viernes, 26 de abril de 2013

CECILIA BARTOLI. BELLINI. NORMA. A NEW VISION



In collaboration with Giovanni Antonini, Riccardo Minasi and Maurizio Biondi, Cecilia Bartoli restores the sound and spirit of Norma in a landmark Decca recording based on the opera's original sources.

Cecilia Bartoli leads a fabulous cast in Decca's groundbreaking new recording, which presents Vincenzo Bellini's Norma in a form that is complete with the exquisite mix of vocal and instrumental colours that Bellini intended for his 'tragic opera'. Sumi Jo, John Osborn and Michele Pertusi respectively illuminate the roles of Adalgisa, Pollione and Oroveso. The sounds of period instruments from the composer's time, brought to life by Orchestra La Scintilla and conductor Giovanni Antonini, underpin and blend with the timbres of a cast carefully chosen to recreate the individual vocal qualities of the opera's roles.

martes, 23 de abril de 2013

EBLOUISSANTS REFLETS



100 chefs d'oeuvre impressionnistes
Musée des Beaux-Arts – Rouen
29 avril – 30 septembre 2013


Gustave Caillebotte, Bateaux à Argenteuil, dit Bateaux à voile à Argenteuil, Huile sur toile, Paris, Musée d'Orsay (détail)
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

L’exposition du musée de Rouen s’attache pour la première fois au motif du plan d’eau, cette surface colorée perpétuellement mobile où se réfléchissent le paysage, les voiles et le ciel, traverse toute l’histoire de l’impressionnisme.
 Plus riche encore qu’en 2010, elle réunit 170 œuvres, parmi lesquelles une centaine de chefs-d’œuvre impressionnistes en provenance du monde entier, dont un ensemble exceptionnel de 40 Monet, 15 Sisley, Seurat, Signac, Caillebotte, Renoir, Morisot, Jongkind… ainsi que de très rares épreuves des premiers maîtres de la photographie, de Daguerre à Atget. Cette exposition permet au visiteur de pénétrer au centre des préoccupations picturales de ces artistes qui ont su capter les premiers frémissements de la modernité.

 Gustave Caillebotte, Bateaux à Argenteuil, dit Bateaux à voile à Argenteuil, Huile sur toile, Paris, Musée d'Orsay (détail)
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

La question des reflets nourrit chez Monet une réflexion particulièrement riche, depuis son séjour aux Pays-Bas aux séries des Peupliers, des vues de Vétheuil, aux Ponts japonais et Nymphéas du bassin de Giverny. 

Alfred Sisley, Inondation à Port-Marly, 1872, huile sur toile, Washington, National Gallery of Art, Collection de Mr et Mme Paul Mellon (détail)
© National Gallery of Art, Washington


Le reflet changeant de l’eau devient ainsi pour les générations suivantes le lieu du renouvellement de la peinture : il gagne en densité́ avec Cézanne, en précision avec Seurat, il est libératoire chez Signac. Autour du motif du plan d’eau s’accomplissent en définitive les grandes évolutions picturales de la modernité. 

Gustave Caillebotte, Canotier ramenant sa périssoire, 1878, huile sur toile, Richmond, Virginia Museum of Fine Arts. Collection de Mr and Mme Paul Mellon (détail)
© Virginia Museum of Fine Arts / photo: Katherine Wetzel

À travers une centaine de toiles de Monet, Renoir, Sisley, Caillebotte et les photographies de Gustave Le Gray, Charles Marville, Peter Henry Emerson, l’exposition dévoile ce grand enjeu esthétique qu’est le reflet moderne.

PISSARRO DANS LES PORTS



Rouen, Dieppe, Le Havre
Musée d’Art moderne André Malraux – Le Havre
27 avril – 29 septembre 2013

Camille Pissarro, Entrée du port du Havre et le brise-lames ouest, soleil, matin (détail)
Memphis (Tennessee) © Collection of the Dixon Gallery and Gardens, museum purchase

Le port industriel fait une entrée triomphale dans la peinture moderne en 1874 lors de la première exposition impressionniste avec l’œuvre de Monet peinte au Havre, Impression soleil levant. Mais c’est Camille Pissarro qui donnera toute sa dimension à ce thème grâce à une série, réalisée de 1883 à 1903, dans les ports de Rouen, Dieppe et Le Havre.

