. Encabezado el reparto por Lisette Oropesa, la soprano ahora instalada en Madrid de origen cubano, realiza una magnífica recreación, en su mejor línea de expansión en el escenario, trémula, conmovedora, altiva sin embargo. Todo lo en guardia que parece estar en las distancias personales cortas como persona, se transforma en sublimación teatral. Oropesa sabe cantar, con excelente técnica, agudos poderosos (salvo algún desfallecimiento apenas percibido), fiato, expresividad y todas aquellas habilidades que la convierten en una gran cantante belcantista.

Su antagonista, una eximia mezzo, Aigul Akhmetshina, defiende un rol amargo, antipático, con una gran carga dramática, preciosa factura y dignísima presencia escénica, solvente y clara en su ambigüedad psicológica. Muy bien.

El tenor jerezano Ismael Jordi tiene tablas y voz para salir airoso de cualquier compromiso. Aquí lo repitió: posee un instrumento dulce, insinuante, con notable línea de canto y admirable presencia escénica. Se adecua perfectamente a sus partenaires femeninas, al coro, fantástico, dirigido por el maestro Basso una vez más y a las órdenes de un director José Miguel Pérez-Sierra, que ha sabido escuchar y dejar oír a los cantantes, concertar palcoscenico y orquesta, aquí muy cómoda bajo su batuta y versátil en tantos pasajes imprescindibles. Jordi, finalmente, navegó con acierto entre las procelosas aguas de una intervención exigente en lo dramático y en lo vocal.  

El Talbot del italiano Roberto Tagliavini volvió a recordarnos en España (actúa en muchos coliseos importantes además) que es un bajo y un artista-joya, de esos que siempre están a la altura, que redondean su impronta con galanura y eficacia. Siempre sobrio, siempre elegante. Fue muy aplaudido. Andrzej Filonczyk, solvente y sobrado actor y cantante como Lord Cecil, el acérrimo consejero de Isabel, oscuro, dramático y previsible y muy adecuada también la Anna declinada por Elissa Pfaender.

La nueva creación conceptual de David McVicar, que firmó también no hace mucho una fantástica Adriana Lecouvreur en el Liceu, demostró de nuevo que es un mago de la escena, comprometido, creativo, siempre riguroso y respetuoso de las normas del buen gusto y el sentido común artísticos. Escocés, como la propia Stuarda, resultó más que adecuado para este nuevo desafío.

El director de movimiento Gareth Mole contribuyó a un rendimiento escénico pensado para ser coral, como de hecho resultó, un proyecto mancomunado e importante, completada por la escenografía de Hannah Postlethwait, novedosa en su clasicismo. Bello encuentro otoñal (primaveral ¿?) para la cita entre las dos monarcas, lúgubre como esperable el momento muy largo del ajusticiamiento. El vestuario que imaginó Brigitte Reiffenstuel es historicista, respetuoso, con un toque de genialidad en las enaguas y el misal rojos  de María, que exhibe como un último desafío a las puertas del cadalso. Puro Eros...Lizzie Powell aporta una iluminación climática, ensamblada con talento en el todo, en chiaroscuro.

Hubo otras intervenciones, como los asistentes a las distintas direcciones y la del fonetista Giovanni Tarasconi, a destacar por haber conseguido una pronunciación italiana inteligible en la gran mayoría de los casos y momentos.

Aunque no fue sino la penúltima función del primer elenco, pareció una despedida vibrante: el público entregado, ovaciones para todos, los protagonistas, los acompañantes y los responsables de cada sección del teatro, completo, cada vez allá donde fue necesario escandir la seriedad, el interés y la belleza.

Alicia Perris

viernes, 27 de diciembre de 2024

KARINE MANGLOU. REFUGE L'ABRI SPA DE MONACO

 Matinale du 9 oct. 2024 –

La Société Protectrice des Animaux de Monaco est à l’honneur dans "Ça va l’faire !". Sa directrice générale KARINE MANGLOU vient prendre le petit déjeuner avec toute l’équipe.

https://videos.tvmonaco.com/content/ca-va-lfaire-matinale-du-9-oct-2024-karine-manglou



LA HISTORIA TRAS EL MITO. ROLLS-ROYCE .MUSEO DE COCHES CLÁSICOS Y ANTIGUOS TORRELOIZAGA

 La exposición “La Historia tras el Mito”, que cuenta con el apoyo y colaboración del Museo de Coches Clásicos y Antiguos Torreloizaga, estará disponible en Mobility City desde el 12 de septiembre de 2024 y hasta el 2 de febrero de 2025.

