domingo, 18 de mayo de 2025

GABRY PONTE - TUTTA L'ITALIA | SAN MARINO 🇸🇲 | OFFICIAL MUSIC VIDEO | #EUROVISION2025, L´ULTIMO

 


Mamma stasera non ritorno

Ma sicuro finisco in qualche letto poi dormo

Siamo tutti dei bravi ragazzi, a posto

Spaghetti vino e padre nostro

E la Gioconda ride, va bene ma lei sta a Parigi

I baci vietati nelle stradine nere

Occhi tristi ma felici, quanti amici degli amici

E canti, ti sento tra le grida

Le luci ci passano le dita

Fa niente se non l’hai mai sentita

Ma con sta roba ci salta

Tutta l’Italia, Tutta l’Italia, Tutta l’Italia

Tutta l’Italia, Tutta l’Italia, Tutta l’Italia

Lasciateci ballare con un bicchiere in mano

Domani poi ci pentiamo, a dirci ti amo

Che qui ci sente

Tutta l’Italia, Tutta l’Italia, Tutta l’Italia

Il calcio lo prendono a calci

La moda che fa degli stracci

Cucina stellata di avanzi beato santissimo Craxi

E quante monetine, ma i desideri son degli altri

Con le collanine d’oro sulle canottiere

L’auto blu coi lampeggianti

Avanti popolo avanti

E canti, ti sento tra le grida

Le luci ci passano le dita

Fa niente baby così è la vita

E con sta roba ci salta

Tutta l’Italia, Tutta l’Italia, Tutta l’Italia

Tutta l’Italia, Tutta l’Italia, Tutta l’Italia

Lasciateci ballare con un bicchiere in mano

Domani poi ci pentiamo, a dirci ti amo

Che qui ci sente

Tutta l’Italia, Tutta l’Italia, Tutta l’Italia

~~~ Lyrics in English ~~~

Mom tonight I’m not coming back

But I'm sure I'll end up in some bed, then I’ll sleep

We’re all good guys, alright

Spaghetti, wine, Our Father

And the Mona Lisa laughs, it’s fine but she’s in Paris

The forbidden kisses in the dark streets

Sad eyes but happy, so many friends of friends

And you sing, I hear you through the shouting

The lights pass through the fingers

It doesn’t matter if you have never heard it

But with this thing it jumps

All of Italy, all of Italy, all of Italy

All Italy, all of Italy, all of Italy,

Let us dance with a glass in our hands

Then tomorrow we’ll regret saying I love you

Who here hears us

All of Italy, all of Italy, all of Italy

The football gets kicked

The fashion makes rags

Starred kitchen of leftovers blessed holy Craxi

And so many coins, but the desires are of others

With the gold necklaces on the tank tops

The blue car with flashing lights

Forward people, forward

And you sing, I hear you through the shouting

The lights pass through the fingers

It doesn’t matter if you have never heard it

But with this thing it jumps

All of Italy, all of Italy, all of Italy

All Italy, all of Italy, all of Italy,

Let us dance with a glass in our hands

Then tomorrow we’ll regret saying I love you

Who here hears us

All of Italy, all of Italy, all of Italy


ROBERT DE NIRO APPELLE À LA RÉSISTANCE AU FESTIVAL DE CANNES (POINT DE VUE)

À l’occasion de la réception de sa palme d’or d’honneur, remise par Leonardo DiCaprio, Robert de Niro a délivré un discours combatif pour défendre l’art et sa diversité. 

Une attaque en règle contre les dernières décisions de Donald Trump.

Par Jérôme Carron

Il ne dit pas grand-chose, mais quand il parle, on l’écoute. " Ainsi parle Leonardo DiCaprio de son "modèle ", l’acteur Robert de Niro. Si l’ovation de l’assemblée présente à la cérémonie d’ouverture du Festival de Cannes dure deux minutes à l’arrivée de l’acteur du Titanic, elle se renouvelle pour cinq longues minutes lorsque apparait le comédien de 81 ans.

Leonardo DiCaprio n’est pas avare de confidences au moment d’introduire son idole. "Pour moi et ma génération, Robert de Niro, que nous appelons Bob, n’est pas seulement un rôle, il est sa transformation. Il est l’acteur". 

La star d’Aviator, rappelle ce qu’il doit au Parrain. "Il m’a choisi pour mon premier casting, à 14 ans, et il a changé ma vie ". Il rappelle aussi que c’est Bob qui l’a conseillé à Martin Scorsese, "que l’on appelle Marty ", donnant naissance à une collaboration de sept films parmi lesquels DiCaprio incarne ses plus beaux rôles. Mais il s’attarde aussi sur le talent de Robert de Niro. "Son état d’esprit silencieux. Les plus grandes scènes sont sans une parole, c’est là où réside le talent des plus grands acteurs", détaille-t-il avant de conclure : "Félicitations et merci pour tout monsieur Robert de Niro."


Leonardo DiCaprio remet la palme d'or d'honneur à Robert de Niro. © Niviere David/ABACAPRESS.COM