Au cours du XIXe siècle, le développement à grande vitesse des ports fascine les artistes. Sur les quais se mêlent dockers, promeneurs et … marchandises transportées par des grands voiliers côtoyant les vapeurs et les transatlantiques.
Pissarro déclinera à l’envi des paysages aux ambiances tantôt lumineuses ou brumeuses, réalisant ainsi près de 120 toiles.
Des œuvres d’Eugène Boudin et de Maxime Maufra complètent cet ensemble. Mais tandis que Pissarro achève sa série, de jeunes artistes tels que Raoul Dufy, Othon Friesz, Albert Marquet marchant dans les pas de leurs aînés impressionnistes, expérimentent pour aboutir en 1906 aux premières œuvres fauves peintes sur la côte normande. Ces tableaux, réunis dans la première exposition consacrée à ce sujet, permettent de mesurer l’importance de la rupture qui se produit au début du XXe siècle.

Cette exposition, organisée par la ville du Havre – le MuMa et la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, est reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication / Direction générale des patrimoines / Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d'un soutien financier exceptionnel de l'Etat.

UN ETE AU BORD DE L'EAU



UN ÉTÉ AU BORD DE L'EAU
Loisirs et Impressionnisme 
27 avril - 29 septembre 2013



John Singer Sargent, Femme et enfant endormis dans une barque sous un saule, 1887.
Lisbonne, Gulbenkian Museum. @ 2013, The Calouste Gulbenkian.

Parmi les grandes mutations dont le XIXe siècle fut témoin, le prodigieux essor des villégiatures et des loisirs de plein air est un phénomène qui concerne également l’histoire de l’art.Toute une société, qui se déplace volontiers en train, part à la conquête de nouveaux territoires : la côte, la plage, la mer... La Normandie, mais bien d’autres régions également, vont prendre une part essentielle à cet engouement. Pour la première fois, l’atelier du peintre quitte la ville, se transposant dans la nature même, signe marquant et prometteur. Désormais, avec les Impressionnistes, le sujet des tableaux ne se trouve plus dans les livres ou dans l’imaginaire des peintres mais au cœur de la réalité et de la vie, dans ces territoires nouvellement conquis, ces lieux de détente et de loisirs qu’offrent en si grand nombre les bords de l’eau. L’exposition décline son propos en quatre chapitres qui illustrent les différents modes d’exploration de ces thèmes par le peintre, depuis les scènes de plage, les paysages de bord de mer et leurs infinies variations atmosphériques, jusqu’à l’incursion des corps dévêtus dans un paysage marin ; devenus sujets exclusifs d’étude du peintre, ces corps solaires consacrent la métamorphose du nu académique, conjuguant tradition et modernité.


Sur le sable
La plage devient naturellement un espace privilégié pour les premiers vacanciers à la découverte des plaisirs de la mer. Sous le Second Empire, les villages de pêcheurs deviennent en quelques années de mondaines stations balnéaires, voyant apparaître riches villas et luxueux hôtels.
À la recherche de dépaysement et de pittoresque, les vacanciers s’appliquent paradoxalement à reconstituer la société parisienne sur les plages normandes qui deviennent bientôt le « boulevard d’été de Paris ».
Lors de leurs séjours, Manet, Monet, Berthe Morisot, Degas vont réaliser des scènes de plages suggestives, conçues comme des esquisses libres et spontanées. Sous l’influence de Boudin, Monet peint les plages de Trouville et de Sainte-Adresse,
Inaugurant un genre enrichi par les expériences de Manet à Boulogne ou Gauguin en Bretagne... Cette séquence évoquera aussi les peintres réalistes et descriptifs tels Prinet, Blanche, Helleu, qui mènent aux interprétations lumineuses de Maurice Denis, séduisant metteur en scène de sa famille lors de ses séjours réguliers à Perros-Guirec. Gardons-nous aussi d’oublier les importantes contributions des peintres étrangers tels que Krøyer, Liebermann et l’Espagnol Sorolla...