Esta muestra reúne una selección exclusiva de vehículos Rolls-Royce, cada uno representando una época diferente y asociado con un personaje histórico importante con el que guarda relación, lo que supone una experiencia única para los amantes del automóvil y la historia.

El recorrido comienza con modelos de principios del siglo XX, cuando la marca Rolls-Royce emergió como sinónimo de lujo y excelencia. A lo largo de la exposición, se pueden apreciar desde los clásicos Silver Ghost de la década de 1920, que marcaron un hito en la industria automotriz, hasta los elegantes Phantom de mediados de siglo, conocidos por su refinamiento y tecnología avanzada para la época. También se incluyen modelos más recientes, como los Dawn y Wraith del siglo XXI, que siguen siendo símbolos de prestigio y sofisticación.

Cada coche en la exposición no solo destaca por su diseño y avances técnicos, sino que también cuenta una historia fascinante relacionada con distintas figuras influyentes en la historia mundial. Por ejemplo, uno de los modelos está relacionado con Lawrence de Arabia quien fue a la Primer Guerra Mundial a bordo de uno de los mejores automóviles de todos los tiempos, el Rolls-Royce Armoured Car, la versión militar del legendario Silver Ghost, reflejando su importancia en la historia moderna. Otro vehículo perteneció a la realeza británica, simbolizando la relación entre la monarquía británica y la marca.

Cada automóvil se presenta con una descripción detallada de su historia y su contexto, incluyendo las hazañas o contribuciones del personaje que lo poseyó o tuvo un papel en su creación. Así, la exposición no solo es un viaje por la evolución del diseño y la tecnología de Rolls-Royce, sino también un recorrido por momentos clave de la historia mundial, donde estos vehículos fueron testigos silenciosos de eventos trascendentales.

Esta muestra es más que una exhibición de automóviles, es una narrativa viva que conecta el pasado con el presente, mostrando cómo los Rolls-Royce han sido, y siguen siendo, un reflejo del poder, el éxito y el legado de algunas de las personas más influyentes del mundo.

https://www.mobilitycity.es/explora/exposiciones/la-historia-tras-el-mito/

THE GREAT MUGHALS: ART, ARCHITECTURE AND OPULENCE. VICTORIA AND ALBERT MUSEUM


 This major exhibition celebrates the extraordinary creative output and internationalist culture of the Golden Age of the Mughal Court (about 1560 – 1660) during the reigns of its most famous emperors: Akbar, Jahangir and Shah Jahan.


The Great Mughals presents, for the first time the opulent, internationalist culture of Mughal Hindustan in the age of its greatest emperors: Akbar (r.1556-1605), Jahangir (r.1605-1627) and Shah Jahan (r.1628-1658).Providing a compelling new narrative to describe the origins of Mughal art, it explores how a huge Iranian influence permeated the sophisticated craft traditions of the Indian subcontinent to create a distinctively Mughal court are included: from contemporary portraits to jewelled gold vessels and carpets.In chapters that conjure the unique dynamics of each reign, essays with historical sweep combine with texts focused on important objects to tell unexpected stories about a dynasty perhaps best known for commissioning the Taj Mahal.

https://www.vam.ac.uk/exhibitions/great-mughals-art-architecture-opulence

 



PARTHENOPE DI PAOLO SORRENTINO | TRAILER UFFICIALE

Ecco il trailer di Parthenope, il nuovo film del regista Premio Oscar® Paolo Sorrentino, al cinema dal 24 ottobre.

 


Una produzione Fremantle, The Apartment Pictures, Yves Saint-Laurent, Numero 10 Production, Pathé Films, PiperFilm e A24.


MITTWOCH, 1. JÄNNER 2025 NEUJAHRSKONZERT

 Le concert du Nouvel An de l’Orchestre philharmonique de Vienne 2025 aura lieu le 1er janvier 2025, sous la baguette du maestro Riccardo Muti, dans la salle dorée du Musikverein de Vienne.