En smoking, l’acteur de 81 ans se montre enfin sur scène. Au fil des applaudissements, ses yeux s’embuent légèrement. "La reconnaissance d’un monument" comme le disait Leonardo DiCaprio dans son discours. 

L’acteur de Taxi Driver semble en profiter. Il remercie la salle en français avant de commencer son discours par un rappel de ses passages à Cannes.

 "Ici c’est chez moi, c’est ma communauté. J’étais là en 1973 avec Martin Scorsese pour Mean Streets et cinquante ans après pour Killers of the Flower Moon". Après un rappel des autres réalisateurs avec lesquels il est venu, Robert de Niro dévoile le cœur de son discours.

"Dans mon pays, nous nous battons comme des chiens pour la démocratie, que nous tenons pour acquise. Cela nous affecte tous, parce que l’art est le creuset qui rassemble les gens, comme ce soir. L’art recherche la vérité, l’art embrasse la vérité, c’est pourquoi l’art est une menace. C’est pour cela que l’art est une menace pour les autocrates et les fascistes".


L’acteur est alors interrompu par les applaudissements nourris de la salle. "Le président philistin américain s’est nommé lui-même à la tête d’une de nos institutions culturelles (Le Kennedy Center, ndlr). Il a supprimé les fonds et les soutiens pour l’art, les humanités et l’éducation." 

Revenant ensuite sur le souhait de Donald Trump d’imposer des droits de douane de 100% sur les films produits à l’extérieur des États-Unis, Robert de Niro a exprimé sa ferme opposition.

"Vous ne pouvez pas mettre un prix sur la créativité, mais apparemment vous pouvez imposer des droits dessus. Bien sûr, c’est inacceptable." L’acteur est de nouveau interrompu par des acclamations. 

Il reprend : "Toutes ces attaques sont inacceptables. Et ce n’est pas juste un problème américain, il est global". L’heure de la révolution a sonné. "Nous devons agir et nous devons agir maintenant. 

Il est temps pour ceux qui s’inquiètent de la liberté d’agir, sans violence, mais avec passion et détermination." L’acteur conclut par la devise de la France : "Liberté égalité fraternité."

https://www.pointdevue.fr/culture/cinema/robert-de-niro-appelle-a-la-resistance-au-festival-de-cannes?_

THE MET AU LOUVRE DIALOGUES D'ANTIQUITÉS ORIENTALES

29 février 2024 – 28 septembre 2025

Le département des Antiquités orientales accueille dix oeuvres majeures du Department of Ancient Near Eastern Art du Metropolitan Museum of Art (The Met) de New York, actuellement fermé pour des travaux de rénovation globale. 

Le Louvre a ainsi pu concevoir avec le Met un dialogue inédit entre ces deux collections qui prendra place au sein des salles permanentes d’antiquités orientales.

 Datées entre la fin du IVème millénaire avant J.-C. et le 5ème siècle de notre ère, les oeuvres du Met, invitées exceptionnelles, introduisent des correspondances remarquables avec les collections du Louvre, soit qu’elles forment ensemble une paire réunie pour la première fois à cette occasion, soit qu’elles se complètent du fait des spécificités liées à l’histoire de chacune des deux collections. 

De l’Asie centrale à la Syrie en passant souvent par l’Iran et la Mésopotamie, ces dialogues de collections permettent de (re)découvrir autrement ces oeuvres plurimillénaires et les histoires dont elles témoignent.

Projet collectif coordonné par Ariane Thomas, directrice du département des Antiquités orientales, musée du Louvre et Kim Benzel, directrice du Department of Ancient Near Eastern Art, The Metropolitan Museum of Art

https://www.louvre.fr/expositions-et-evenements/expositions/the-met-au-louvre

PICASSO SUITE VOLLARD. COLECCIONES MUSEO ICO, MADRID

Fue realizada por Pablo Ruiz Picasso entre septiembre de 1930 y marzo de 1937.

La serie toma su nombre, precisamente, de Ambroise Vollard, marchante y amigo personal de Picasso. La relación entre ellos, si bien nunca fue demasiado continua, se inició muy pronto, en 1901, cuando Picasso expuso por primera vez en París, junto con Francisco Iturrino, en la Galerie Vollard. Desde entonces, el galerista francés mostró un interés constante por el pintor español y comenzó a editar su obra gráfica. La colaboración entre Vollard y Picasso llega a su punto álgido con la Suite Vollard que, sin embargo, no fue un encargo del marchante al artista sino, más bien, fruto de un intercambio amistoso y comercial.