Berthe Morisot, Vu du port de Lorient, 1869, Washington, National Gallery of Art.
Claude Monet, Voiliers en mer, 1868, Lausanne, Musée cantonal des Beaux-Arts (Photo : J.-C. Ducret).

Sous l’effet du tourisme, la côte se transforme et les plages se couvrent de cabines de bain, abri indispensable pour se préparer à affronter les vagues. On se baigne et on se promène vêtu, avec une ombrelle, par décence mais aussi parce que le teint clair demeure la fier té des classes aisées. Les peintres plantent leur chevalet le long des promenades ou directement sur la plage,
à l’affut de sensations nouvelles. On a retrouvé du sable dans la pâte des tableaux de Manet !
Le genre qu’est devenue la marine se régénère avec la présence de promeneurs en quête de panoramas dégagés. La promenade en mer offre des points de vue inédits, certains peintres comme Monet ou Bonnard, représentent des scènes depuis les embarcations elles-mêmes.
Barques et voiles
Simples barques, voiliers, yachts vont captiver les peintres, pour eux- mêmes mais sur tout pour les activités qu’ils permettent ; courses, régates, promenades. L’installation de Monet en 1871 à Argenteuil, au bord de la Seine, est décisive ; les nombreux artistes qui le rejoignent vont offrir à l’impressionnisme l’un de ses chapitres les plus créatifs.
Au bain…

Edgar Degas, Petites paysannes se baignant à la mer vers le soir,
 1875-1876, collection particulière (Photo : B. Rutledge).

Cette dernière section, point d’orgue de l’exposition, rassemblera de grandes illustrations du thème, aux compositions souvent ambitieuses. Cette séquence nous éloigner a des rivages normands, rappelant que l’Impressionnisme possède un volet méditerranéen.
En cherchant la confrontation avec le grand genre et sa tradition séculaire, les peintres s’approprient le traitement académique du nu pour le transcender et peindre les corps en pleine lumière, sous le soleil, au sein d’une nature triomphante. On retrouve là Bazille, Degas avec ses étranges Petites paysannes se baignant à la mer vers le soir, baigneuses nues privées de toute inhibition, Seurat (remarquable série d’ébauches pour son chef-d’œuvre, Baignade à Asnières), Cross, un inattendu Kupka, et bien sûr Renoir, Cézanne, les plus assidus dans ce genre.Tous deux s’efforcent de placer la figure au centre de leur pensée et de leur esthétique : plénitude solaire et voluptueuse chez Renoir, recherches de structures et de rythmes chez Cézanne. Souvenons-nous qu’avec ses séries des Baigneurs, ce dernier allait marquer un jalon essentiel dans l’aventure de la modernité, passant magistralement le relais à
Matisse, Picasso...

lunes, 22 de abril de 2013

TIFFANY &GALLE.PALAZZO CAFFARELLI AI MUSEI CAPITOLINI.


20/02 - 28/04/2013

TIFFANY & GALLÉ e i maestri dell’Art Nouveau dal Museo di Arti Applicate di Budapest

La mostra presenta preziose opere selezionate dalla collezione di Art Nouveau del Museo delle Arti Applicate Budapest.

 

Oltre 90 opere di eccezionale qualità, saranno ospitate presso le sale di Palazzo Caffarelli ai Musei Capitolini, I capolavori della mostra “TIFFANY & GALLÉ e i maestri dell’Art Nouveau dal Museo di Arti Applicate di Budapest”, selezionati dalle collezioni del Museo di Arti Applicate di Budapest, giungono a Roma per illustrare l’epoca d’oro dell’Art Nouveau, nell’ambito delle iniziative dedicate all’Anno Culturale Ungheria-Italia 2013
 
 
Obiettivo ideale del progetto espositivo è quello di ripercorrere, attraverso alcune opere esemplari, la straordinaria stagione dell’Art Nouveau, con le sue novità tecnologiche e artistiche, le contaminazione tra generi diversi e le reciproche influenze fra artisti nell’Europa degli anni a cavallo tra l’Esposizione Universale di Parigi del 1889 e la Prima Esposizione Internazionale d’Arte Decorativa Moderna di Torino del 1902.