Le concert du Nouvel An 2025 sera diffusé dans plus de 90 pays et suivi par des millions de téléspectateurs à travers le monde.



Conductor
Riccardo Muti

OrchestraVienna Philharmonic Orchestra

ProgramJohann Strauss IFreedom March, op. 226Josef StraussVillage swallows from Austria. Waltz, op. 164Johann Strauss IIDemolirer polka. Polka française, op. 269Johann Strauss IILagunen-Walzer, op. 411Eduard StraussAiry and fragrant. Polka schnell, op. 206Johann Strauss IIOverture to the operetta "The Gypsy Baron"Johann Strauss IIAccelerations. Waltz, op. 234Josef Hellmesberger (son)Fidele brothers. March from the operetta "The Violet Girl"Constanze GeigerFerdinandus-Walzer, op. 10 [arr. W. Dörner]Johann Strauss IIEither - or! Polka schnell, op. 403Josef StraussTransactions. Waltz, op. 184Johann Strauss IIAnnen-Polka, op. 117Johann Strauss IITritsch-Gossip. Polka schnell, op. 214Johann Strauss IIWine, women and song. Waltz, op. 333

miércoles, 25 de diciembre de 2024

EL GOBIERNO DISTINGUE A 38 PERSONALIDADES Y ENTIDADES DE LA CULTURA CON LA MEDALLA DE ORO AL MÉRITO EN LAS BELLAS ARTES 2024. MINISTERIO DE CULTURA

 El Consejo de Ministros, a propuesta del ministro de Cultura, Ernest Urtasun, ha aprobado hoy la concesión de las Medallas de Oro al Mérito en las Bellas Artes correspondientes al año 2024 a 38 personalidades e instituciones del mundo de la cultura.

Carlos Chausson Gracia. Cantante de ópera (bajo-barítono) nacido en Zaragoza, estudió en la Escuela Superior de Canto de Madrid y en la Universidad de Michigan. 

Tras su debut teatral en 1976, ha desarrollado una fulgurante carrera internacional a lo largo de cerca de medio siglo, actuando en los principales teatros de ópera del mundo –entre ellos, Metropolitan Opera House, Ópera Nacional de Washington, Wiener Staatsoper, Scala de Milán, Ópera Estatal de Baviera, Deutsche Oper de Berlín, Covent Garden y, especialmente, el Opernhaus de Zurich-, además de ser un habitual de las principales temporadas españolas como el Teatro Real o el Gran Teatre del Liceu. 

Sus roles más emblemáticos incluyen papeles bufo de Rossini, Donizetti y Mozart. Ha sido reclamado por maestros de primera línea como Claudio Abbado, Daniel Barenboim o Nikolaus Harnoncourt.

¡ENHORABUENA MAESTRO!

lunes, 23 de diciembre de 2024

RIAPRE IL CORRIDOIO VASARIANO DOPO 8 ANNI. FIRENZE. NOTIZIE LA PILOTTA, PARMA

 Il Corridoio Vasariano come al tempo dei Granduchi. Riapre il 21 dicembre, per la prima volta al grande pubblico il celeberrimo 'tunnel aereo' degli Uffizi sopra il cuore di Firenze

Chiuso nel 2016 per consentire l’adeguamento alle norme di sicurezza, è stato interamente restaurato (l’ultimo intervento risale agli anni Novanta) e ora, al primo giorno utile consentito dalla fine dei cantieri, è di nuovo accessibile con un biglietto speciale: si entra dalla Galleria delle Statue e delle Pitture, si cammina nelle viscere di Ponte Vecchio e si esce dal Giardino di Boboli.

 Lungo circa 750 metri, fu realizzato dall’architetto Giorgio Vasari nel 1565: i regnanti lo usavano per raggiungere Palazzo Vecchio dalla loro reggia di Pitti indisturbati e senza correre rischi per la loro incolumità.


COME SI VISITA IL CORRIDOIO VASARIANO

 Al Corridoio Vasariano si accede acquistando il biglietto della Galleria degli Uffizi con un supplemento speciale, al prezzo complessivo di 43 euro. E’ obbligatoria la prenotazione. Il biglietto Uffizi-Vasariano permette a coloro che fissano la visita al Corridoio di entrare due ore prima agli Uffizi per visitare il museo. 