La Suite Vollard es fruto de momentos intensamente creativos en los que Picasso, a modo de diario íntimo, fue desarrollando sus obsesiones personales. 

Éstas se pueden ordenar en torno a seis bloques temáticos que, en esta ocasión, sirvieron de gión a la muestra en el Museo ICO.

La edición definitiva de la serie comenzó a estamparse en 1939, antes de la muerte de Vollard en julio de ese mismo año. 

Una vez concluida la tirada, las estampas pasaron, junto a otras series inéditas, a los almacenes del marchante francés. Los cobres de la Suite Vollard fueron mostrados por primera vez en 1979 en la exposición que tuvo lugar en el Museo de Arte Moderno de la Villa de París, de donde pasaron a formar parte de los fondos del Museo Picasso de París.

Temas varios

Conjunto de 27 grabados que no muestran ninguna temática común, pero que reproducen las preocupaciones estéticas, entusiasmos amorosos y estados anímicos habituales de Picasso.

Rembrandt

Cuatro planchas dedicadas a la figura de Rembrandt, el gran maestro del grabado con el que Picasso mantuvo una relación de admiración y rivalidad.

La batalla del amor

Pequeña serie relacionada con El estudio del escultor. En La batalla del amor se acentúa la relación erótica que mantiene con su modelo, pero de un modo más violento, incluso agresivo, con representaciones de escenas de violación.

El estudio del escultor

Es la temática más ampliamente representada en la Suite Vollard, con 46 de los 100 grabados. Desarrolla una y otra vez la relación erótica entre el artista y su modelo, que en este caso será su amante Marie-Thérèse Walter. La relación entre obra, modelo y artista es un tema muy recurrente en la producción artística de Picasso. Estas estampas nos muestran, además, la intensa labor escultórica que Picasso desarrolla a finales de los años 20 y principios de los 30.

El Minotauro

Las planchas de esta serie conforman el segundo bloque dominante en la Suite Vollard. El Minotauro es un personaje enigmático y recurrente en la obra de Picasso, con el que el artista se identifica. El impulso sexual y criminal, pero también su ternura, soledad y sufrimiento quedan patentes en los grabados.


Retratos de Ambroise Vollard

Serie de tres retratos que Picasso hizo al marchante de arte en el año 1937. La Suite Vollard constituye el punto álgido de la colaboración entre ambos.

Homenaje a Antoni Tàpies

Complementariamente, en una sala acondicionada para ello, se realizó un pequeño homenaje a la obra de Antoni Tàpies, una de las figuras más relevantes del arte español contemporáneo. Una escultura, un dibujo y tres grabados provenientes de los fondos de las Colecciones ICO, conformaron el sencillo homenaje que el Museo ICO quiso rendir a uno de los grandes artistas representados en su Colección.

https://www.fundacionico.es/exposiciones/picasso-suite-vollard-colecciones-ico

MASTERPIECES OF EGYPTIAN SCULPTURE FROM THE PYRAMID AGE. MUSEUM OF FINE ARTS, BOSTON

Journey back 4,500 years to the Giza plateau in ancient Egypt, where a group of artists and their patrons devised a new way of representing the human body in sculpture. 

Commanding in presence and sublime in aesthetic, their works represent a pinnacle of artistic innovation. For millennia, the Egyptians looked back on the sculpture of this period as benchmarks to follow.

 “Masterpieces of Egyptian Sculpture from the Pyramid Age” tells the story of this artistic moment and the culture that shaped it through some of the singular landmarks of the Old Kingdom (2575–2150 BCE).


The bust of Prince Ankhhaf, the man who oversaw the completion of the Great Pyramid, is the most convincing example of realistic portraiture to survive from the Old Kingdom. 

The pair statue of King Menkaura and queen is one of the most famous Egyptian sculptures in the world. These and every other work on display—all of them undisputed masterpieces—have been in the MFA’s collection since the first part of the 20th century, when they were excavated in Egypt by the Harvard University–Boston Museum of Fine Arts Expedition. 

Through maps, diagrams, photographs, and firsthand accounts, this gallery also sheds light on how they came from Giza to Boston more than a century ago.

 


The adjacent gallery, “Faces of Ancient Egypt,” illustrates the breadth of approaches sculptors took in creating distinctive likeness over 2,000 years of Egyptian artistic development. From the Twelfth Dynasty and the Late Period, respectively, the Josephson and Boston Green Heads are sensitive portrayals of a nobleman and a priest with startlingly realistic features. 