 

La collezione ospitata ai Musei Capitolini rende dunque omaggio a questa fase di splendore dell’Arte Nuova, inconfondibile nella freschezza stilistica delle forme ”naturali” e nei raffinati cromatismi di una materia elegantemente lavorata, in equilibrio fra astrazione e realtà.
Ispirazione e linee che risaltano negli oggetti decorativi in vetro e ceramica – la sezione più ampia dell’esposizione - ideati dall’americano Louis Comfort Tiffany, dal francese Emile Gallè e dai fratelli Daum, maestri vetrai di Nancy, opere raffinate che hanno influenzato e stimolato la produzione di oggetti d’arte decorativa in Ungheria e non solo.
Ad impreziosire la mostra anche una fine selezione di gioielli e tessuti, disegnati e realizzati da József Rónai Rippl, Ottó Eckmann e manufattura Zsolnay.
 
 


Il percorso mostra è articolato in 6 sezioni:
- Colori vivaci, luci nuove;
- Forme organiche;
- Culture lontane, tradizioni antiche;
- Il lusso delle materie;
- La natura in casa nostra;
- Il mondo del simbolismo.

I GIORNI DI ROMA. MUSEI CAPITOLINI.


Ai Musei Capitolini, il terzo appuntamento del ciclo "I Giorni di Roma", una grande mostra di arte antica romana, il periodo d’oro dell’impero romano.

 La mostra “L’Età dell’Equilibrio. Traiano, Adriano, Antonino Pio, Marco Aurelio”, con l’Alto Patronato del Presidente della Repubblica, è il terzo importante appuntamento de I Giorni di Roma, progetto quinquennale di mostre dedicate alla lunga storia di Roma, dall’epoca repubblicana fino all’epoca tardo-antica.

L’esposizione intende approfondire la conoscenza di un periodo storico di grande splendore artistico e di grande equilibrio politico, 98-180 d.C.: dal principato di Traiano a quello di Marco Aurelio. Gli ottanta anni dei tempi aurei, o meglio definiti iFelicia tempora: il periodo del massimo splendore dell’impero romano raccontato attraverso le vite dei quattro imperatori scelti “per adozione”, dunque in virtù delle loro qualità personali e non per diritto di nascita, che hanno determinato il successo di un incomparabile equilibrio tra il potere dell’esercito, il potere del senato e quello dell’impero.   

L’Età dell’Equilibrio, che va da Traiano a Marco Aurelio, più che una splendida gemma tra età di crisi, è un periodo in cui si portano a maturazione i frutti positivi della politica di dominazione romana: in particolare, la pace mediterranea, l’unificazione dello spazio monetario, la diffusione del sistema legislativo e giudiziario romano e delle forme contrattuali proprie del diritto romano e la diffusione del modello di vita urbano anche nella periferia dell’impero. Al contempo, è questa certamente l’età in cui cessano del tutto gli effetti drammatici e negativi della conquista romana, come l’economia di rapina, le vessazioni tributarie che i provinciali avevano subito da parte dei publicani, le violenze della conquista e del controllo armato del territorio. Un generale miglioramento dei fattori di produzione e commercializzazione e in ultima analisi una crescita economica su scala globale. 

Attraverso la visione di imponenti statue in marmo, raffinate opere in bronzo, interi cicli scultorei, fregi ed elementi di arredo domestico in bronzo e argento, del più alto valore stilistico, verrà narrata un’epoca del consenso. Consenso all’interno della classe di governo, tra Senatori, Cavalieri e Imperatori, e consenso tra amministratori imperiali ed élites periferiche e provinciali, un indiscutibile fenomeno di portata epocale. 
 