E' anche possibile, per chi abbia già un biglietto della Galleria degli Uffizi, aggiungere in un secondo momento il supplemento per il Vasariano al costo di 20 euro, qualora vi sia spazio negli slot di accesso al Corridoio previsti per il giorno della visita in Galleria (in un orario successivo a quello indicato per l’ingresso in museo). 

Restano valide le gratuità e le riduzioni previste dalla legge. Al Vasariano si accede dal martedì alla domenica, all’orario prenotato, un gruppo alla volta, per un massimo 25 persone (più due addetti del personale in veste di accompagnatori), dallo spazio antistante la Cappellina Veneziana (sale verdi della pittura veneta) al primo piano della galleria. Il primo gruppo della giornata potrà visitare il Corridoio alle ore 10,15, l’ultimo alle 16,35. 

Il Corridoio è percorribile solo in direzione Uffizi-Giardino di Boboli: si uscirà dalla porta di fianco alla Grotta Buontalenti, per essere accompagnati all'uscita dal cortile di Palazzo Pitti. Non sarà possibile prenotare più di 5 ticket per volta, anche per date diverse. Sul biglietto ci sarà un link di collegamento alla mappa con il percorso per raggiungere il varco di accesso al Corridoio; un QR code per visualizzarla è stato incluso anche nella cartellonistica predisposta in Galleria.

IL CORRIDOIO VASARIANO, CENNI STORICI

 Progettata da Giorgio Vasari per consentire ai Granduchi di muoversi in sicurezza dalla loro residenza privata di Palazzo Pitti alla sede del governo in Palazzo Vecchio, questa via aerea ancora oggi unica nel mondo, fu realizzata per iniziativa del Duca Cosimo I de’ Medici nel 1565 in occasione del matrimonio del figlio Francesco con Giovanna d'Austria. 

Gli ospiti della casa d’Asburgo al seguito della principessa avrebbero dovuto rimanere letteralmente stupiti da questo passaggio aereo sopra la città; i lavori per la sua costruzione durarono appena cinque mesi. 

Il percorso totale è di circa 750 metri a partire dagli Uffizi, fino all’uscita accanto alla Grotta del Buontalenti nel Giardino di Boboli. In questo tratto il Corridoio sorpassa le vie, costeggia l’Arno e lo attraversa, entra nei palazzi, gira intorno alla Torre de' Mannelli, si affaccia nella Chiesa di Santa Felicita, in un susseguirsi di scorci panoramici sulla città che permette di catturarne tutta la bellezza. Sia il complesso degli Uffizi che il Corridoio si inquadravano nel progetto più ampio di risanamento del quartiere, povero e malfamato (e per questo detto al tempo “di baldracca”) che si estendeva fra Palazzo Vecchio e l’Arno. 

Le qualità di Giorgio Vasari architetto e urbanista si rivelarono appieno in tutte queste imprese per il giovane Cosimo I, prima duca e poi Granduca di Firenze e della Toscana. Pur concepito come spazio destinato alle magistrature di governo, il palazzo degli Uffizi già si apprestava a divenire museo, anzi prototipo per tutti i musei a venire, e palazzo Pitti, acquisito con i denari portati in dote da Eleonora di Toledo, giovane sposa di Cosimo I, ampliato e dotato di grande giardino, si preparava a diventare reggia medicea.

 Non casualmente, infine, il “corridore” del Vasari è detto “passetto” fiorentino. Infatti, per la sua realizzazione il duca e l’architetto si ispirarono al celebre passaggio, il passetto appunto, costruito durante il papato di Alessandro V (1415-17) a Roma, che mette in comunicazione il palazzo del Vaticano con Castel Sant’Angelo, noto per aver salvato la vita a papa Clemente VII, al secolo Giulio de’ Medici, riuscito a fuggire all’esercito di Carlo V durante il sacco di Roma del 1527 proprio usando questo passaggio segreto. 

Ma è ispirato anche al celebre “corridore” bramantesco costruito nel 1505 per collegare i Palazzi Apostolici Vaticani con il Casino del Belvedere di Innocenzo VIII. Dopo quello di Firenze, è da ricordare il caso di Parigi, dove la finalità perseguita era la medesima: unire spazialmente il cuore politico-istituzionale alla dimora dei sovrani attraverso un passaggio coperto che servisse anche da luogo di allestimento delle collezioni reali, proteggendo la monarchia dal pericolo di attentati e colpi di Stato. 