Meanwhile, a portrait of Pharaoh Amenhotep III from the Eighteenth Dynasty smiles broadly without a single crease in its cheeks, making it more of an elegant mask than a lifelike depiction.

https://www.mfa.org/gallery/masterpieces-of-egyptian-sculpture-from-the-pyramid-age

UN OSTRIARIUM ROMANO NELLA LAGUNA DI VENEZIA. IL MUSEO DI STORIA NATURALE DI VENEZIA OSPITA FINO AL 2 NOVEMBRE 2025 LA RESTITUZIONE DEL PROGETTO DI RICERCA

 Il racconto e la restituzione, di una scoperta unica in Italia: un vivarium probabilmente annesso a una villa del I secolo d.C. ed un nuovo elemento per leggere la storia della Laguna “prima di Venezia” in epoca imperiale romana. 

ll Museo di Storia Naturale di Venezia Giancarlo Ligabue ospita la restituzione del progetto di ricerca Un ostriarum romano nella laguna di Venezia realizzato da Ca’ Foscari e collegato alla scoperta di un particolare sito archeologico nella laguna di Venezia, in località Lio Piccolo, Cavallino-Treporti.

È qui che indagini stratigrafiche subacquee avviate nel 2021 hanno portato alla luce una vasca in mattoni e tavole di legno contenente circa 300 gusci di ostriche: una struttura databile al I secolo d.C. e interpretata come un antico ostriarium: uno spazio destinato al mantenimento in vita di questi molluschi prima del loro consumo. 

Ad oggi, una scoperta unica in Italia, che trova un solo confronto noto nella laguna di Narbonne, in Francia.

Una parte di questi significativi rinvenimenti, reperti, immagini, video delle operazioni di scavo subacqueo e delle attività di ricerca, nonché un modello tridimensionale del sito archeologico lagunare saranno esposti al Museo di Storia Naturale dal 16 aprile al 2 novembre 2025 (Inaugurazione martedì 15 aprile): un allestimento che restituisce i primi risultati di questo progetto di ricerca, fornendo ulteriori informazioni sugli abitanti della Laguna in epoca imperiale romana. 

E che, non  ultimo, mette in luce l’importanza di un lavoro di ricerca scientifica interdisciplinare che ha coinvolto archeologi, geologi, biologi, per restituire al pubblico i risultati di questa indagine e invitare alla scoperta e conoscenza della ricchezza della Laguna.

Una scoperta per la storia della laguna di Venezia

Il sito archeologico di Lio Piccolo, segnalato nel 1988 da Ernesto Canal che, per primo, aveva ipotizzato di vedervi i resti di una villa romana, si trova lungo la riva meridionale di Canale Rigà. Sul fondo della vasca sono stati rinvenuti circa 300 gusci di ostrica comune (Ostrea edulis), specie gradualmente scomparsa dalla Laguna nella seconda metà dell’Ottocento, ed alcuni gusci di altri bivalvi, come i canestrelli. Le paratie, come avveniva nelle peschiere a mare di età romana, permettevano probabilmente l’isolamento tra le diverse specie. 

Le analisi dendrocronologiche e la datazione al Carbonio 14 delle parti in legno portano a datare la costruzione della struttura nella metà del 1° secolo d.C. A contatto con il vivarium si trovano delle fondazioni in mattoni sorrette da una selva di pali in quercia che dovevano appartenere a un edificio piuttosto importante costruito nello stesso periodo. 

Centinaia di frammenti di affresco, tessere di mosaico e alcune lastrine di marmi pregiati fanno interpretare l’edificio come una possibile villa di lusso, forse proprio una di quelle ville marittime che Marziale, alla fine del 1°secolo d.C., colloca nei lidi di Altino. Tra i rinvenimenti più importanti, anche una gemma preziosa che doveva ornare la montatura di un anello di una persona molto agiata frequentatrice dell’ostriarium.

Dalla ricerca alla divulgazione: un patrimonio per tutti

Il Museo, che conserva importantissime collezioni scientifiche dei più grandi scienziati e naturalisti locali, continua ancora oggi a studiare la Laguna, per comprendere il rapporto così unico che lega la città al suo territorio e garantire la continua documentazione fisica dell’ambiente e delle sue trasformazioni. 

Una missione che può realizzarsi solo collaborando con le altre realtà istituzionali che lavorano e studiano la Laguna nei suoi più diversi ambiti ed aspetti.

In quest’ottica nasce la collaborazione con il Dipartimento di Studi Umanistici dell’Università Ca’ Foscari, per valorizzare un progetto di ricerca che ci offre inedite informazioni sulle attività ittiche in Laguna ai tempi della Roma Imperiale.