La prima sezione I protagonisti: Traiano, Adriano, Antonino Pio, Marco Aurelio, articolata lungo tutto il percorso espositivo, permette di conoscere da vicino i quattro “buoni imperatori”, attraverso una ricca selezione di ritratti, busti e statue a figura intera in grado di far riflettere sull’uso propagandistico della loro immagine in chiave politica, grazie ai frequenti cambiamenti dei loro tipi ritrattistici che accompagnarono le fasi salienti dei loro principati. Lo stesso meccanismo si può seguire nei ritratti delle loro spose, Plotina, Sabina, Faustina Maggiore e Faustina Minore (la quale giunse a cambiare la propria pettinatura ad ogni gravidanza (ben sette volte!), e dei membri più stretti delle loro famiglie. Chiuderà la sezione una rassegna sulle immagini dei privati cittadini, che riflettono nei loro ritratti una volontaria assimilazione alle immagini degli imperatori regnanti.

La seconda sezione Il linguaggio artistico, destinata a far percepire il nuovo gusto dell’epoca, che nasce dal sapiente recupero delle vette più alte dell’esperienza ateniese del V sec. a.C. (Fidia, Policleto). Adriano, colto intellettuale, amante della filosofia platonica ed epicurea, fu il più filelleno dei quattro imperatori: amante della Grecia, iniziato ai misteri eleusini e ad Atene festeggiato come nuovo fondatore della città (nuovo-Teseo), giunse a fondare nel 131/132 d.C. nel corso di uno dei suoi viaggi in Grecia il Panhellenion, una istituzione religiosa cui potevano aderire solo città di etnia greca, volta a ricreare una (ormai artificiale) supremazia greca. Accanto ad essa, si delinea una seconda corrente dal gusto neoattico, un’arte più di maniera, influenzata dalle opere di età arcaica.

Ville e dimore, si apre con una ricca rassegna di arredi scultorei e pavimenti musivi policromi relativi ai diversi ambienti di Villa Adriana a Tivoli (Canopo, Accademia, Palazzo Imperiale, Antinoeion): il materiale verrà esposto a seconda del contesto originario, con un suggestivo allestimento volto a ricostruire, ove possibile, le specifiche soluzioni di volta in volta adottate.

 La quarta sezione, I rilievi storici, offre alcuni temi inerenti diversi aspetti della vita pubblica. Si inizia con uno zoom dedicato all’educazione dei giovani e al mondo ginnasiale, luogo privilegiato dell’educazione letteraria e filosofica accanto alla cura per il corpo e all’esercizio fisico. A seguire, uno zoom sull’evergetismo pubblico e privato: le modalità, cioè, che consentivano il finanziamento a spese private di opere di pubblica utilità (acquedotti e ponti), accanto ad edifici quali teatri, stadi, ninfei. Seguiranno alcuni dei più straordinari rilievi da monumenti statali: le scene raffigurate sono di norma sacrifici di tori, scene di processione trionfale, conclusione di trattati. In questi casi l’accento è puntato sulla iterazione costante del rituale, con una sequenza sempre fissa di processioni di animali accompagnate dai victimari che di lì a poco li avrebbero uccisi, o con gli animali già abbattuti al suolo. Sullo sfondo, i sontuosi templi marmorei, nei cui frontoni si rievocavano le storie mitiche connesse alla fondazione della città.

La quinta sezione Vincitori e vinti, è centrata sulla presentazione, verosimilmente ancora da rilievi su monumenti statali, di tutte le attività connesse alla guerra: soldati nelle loro armature complete, scene di battaglia vera e propria, nemici ormai vinti e in catene. Agli inizi del II sec. d.C., nel corso del principato di Traiano, l’impero si trovò a raggiungere la sua massima espansione, grazie alle straordinarie vittorie partiche e daciche, poi celebrate nei fregi della Colonna Traiana.