Il primo passo che porterà alla nascita della Grande Galerie del Louvre è di poco precedente al marzo 1565, nello stesso anno della costruzione del Corridoio fiorentino: se ne ha traccia in una lettera che proprio in quei giorni Caterina inviò al cugino Enrico I, duca di Montmorency, futuro maresciallo di Francia e responsabile delle costruzioni monarchiche, in cui la regina lo prega di “dare ordine, seguendo ciò che il Re mio figlio ha scritto, perché si cominci a includere l’edificio delle Tuileries dentro la cinta muraria della città, poiché non si potrebbe farmi cosa più gradita che tenermi al corrente delle opportunità che si apriranno da questo cantiere”.

https://www.uffizi.it/news/riapre-il-corridoio-vasariano


NOTIZIE LA PILOTTA, PARMA


Visite Guidate

 

GIORGIO GANDINI DEL GRANO. UNA NUOVA ACQUISIZIONE PER IL COMPLESSO MONUMENTALE DELLA PILOTTA

 

GALLERIA NAZIONALE, COMPLESSO MONUMENTALE DELLA PILOTTA

Fino al 29 gennaio 2025
visite guidate venerdì 27 dicembre e giovedì 2 gennaio, ore 18.00


Un’occasione speciale per conoscere Giorgio Gandini del Grano, uno dei protagonisti della cosiddetta “Scuola di Parma”, attraverso una visita guidata alla Mini mostra dossier che raccoglie quattro delle otto opere oggi conosciute dell’autore.

Visite guidate:
Ingresso ridotto a € 5.00.
I visitatori in possesso di biglietto giornaliero possono partecipare alla visita senza costi aggiuntivi.
Ritrovo all’ingresso presso ingresso Galleria Nazionale.

sábado, 21 de diciembre de 2024

EL ROTO VIÑETA DE EL ROTO DEL 21 DE DICIEMBRE DE 2024 (EL PAÍS)

 



FALLECE FEDERICO MAYOR ZARAGOZA, EXMINISTRO DE EDUCACIÓN Y EX DIRECTOR GENERAL DE LA UNESCO

Desempeñó importantes cargos en la política, la educación y la cultura y fue una de las personalidades españolas de más relieve internacional a finales del siglo pasado

Federico Mayor Zaragoza, exministro de Educación y ex director general de la Unesco, ha fallecido este jueves a los 90 años, según ha confirmado la Universidad de Granada, de la que fue rector. Nacido en Barcelona en 1934, fue una de las personalidades españolas de más relieve internacional a finales del siglo pasado. Su larga trayectoria profesional le llevó a ocupar cargos relevantes en la sanidad, la educación, la cultura y la política. Doctor en Farmacia por la Universidad Complutense de Madrid, fue ministro de Educación y Ciencia del Gobierno de Leopoldo Calvo-Sotelo, entre 1981 y 1982. Fue diputado por UCD en la legislatura constituyente y fue elegido al Parlamento Europeo por CDS en 1987.

Nada más conocer la noticia, la directora general de la Unesco, Audrey Azoulay, ha elogiado la figura de Mayor Zaragoza, que rigió la organización durante 12 años, y destacado su labor en la educación para la paz. “Se marcó como prioridad la cultura de la paz, orientándo la acción de nuestra organización en favor de la educación sobre los derechos humanos y la prevención de los conflictos”, ha ensalzado Azoulay en un comentario enviado a la agencia EFE.

En un audio remitido a los medios, el actual rector de la Universidad de Granada, Pedro Mercado, ha querido transmitir sus “condolencias a la familia, amigos y todas las personas que tuvieron el privilegio de trabajar y conocer” a Federico Mayor Zaragoza.

 “Ha sido un orgullo y una satisfacción, al mismo tiempo, recordar el papel que como rector desempeñó en momentos muy trascendentables para la historia de nuestra universidad y al mismo tiempo reconocer ese gran trabajo de una persona, de un intelectual, de un científico de gran altura que siempre, en todos los lugares en los que ha desempeñado su labor, ha brillado en su defensa de la educación y de valores tan importantes como la paz y los derechos humanos. Siempre estará en la historia de la Universidad de Granada”, ha afirmado Mercado.