E’ con grande piacere che voglio presentare questa piccola esposizione - spiega  Carlo Beltrame, curatore della mostra e docente di Metodologie della ricerca archeologica - che ha lo scopo di dare conto, al di fuori delle sedi accademiche, dei primi risultati delle attività condotte dal gruppo di ricerca in archeologia marittima, da me diretto, del Dipartimento di Studi Umanistici dell’Università Ca’ Foscari, sul più significativo dei contesti archeologici sommersi di età romana in corso di indagine nella laguna di Venezia, ossia il sito sommerso di Lio Piccolo, nel Comune di Cavallino Treporti.

Federica Ferrarin

https://www.unive.it/web/it/15165/articolo/6567

viernes, 16 de mayo de 2025

LA NUOVA PILOTTA, PARMA. THE CARRACCI CARTOONS: MYTHS IN THE MAKING. NATIONAL.GALLERY

La Nuova Pilotta - Vai al sito

Save the date

 

FARNESE FESTIVAL – III EDIZIONE
Rassegna di musica antica


TEATRO FARNESE, COMPLESSO MONUMENTALE DELLA PILOTTA

 

Lunedì 2 – Domenica 8 giugno 2025


“Il Festival cresce e si evolve”
– Stefano L’Occaso

Per la prima volta saranno coinvolti, oltre al Teatro Farnese, tutti gli spazi del Complesso monumentale della Pilotta, dalla Galleria Nazionale alla Biblioteca Palatina, dalla Galleria Petitot al cortile del Guazzatoio.


THE CARRACCI CARTOONS. NATIONAL GALLERY

Until 6 July 2025

Two artist brothers from Bologna in northern Italy, Annibale and Agostino Carracci, visit Rome in 1594. They are about to take on a huge commission – to decorate rooms in the great Farnese Palace. A private family residence, its owner, Odoardo Farnese newly elected cardinal aged just 20, had inherited great wealth.  

Having finished the cardinal’s study, in 1597 they start work on the palace’s vast gallery. How to prepare? Two huge charcoal drawings on paper tell us this story. They are preparatory drawings for the hall’s monumental fresco. The word cartoon comes from the Italian ‘cartone’ meaning a large sheet of paper. As well as being a vital part of the creative process, they are works of art in their own right. 

Alive with mythical sea creatures, gods and goddesses, putti and crashing waves, the drawings reflect the inspiration the Carracci brothers found in Rome’s antique sculptures and recent works by their predecessors, Michelangelo and Raphael.    

Remarkable survivors of art in the making, the cartoons offer a window into the brothers’ ideas, creative process and technique.  

Detail from Agostino Carracci, 'A Woman borne off by a Sea God (?)', about 1599 © The National Gallery, London

https://www.nationalgallery.org.uk/exhibitions/the-carracci-cartoons-myths-in-the-making

EXPOSITION "UN EXIL COMBATTANT. LES ARTISTES ET LA FRANCE 1939 -1945" - BANDE-ANNONCE !

Contraints à l’exil, les artistes agissent au service de la France libre ! À partir du 26 février 2025, découvrez au musée de l’Armée l’exposition « Un exil combattant. Les artistes et la France 1939 -1945 ».

Plongez au cœur d’un voyage émouvant à travers les arts et l’histoire, en pleine Seconde Guerre mondiale, et découvrez la façon dont les artistes et les intellectuels en exil ont mis leur créativité au service d’un « certain esprit français » et des valeurs de la liberté !

 De Londres à Sydney, en passant par New York, Brazzaville, Buenos Aires, Cuba ou encore Alger, partez à la rencontrer nombreuses personnalités. Parmi elles, des figures marquantes comme René Cassin, Germaine Krull, André Masson, Wifredo Lam, Maria-Elena Vieira da Silva, Henry Valensi, Fernand Léger, Jean Hélion, Anna Marly, Micheline Rosenberg, Georges Duthuit, Jean Gabin, et bien d'autres.

 L'exposition en détail et toute la programmation :

 https://www.musee-armee.fr/au-program...

GIOVAN BATTISTA FOGGINI ARCHITETTO E SCULTORE GRANDUCALE

10 Apr – 09 Set 2025

Firenze celebra il genio artistico di Giovan Battista Foggini (1652-1725) con una grande mostra monografica, promossa da Città Metropolitana di Firenze e organizzata da Fondazione MUS.E, che si terrà a Palazzo Medici Riccardi dal 10 aprile al 9 settembre 2025. L’esposizione, curata da Riccardo Spinelli, è organizzata in occasione del terzo centenario della morte dell’artista e intende restituire al pubblico la straordinaria figura di colui che, con la sua opera ‘interdisciplinare’, ha finito per plasmare il linguaggio artistico della Firenze tardo-medicea.