Chiude la Mostra la sezione tematica Le tombe, che offre una panoramica sui costumi funerari. Agli inizi del II sec. d.C. divenne prevalente l’uso dell’inumazione a scapito dell’incinerazione, che fino ad allora era stata la prassi più seguita. Si apre con una sequenza di urne vitree, fittili e marmoree, poi seguita da una carrellata di alcuni dei più splendidi sarcofagi marmorei prodotti nel periodo, dai primi esemplari di età adrianea fino ai sontuosi sarcofagi di età antoniniana, le cui casse sono decorate da soggetti mitologici (la morte di Creusa, i Niobidi, la morte di Atteone), scene di battaglia (lo straordinario Sarcofago Ammendola ai Musei Capitolini), o temi più strettamente attinenti la sfera funebre, quali il compianto. Le facciate dei sepolcri degli appartenenti ad un ceto medio potevano essere abbellite con l’inserimento di rilievi che ricordavano le professioni dei proprietari: ecco allora esposti rilievi con scene di macelleria accanto ad arrotini.

Clou della sezione sarà la ricostruzione di due mausolei privati: il cosidetto sepolcro degli Haterii, originariamente sulla antica via Casilina a Roma, della cui decorazione possediamo busti, rilievi con scena di costruzione di edifici, splendidi pilastri e lesene a decorazione vegetale e il mausoleo di Claudia Semne, già di piena età traianea, al cui arredo interno erano pertinenti statue della donna in qualità di dea affiancate a statue dei figli rappresentati in toga, come giovani cittadini romani. Per la prima volta questi materiali, dispersi tra i Musei Vaticani e il Louvre, verranno riuniti e presentati al pubblico. Infine, straordinari corredi funerari, da sepolcri di fanciulle, completi di bambole snodabili in avorio o legno, e gioielli in oro, quali diademi, orecchini, bracciali e collane e il corredo di Crepereia Tryphaena (ai Musei Capitolini).

EXPOSICION DE KEITH HARING EN PARIS

'The political line' en el Museo de Arte Moderno de Paris






De 19 abril hasta 18 agosto 2013, el Museo de Arte Moderno (Musée d’art moderne) acoge cerca de 250 obras excepcionales pertenecientes al artista norteamericano Keith Haring. Esta exposición es una oportunidad para descubrir el proyecto artístico de Keith Haring. Muchas temas inspiraron a Haring como : la lucha contra el racismo, contra la homofobia, la denuncia del apartheid en Sudáfrica y la amenaza de guerra nuclear. 


"Mis dibujos no pretenden imitar la vida, sino crear una nueva vida, inventarla". "Es imposible separar la acción, mi creación, del resultado, vuestra reacción". "Su deseo era que todo el mundo tuviera acceso a sus obras y que éste fuera gratuito, por eso la mayoría de sus proyectos estaban destinados al espacio público"

miércoles, 17 de abril de 2013

EL LOUVRRE ABU DABI ENSEÑA SUS CARTAS


La sucursal de la institución muestra el núcleo de su colección antes de su apertura en 2015
El centro aspira a ser el primer museo universal del mundo árabe

El Louvre Abu Dabi ya está listo, a dos años y medio de su inauguración, para mostrar al mundo la espina dorsal de su colección permanente. En total, 130 objetos procedentes de distintos lugares a lo largo de los cuatro últimos milenios conforman la exposición Nacimiento de un museo,que se abre al público el próximo día 22 en la isla de Saadiyat, el distrito cultural de Abu Dabi. Es la primera muestra a gran escala de los fondos del ambicioso museo, el primero con vocación universal del mundo árabe y cuya sede en construcción es un proyecto del arquitecto Jean Nouvel.

“El objetivo es demostrar el concepto de universalidad haciendo dialogar objetos artísticos de distintas civilizaciones y épocas”, manifestó ayer Céline Hullo-Pouyat, directora de proyecto del Louvre Abu Dabi, durante una visita previa a la exposición. También se trata, como precisó durante la presentación la codirectora emiratí, Hissa al Dhaheri, de “destacar los valores humanos que nos unen”.
 