Mayor Zaragoza ha dejado una importante huella en el sistema sanitario, donde su nombre es aún reverenciado por muchos profesionales cuando se recuerdan los primeros pasos en los cribados neonatales que lideró desde la Universidad de Granada. 

La ministra de Sanidad, Mónica García, ha destacado que su figura “marcó un antes y un después” en la detección precoz de enfermedades raras con el impulso de los primeros cribados.

Así lo ha querido recordar también el secretario de Estado de Sanidad, Javier Padilla, que ha destacado que el ahora fallecido fue “una de las personas que más trabajó por impulsar los cribados” en España. “Ahora mismo”, ha añadido Padilla, Mayor Zaragoza estaba “trabajando con tesón” para que estas pruebas sean reconocidas como un “derecho humano”.

Actualmente, el ex director general de la Unesco era presidente de la Fundación Cultura de Paz, constituida en 2000, con la que continuó su labor emprendida como director general de la Unesco de impulsar la transición desde una cultura de violencia e imposición a una cultura de paz y tolerancia. También impulsó esta labor como copresidente del Instituto Universitario de Derechos Humanos, según consta en la web de la fundación. 

En 2005 fue designado copresidente del Grupo de Alto Nivel para la Alianza de Civilizaciones por la ONU y desde 2016 copresidía el Instituto Universitario de Derechos Humanos, Democracia, Cultura de Paz y No-violencia (Demospaz), cuya creación impulsó mediante convenio entre la Universidad Autónoma de Madrid y la Fundación Cultura de Paz.

Entre las condecoraciones con las que fue distinguido, en 1995 recibió la medalla de oro de Andalucía y en 2008 el Parlamento de Andalucía lo nombró Hijo Predilecto. También fue nombrado doctor honoris causa por numerosas universidades, nacionales e internacionales.

https://elpais.com/educacion/2024-12-19/fallece-ferederico-mayor-zaragoza-exministro-de-educacion-y-ex-director-general-de-la-unesco.html

HANSEL AND GRETEL. THE ROYAL OPERA HOUSE. MONTESQUIEU: DE L´ESPRIT DES LOIS

 22 December 2024–9 January 2025

BEWARE THE WOODS...

Two performers in bright costumes dance and smile on a table in the opera Hansel and Gretel. The set is a small ramshackle wooden hut. The singers are smiling while they perform.

Sent into the woods to look for strawberries, the hungry Hansel and Gretel are about to embark on a fantastic adventure. As they fall asleep, a fairy-tale world comes to life around them. But the mysterious forest is not always safe for children, and little do they know, something darkly delicious awaits them when they wake... They can’t believe their luck when they come across an edible house made of chocolate – but their host, a witch in disguise, has an insatiable appetite – for young children! Brother and sister must use all their cunning if they are to survive – and break the charm that has captured many children before them.

Background

Kate Lindsey and Heidi Stober (making her debut with The Royal Opera) star as Hansel and Gretel in Engelbert Humperdinck’s enchanting opera. Drawing out the magic of the score is conductor Giedrė Šlekytė, who also makes her debut. Antony McDonald’s witty and imaginative production is the perfect treat for families and operatic newcomers alike.

A Grimm history

Brothers Jacob Ludwig and Wilhelm Carl Grimm were distinguished academics and folklorists. Through their work, preserving and transcribing the oral tradition of folk tales, they preserved much precious material from being lost. Their first publication, in 1812, of Kind und Hausmärchen (Child and Household Tales), featured the story of Hansel and Gretel, and was such a success that they produced several more collections, inspiring similar story-gathering efforts across Europe.

Catchy tunes throughout

Humperdinck's music combines the rustic charm of folksong with majestic orchestral scoring, with highlights including the 'Evening Prayer', the Witch's aria, and the Dew Fairy's song. The opera dates from a time in history when many composers were seeking an ‘authentically German’ form of opera. 

In Hansel and Gretel, Humperdinck uses real folk songs, and transforms them in a similar way to the ‘leitmotifs’ (or recurring musical fragments) to those found in Richard Wagner’s operas. Listen out for the catchy tune of the children’s dance, which returns later in the Witch’s ride. Humperdinck’s orchestration also transports us to the German forest of olden times, with prominent melodies played by the horns, recalling hunting traditions.