Attraverso una selezione di oltre 80 tra sculture, disegni e manufatti, la mostra ripercorre la carriera di Foggini, formatosi a Roma presso l’Accademia Medicea fondata da Cosimo III de’ Medici e divenuto, una volta rientrato a Firenze, scultore granducale, architetto di corte e direttore delle Manifatture di Galleria destinate dal principe alla produzione di meravigliosi oggetti a intarsio di pietre dure e in metalli preziosi. Il suo stile, caratterizzato da un linguaggio tardo-barocco influenzato dall’arte romana, ma originale, ha definito l’immagine della Firenze di fine Seicento, facendo da ‘viatico’ alle generazioni successive.

Palazzo Medici Riccardi, luogo emblematico di Firenze e prima residenza della famiglia Medici, rappresenta la cornice ideale per questa celebrazione, avendo ospitato nel tempo alcune delle opere più significative dell’artista, come gli interventi per la Galleria degli Specchi affrescata da Luca Giordano e le sale limitrofe, la contigua Biblioteca Riccardiana, la sistemazione antiquaria del cortile quattrocentesco, la stuccatura della loggia terrena sul giardino, il prolungamento della facciata michelozziana su via Cavour.


Il percorso espositivo è articolato in sezioni tematiche che esplorano la scultura in marmo, bronzo e terracotta, l’attività di architetto e designer, il suo ruolo nella produzione di oggetti in pietre dure e metalli preziosi e la sua influenza sulla statuaria monumentale. Tra le opere esposte, provenienti da prestigiose collezioni internazionali, spiccano prestiti dal Museo del Louvre di Parigi, il Bayerisches Nationalmuseum di Monaco, il Minneapolis Institute of Arts di Minneapolis, lo Staatliche Kunstsammlungen di Dresda, le Gallerie degli Uffizi e i Musei del Bargello – Museo Nazionale del Bargello e Museo delle Cappelle Medicee di Firenze, il Museo Poldi Pezzoli di Milano, l’Istituto Centrale per la Grafica di Roma, le Gallerie Nazionali d’Arte Antica, Palazzo Corsini, sempre a Roma, e molti privati.

La mostra si apre con opere relative all’attività giovanile dell’artista, segnata dalla formazione a Roma presso l’Accademia fondata da Cosimo III, con disegni e lavori in terracotta come Il mito di Pigmalione, presentato all’Accademia di San Luca nel 1673, una Crocifissione con dolenti modellata a Roma e poi fusa in bronzo al rientro a Firenze, – con l’inedito bozzetto preparatorio-, la Strage dei figli di Niobe del 1674 e altri rilievi collocabili in quel periodo: Porsenna libera Clelia e le compagne dalla prigionia – collezione privata –, la Sacra famiglia e il Ratto di Proserpina agli inferi, questi ultimi due del Museo Nazionale del Bargello.

Segue una sezione dedicata alla scultura in bronzo, in cui si possono ammirare numerosi bronzetti ispirati alla letteratura antica, in particolare alle Metamorfosi di Ovidio, indicativi della scelta cultura letteraria dell’artista come dei suoi committenti, tra i quali si annovera il Granduca Cosimo III che ebbe modo di farne dono di alcuni all’Elettore del palatinato, suo genero avendone sposata la figlia Anna Maria Luisa. Le opere, provenienti da importanti collezioni italiane e internazionali, sono accompagnate da loro derivazioni in cera, porcellana di Doccia, gesso e biscuit, che ne attestano la fortuna e la diffusione. Sulle pareti sono esposte in grande formato pagine tratte dal Giornale del Gabinetto Disegni e Stampe degli Uffizi, testimoni dell’instancabile vena creativa dell’artista.

 In una delle sale sono visibili due degli otto ritratti di Casa Medici scolpiti da Foggini per il cardinale Francesco Maria de’ Medici – presente in effige, assieme a quella del cardinale Leopoldo (prestito del Museo del Louvre) -, mentre un altro settore di pregio della mostra è rappresentato dai lavori usciti dalle Manifatture di Galleria, che celebra l’attività di Foggini come responsabile dell’invenzione di tanti meravigliosi lavori realizzati dalla “Real Galleria e Cappella” (dal 1694). In mostra, il celebre Tavolo intarsiato in pietre dure di Palazzo Pitti e una serie di reliquiari sontuosi in bronzo, ebano e argento, straordinari per qualità tecnica e valore simbolico. Completano la sezione due bronzi tardi eseguiti per Anna Maria Luisa de’ Medici: Il Battesimo di Cristo (1723–24) e David e Golia, quest’ultimo, essendo mancata la possibilità d’avere in mostra la fusione ‘principe’ del bronzetto del 1722, conservata in Russia, è visibile nelle declinazioni da esso scaturite in cera e porcellana di Doccia.