El anuncio de que el emirato de Abu Dabi había firmado un acuerdo con el Louvre para que le ayudara a desarrollar su propia pinacoteca y que planeaba construir el mayor Guggenheim del mundo fue recibido con escepticismo cuando se hizo público a principios de 2007. Tres años después, la crisis financiera obligó a los responsables a frenar sus ambiciones. Solo recientemente, se han reanudado los trabajos. Según el nuevo calendario anunciado este año, el Louvre se inaugurará dentro de dos años, el Museo Nacional que firman Foster & Partners estará listo en 2016 y el Guggenheim, diseñado como no podía ser menos por Frank Gehry abrirá en 2017. Está además prevista la construcción de un auditorio diseñado por la arquitecta Zaha Hadid y un museo marítimo según un proyecto de Tadao Ando.
 

LA BNE ABRE SUS PUERTAS CON MOTIVO DEL DIA DE LIBRO


El día 23 se estrenará la muestra Ideas Monumentales en Libros en Miniatura

La Biblioteca Nacional de España, como viene siendo habitual todos los años desde el 2005, organiza su Jornada de Puertas Abiertas el próximo 27 de abril para conmemorar el Día del Libro. Es una de las actividades más emblemáticas, pero no la única: una mesa redonda sobre poesía, un ciclo de cine con películas basadas en obras literarias de William Shakespeare y Miguel de Cervantes, una exposición de libros en miniatura y La noche de los libros son algunos de los actos organizados.

La Jornada de Puertas Abiertas descubre al público el interior de la Biblioteca en la mañana del sábado más próximo al Día del Libro, en este caso el día 27. En esta ocasión los trabajadores de la BNE serán los guías voluntarios que recibirán a los visitantes y les acompañarán en un recorrido por el edificio del paseo de Recoletos, mostrando algunos espacios cuyo acceso normalmente está restringido e importantes obras pertenecientes a la BNE.

Otro de los platos fuertes es la inauguración de la exposición Ideas Monumentales en Libros en Miniatura (Monumental Ideas in Miniature Books). Es un proyecto internacional que se mostrará en la Sala de las Musas del Museo de la Biblioteca hasta el 22 de septiembre. En ella, los visitantes podrán ver las obras de artistas de diferentes países. Los autores crearon un total de 140 libros con diseños totalmente originales, planteamientos conceptuales y distintas técnicas, procesos y materiales.

La novena edición de La noche de los libros (el día 23) estará marcada por dos acontecimientos. El primero de ellos, La BNE lee para ti, que se organiza por tercera vez, tendrá lugar entre las 19.00 y las 21.00 horas de la noche. Los trabajadores de la Biblioteca leerán una selección personal de fragmentos de sus obras preferidas de la literatura universal.


 

jueves, 11 de abril de 2013

DON CARLOS EN EL TEATRO REGIO DE TORINO


TEATRO REGIO 
TORINO  7 APRILE 2013
DON   CARLOS
Libretto di François-Joseph Méry e Camille Du Locle
dal poema drammatico Don Carlos, Infant von Spanien
di Friedrich Schiller


Musica di Giuseppe Verdi
Personaggi
Interpreti
Don Carlo, infante di Spagna tenore
Ramón Vargas
Elisabetta di Valois soprano
Barbara Frittoli
Filippo II, re di Spagna basso
Ildar Abdrazakov
Rodrigo, marchese di Posa baritono
Ludovic Tézier
La principessa Eboli mezzosoprano
Daniela Barcellona
Il grande Inquisitore, cieco
nonagenario basso
Marco Spotti
Aleksandr Vinogradov
(16, 18, 20, 21)
Un frate basso
Roberto Tagliavini
Tebaldo soprano
Sonia Ciani
Voce dal cielo soprano
Erika Grimaldi
Il Conte di Lerma tenore
Dario Prola / Alejandro Escobar
Un araldo del re tenore
Luca Casalin
Deputati fiamminghi bassi
Fabrizio Beggi, Scott Johnson,
Federico Sacchi, Riccardo Mattiotto,
Franco Rizzo, Marco Sportelli
Direttore d'orchestra
Gianandrea Noseda
Regia, scene e costumi
Hugo de Ana
Coreografia
Leda Lojodice
Luci
Sergio Rossi
Assistente alla regia
Filippo Tonon
Assistente alle scene
Juan Guillermo Nova
Assistente ai costumi
Cristina Aceti