Trouser-roles: an operatic tradition

The role of Hansel is performed by a female singer with a mezzo-soprano voice. This is an operatic tradition that recalls the 17th-century origins of the art form, when castrati (castrated male performers) would sing high-pitched roles. As fashions changed, and castrati were no longer in favour, composers still wrote high-pitched male roles, and women stepped in, performing en travesti, or ‘trouser roles’, as they are sometimes called.

An opera for children

Engelbert Humperdinck’s sister, Adelheid Wette, wrote the libretto to the opera, but it began life as an informal piece, for amateur performance at home. Initially, Adelheid asked her brother to set a number of songs for a Hansel and Gretel play that she had written for her children to perform in their living room. 

This was then expanded into a singspiel (a play with music), and finally, it was through-composed, resulting in the non-stop musical feast that audiences know and love today.

https://www.rbo.org.uk/tickets-and-events/hansel-and-gretel-details


UN LIVRE


Charles Louis de Secondat, baron de La Brède, dit Montesquieu (1689-1655), a fait de son œuvre un hymne à la raison, à la liberté, au bonheur. Auteur mordant et spirituel des Lettres persanes (1721), voyageur curieux de comprendre les sociétés européennes de son temps, lecteur infatigable, il est également le publiciste grave et rigoureux de De l’Esprit des lois (1748).

En perçant à jour les rapports entre la géographie physique, le droit, la forme du gouvernement, l’histoire des mentalités, la religion, l’économie, Montesquieu offre une intelligente synthèse entre les Anciens et les Modernes, refusant de renier les apports d’Homère et de Virgile, tout en accueillant l’esprit critique et historique de son temps. En Moderne déterminé, avec un sens aigu de l’observation et de l’expérience, il formule une science politique nouvelle dans la langue élégante des honnêtes gens, élabore une méthode pour les sciences humaines qu’il contribue à fonder : sociologie, démographie, économie politique, science politique, anthropologie, ethnologie…

Véritable somme politique, De l’Esprit des lois a été repris, défendu contre les attaques virulentes et amendé par son auteur jusqu’à sa mort. Montesquieu y engage tout à la fois une réfl exion sur les différents gouvernements, une enquête sur les sociétés humaines et une analyse comparée des lois afin de former tout homme à évaluer l’intervention législatrice pour mieux appréhender la réalité sociale. Chef-d’œuvre absolu, il est l’un des livres les plus importants, les plus clairvoyants du siècle des Lumières et de la littérature mondiale. Grâce à une orthographe modernisée, cette édition fournit les clefs nécessaires pour aborder ce grand oeuvre et l’inscrit dans l’exceptionnel cheminement intellectuel que fut celui de son auteur.

 

 Éditions Gallimard - ISBN : 9782073101402

ANNA NETREBKO REÇOIT LE 23 DÉCEMBRE LE PRIX PUCCINI. KENT NAGANO, NUEVO DIRECTOR ARTÍSTICO DE LA ORQUESTA Y CORO NACIONALES DE ESPAÑA

NOUVELLES

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El maestro estadounidense se incorporará a los conjuntos en septiembre de 2026 y dirigirá ocho programas cada temporada sinfónica

El maestro estadounidense se incorporará a los conjuntos en septiembre de 2026 y dirigirá ocho programas cada temporada sinfónica

Con su nombramiento, el INAEM apuesta por el definitivo lanzamiento internacional de la OCNE


El director de orquesta norteamericano Kent Nagano asumirá los cargos de director titular de la Orquesta Nacional de España (ONE) y director artístico de la Orquesta y Coro Nacionales de España (OCNE) en septiembre de 2026, según ha anunciado hoy el Instituto Nacional de las Artes Escénicas y la Música (INAEM), del Ministerio de Cultura. 

Con esta designación, el INAEM apuesta por el definitivo lanzamiento internacional de la Orquesta y Coro, conjuntos que se encuentran en un gran momento artístico, tras la dirección de David Afkham. Nagano (Berkeley, California, 1951) sustituirá al maestro alemán en septiembre de 2026 y dirigirá a ambos conjuntos durante las próximas cinco temporadas.