CONTRASTI  E CONFLITTI, OVVERO Il  “Don Carlos”
Forse proprio i vari rimaneggiamenti e interventi sulla stesura iniziale, hanno portato al meritevole risultato finale che si è ‘vissuto’ al Regio di Torino che riconferma il ‘Don Carlos’ una delle più belle partiture dell’ottecento italiano e nel dettaglio anche del panorama verdiano.
Partendo dalla scena, Hugo De Hana ha mantenuto il tratto classico con sapiente introduzione di elementi di assoluta modernità che si sono amalgamate con le luci (splendide le colonne illuminate ed in movimento, immerse in un intenso  buio avvolgente) disegnate da Sergio Rossi; dal punto di vista registico e dei costumi, inevitabile cogliere il contrasto tra  l’opulenza fastosa della imperversante chiesa che decreta e domina anche i re, con le turbolente e nere passioni che albergano negli animi dei personaggi.
L’esperienza intensamente vissuta, inizia dall’ouverture che senza esitazioni catapulta nel vivo della partecipazione, così come  partecipata è la direzione del  M°Gianadrea Noseda, che raggiunti gli apici della bravura e della conoscenza, con il consueto gesto ampio e  molto descrittivo vive l’opera in simbiosi evidente   con i meritevoli professori d’orchestra ed i cantanti da gran firmamento compiendo un’opera di vibrante maieutica che porta all’espressione di una cifra interpretativa di rilucente prestigio . il Coro diretto da Claudio Fenoglio  ha abituato a delle performance di tutto rilievo ed oramai a Torino  si da per scontato l’ascoltare brani di  assoluta coinvolgente piacevolezza.
I contrasti fra padre e figlio, le diverse concezioni politiche e gestionali, i conflitti tra Stato  e chiesa, trovano habitat naturale sul palcoscenico del Regio grazie all’ottima globale resa vocale ed attoriale degli interpreti.

Don Carlos trova la voce ed i panni in Ramon Vargas che non lesina nel ruolo del titolo e si offre generoso nelle arie e nei vari duetti e terzetti.
Barbara Frittoli è eccellente Elisabetta di Valois, che impersona con il tratto della sicura professionista, con voce mirabilmente fresca ed omogenea, con accenti di rara bellezza.
Filippo II trova il suo interprete in  Ildar Abdrazakov : voce profonda con un colore amabilmente scuro  giunge  all’attesa ‘Ella giammai m’amò’ con certezza interpretativa ed offre la famosa aria con poetica sofferenza soffusa di carezzevole colore.
Ludovic Tezier  è il baritono dalla possente voce che realizza un magnifico Rodrigo, marchese di Posa: presenza scenica, voce  timbricamente rilevante, linea di canto accattivante e  credibile possenza.
Il mezzosoprano Daniela Barcellona è la Principessa Eboli e con la ben conosciuta duttilità e coloristica riesce a portare alla commozione, spaziando sul rigo con naturale semplicità.
Il Grande Inquisitore è il basso Marco Spotti  che abilmente è terrificante fin dal duetto con Filippo II. La profondissima voce, con tratto deciso, delinea non solo il personaggio, ma un ampio spazio storico.
Un apprezzamento anche agli altri ruoli/interpreti: Roberto Tagliavini, Sonia Ciani, Erika Grimaldi, Dario Prola, Luca Casalin  i bassi deputati fiamminghi.
L’insieme di molte bravure e di grandi professionalità hanno permesso la realizzazione di una Grand’Operà che ha soddisfatto i palati della tradizione come quelli dell’innovazione e sopra tutto e tutti,
la Musica vince sempre.  
Renzo Bellardone