En el proyecto para la OCNE de Nagano destaca la búsqueda de una identidad y personalidad propia que la identifiquen en el panorama internacional. Gran conocedor de España y su historia, el director quiere explorar en su trabajo con la Orquesta y Coro la expresión de nuestra cultura a través de la música, especialmente en América. Nagano considera esencial la construcción de una narrativa en torno al proyecto sinfónico que vaya más allá del mero hecho interpretativo.

Músico e intelectual

Su profundo conocimiento de la historia del pensamiento ha caracterizado una carrera de gran riqueza y profundidad intelectual que ahora plantea también para el nuevo reto que asume. En palabras del maestro estadounidense: “La profunda riqueza cultural de España, reflejada en su lengua, historia, arte, literatura, música y tradiciones, ha inspirado a la comunidad internacional a lo largo del tiempo. 

Es un honor haber sido invitado por la OCNE a colaborar con ellos mientras forjan el próximo capítulo de su importante tradición musical, conectando a la generación actual con la vibrante relevancia cultural de España. La OCNE, como embajadora cultural, mira hacia el futuro con el propósito de llevar esta gran tradición al siglo XXI”.

Entre sus responsabilidades, Nagano dirigirá ocho programas de la temporada sinfónica, además de ocuparse de giras y grabaciones. El director conoce bien tanto a la Orquesta Nacional de España como al Coro Nacional de España, con quienes ya ha colaborado en tres ocasiones: en junio de 2018, con Die Bassariden, de Hans Werner Henze; en junio de 2021, con obras de Gabriel Fauré y Olivier Messiaen; y en abril de 2024, cuando dirigió La creación, de Haydn.

Gran transformador de orquestas internacionales

Kent Nagano es uno de los nombres más reconocidos del mundo sinfónico de la actualidad. Desde 2015 es director general de Música de la Ópera Estatal de Hamburgo y director titular de su Orquesta Filarmónica. Es, además, director artístico del Proyecto The Wagner Cycles, del Festival de Dresde; director honorario de la Deutsches-Symphonie Orchester de Berlín, de Concerto Köln y de la Sinfónica de Montreal. 

De esta orquesta Nagano fue director musical entre 2006 y 2020, un periodo reconocido como el más brillante y transformador de tiempos modernos de ese conjunto, como también lo fue su larga estancia, entre 2006 y 2013, como director general de Música de la Ópera Estatal de Baviera. Otra orquesta con la que ha firmado grandes éxitos es la Deutsches Symphonie-Orchester de Berlín, con la que dirigió interpretaciones de referencia de obras de Schönberg o Zemlinsky y con la que grabó sinfonías de Bruckner y Mahler, entre otros autores.

Nagano ha dirigido a las grandes orquestas de Europa y América. Entre otras responsabilidades, ha sido director musical de la Ópera Nacional de Lyon y de la Orquesta de Hallé y fue en 2003 el primer director musical de la Ópera de Los Ángeles. 

Como director invitado, trabaja regularmente con las principales orquestas internacionales, incluyendo la Orquesta Sinfónica de la Radio de Baviera, la Orchestre Philharmonique de Radio France, la Deutsches Symphonie-Orchester de Berlín, la Tonhalle-Orchester de Zúrich, la Orchestre de la Suisse Romande, la Orchestre de l’Opéra National de París, las Orquestas Sinfónicas de Chicago y Detroit y la Wiener Symphoniker.

De igual forma, su compromiso con la creación actual le ha llevado a estrenar obras de Leonard Bernstein, Unsuk Chin, Wolfgang Rihm, Kaija Saariaho, Pascal Dusapin, Peter Eötvös, John Adams, George Benjamin y Jorg Widmann, entre otros. Su vinculación con la obra de Olivier Messiaen hace de él un director de referencia para quien fue uno de los mayores compositores del siglo XX. 

Precisamente la primera actuación de Nagano en España consistió en la dirección de la versión de concierto de Saint François d’Assise, de Messiaen, en 1986 en el Teatro Real, entonces sala de conciertos. Por otra parte, la especial dedicación de Nagano a la ópera le ha llevado a colaborar con los más grandes directores de escena de las últimas décadas, como Claus Guth, Nikolaus Lehnhoff, Krzysztof Warlikowski o el español Calixto Bieito.

https://ocne.mcu.es/actualidad/kent-nagano-sera-el-nuevo-director-titular-y-artistico-de-la-orquesta-y-coro-nacionales-de-espana