La sezione L’Antico e il Re Sole testimonia il prestigio internazionale dell’artista grazie alle commissioni ricevute da Luigi XIV di Francia, il Re Sole: in mostra L’Arrotino e Il Cinghiale, repliche da celebri sculture antiche delle collezioni medicee, inviate a Versailles nel 1684. Accanto, una versione in porcellana del Laocoonte (capolavoro ellenistico ritrovato a Roma nel 1506) derivata dalla copia del gruppo antico scolpita da Baccio Bandinelli, oggi agli Uffizi, e realizzata dalla Manifattura di Doccia dalle forme originali servite a Foggini per un bronzetto con questo soggetto, documento dell’interesse dello scultore per la statuaria classica e per la sua diffusione.

Il percorso si conclude con una sala dedicata ancora alla presentazione di alcuni capolavori usciti dalle Botteghe di Galleria, fra cui una strepitosa cassetta intarsiata proveniente dal Minneapolis Institute of Art, alla grafica e alla documentazione storica: vi si espone, dopo oltre 45 anni, il Giornale degli Uffizi, un quaderno di progetti e schizzi che illustra l’inventiva dell’artista, e, per la prima volta, il Carteggio fogginiano conservato nella Biblioteca-Archivio del Seminario Maggiore di Firenze, un fondo di oltre cinquecento lettere che offre uno spaccato prezioso sulle relazioni intellettuali e artistiche intrattenute da Foggini con le maggiori personalità nel campo dell’arte del suo tempo.

L’allestimento, a cura di Luigi Cupellini, valorizza l’equilibrio tra rigore storico e impatto scenografico, restituendo al visitatore la ricchezza e la complessità dell’universo fogginiano.

Il progetto espositivo è accompagnato da un ampio catalogo scientifico pubblicato da Edifir Edizioni Firenze.

https://www.palazzomediciriccardi.it/mostra/giovan-battista-foggini/

JANE AUSTEN A GÂCHÉ MA VIE - BANDE-ANNONCE OFFICIELLE

Un film de Laura Piani

Avec Camille Rutherford, Pablo Pauly, Charlie Anson

Au cinéma le 22 janvier

Agathe a autant de charme que de contradictions. Elle est célibataire mais rêve d’une histoire d’amour digne des romans de Jane Austen. Elle est libraire mais rêve d’être écrivain. Elle a une imagination débordante mais une sexualité inexistante. La vie n’est jamais à la hauteur de ce que lui a promis la littérature. Invitée en résidence d’auteurs en Angleterre, Agathe devra affronter ses peurs et ses doutes pour enfin réaliser son rêve d’écriture… et tomber amoureuse.

DEATH TO MY HOMETOWN. BRUCE SPRINGSTEEN

 




DEMON, MOTHER, MAKER OF KINGS. ASHMOLEAN

In ancient and medieval societies, gods and goddesses were central to how people saw the world.

In this display you will discover a group of female divinities of the ancient world offering a glimpse into the many surprising forms of their power, from motherhood, love and fertility, to being fiercely violent and asserting political authority. Each has many different roles and functions in war, battle and death, politics, intelligence, and even navigation.

Many scholars in the late Victorian period saw these goddesses as evidence of an ancient ‘Great Goddess’ cult, which they mistakenly interpreted as evidence of matriarchy – a society led by women. These ideas, though useful to feminists, were used by their critics to argue that female power was ‘primitive’ and ‘uncivilised’.Header image:  Durga slays the buffalo demon Mahishasuramardini, illustration (detail), 17th century, gouache on paper

Gender and the Myth of Matriarchy

The display is part of a collaboration between the University of Oxford History Faculty and the Ashmolean Museum. It is based on research exploring changing ideas of gender globally since pre-history to the present and has been guest curated by Professor Maria Misra, Professor of Global History at the University of Oxford and a Fellow of Keble College, who is researching a Global History of Gender.

A conference, Global Gender: Pasts, Presents, Futures, is taking place 24–26 June 2024 in Oxford. Information about the programme, and registration, can be found on the Oxford University TORCH Global Gender website

https://www.ashmolean.org/exhibition/demon-mother-maker-of-kings-display

martes, 13 de mayo de 2025

EXPOSITION ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE

 Du 13 mars au 31 août 2025


Près de vingt ans après sa première exposition consacrée à Alfred Dreyfus, le mahJ revient à l’Affaire pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France, dont l’une des nombreuses conséquences a été la loi de séparation de l’Église et de l’État. L’exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour mettre en lumière la vérité, corrigeant l’image d’un homme qui était un spectateur de la conspiration qui l’a conduit à passer quatre ans en prison et sept autres à se battre pour sa réhabilitation.

En présentant près de 250 documents d’archives, des photographies, des extraits de films et une soixantaine d’œuvres d’art - de Jacques-Émile Blanche, Gustave Caillebotte, Eugène Carrière, Émile Gallé, Maximilien Luce, Camille Pissarro, Félix Vallotton et Édouard Vuillard - l’exposition raconte l’histoire de la Liaison « avec » Dreyfus, le remettant au centre de l’histoire. Cette nouvelle approche corrige l’image d’un Dreyfus effacé. Il révèle un combattant infatigable de la vérité, l’auteur de nombreux écrits, dont beaucoup sont inédits et récemment sortis de l’oubli.

Alfred Dreyfus est né en 1859 dans une famille alsacienne marquée par la défaite de 1871 et l’annexion de l’Alsace-Moselle. Fervent patriote et diplômé de l’École polytechnique, il eut une brillante carrière militaire, qui fut interrompue en 1894 lorsqu’il fut injustement accusé de haute trahison pour le compte de l’Allemagne, condamné par un tribunal militaire, dégradé et déporté en Guyane française.

L’exposition démêle le complot ourdi par l’état-major et illustre l’antisémitisme virulent qui s’affiche à la fin du 19e siècle. Grâce aux nombreuses œuvres exposées, il replace l’affaire dans le contexte de la Belle Époque, et met en lumière des aspects moins connus de l’époque : la diversité des réactions juives, la « naissance » des intellectuels et l'« essor » de la communauté juive, et l'« essor » du mouvement juif, la « naissance » des intellectuels et la réponse à l’antisémitisme. Dreyfus est gracié en 1899 et réhabilité en 1906, mais sa carrière ne sera jamais reconstruite.


L’exposition donne un aperçu de l’état actuel des choses dans l’Affaire, sur fond de recrudescence de l’antisémitisme, alors que l’innocence d’Alfred Dreyfus fait encore l’objet de théories du complot.

Cette exposition, qui a bénéficié d’un soutien exceptionnel de la part du musée d’Orsay, s’appuie sur la riche collection Dreyfus du mahJ, sur des prêts d’institutions - Archives nationales, Bibliothèque nationale de France, Musée de l’Armée, Musée de l’Ordre des avocats de Paris, Musée Carnavalet, Musée de l’Ecole de Nancy, Maison Zola-Musée Dreyfus à Medan - et de collections privées.


https://www.mahj.org/en/programme/alfred-dreyfus-truth-and-justice-31373

PLUS DE 350 STARS CONDAMNENT LE "GÉNOCIDE" DE GAZA DANS UNE LETTRE OUVERTE AVANT L'OUVERTURE DU FESTIVAL DE CANNES

 

TEASER | PUT YOUR SOUL ON YOUR HAND AND WALK de Sepideh Farsi (ACID CANNES 2025)

Fatima Hassouna a été tuée avec dix membres de sa famille lors d'une attaque aérienne israélienne sur la maison familiale dans le nord de Gaza le 16 avril dernier, le lendemain du jour où le documentaire a été annoncé comme faisant partie de la sélection ACID du Festival de Cannes.

Les signataires, parmi lesquels Pedro Almodóvar, Ruben Östlund, Guy Pierce, Ralph Fiennes, Melissa Barrera, Yórgos Lánthimos, Susan Sarandon, Alfonso Cuarón et David Cronenberg, dénoncent le génocide à Gaza : "Nous ne pouvons pas rester silencieux alors qu'un génocide a lieu à Gaza", peut-on lire dans la lettre initiée par plusieurs groupes d'activistes pro-palestiniens et publiée dans le journal français Libération et le magazine américain Variety.

“PRIMA DELLA SCALA” e “LA SCALA DI SETA”- TEATRO COCCIA NOVARA 11 MAGGIO 2025

 


Un simpatico ritorno all’Opera in occasione di una prima esecuzione e di una proposta spiritosa e di livello musicale ed artistico.

PRIMA DELLA SCALA Nuova commissione in prima esecuzione mondiale Musica di Federico Gon Libretto di Stefano Valanzuolo LA SCALA DI SETA Musica di Gioachino Rossini Libretto di Giuseppe Maria Foppa Direttore Francesco Pasqualetti Regia Deda Cristina Colonna Scene e Costumi Matteo Capobianco Assistente ai Costumi Silvia Lumes Luci Ivan Pastrovicchio Zabatta/Dormont - Davide Lando Nina/Giulia - Alina Tkachuk Ezio/Dorvil - Paolo Nevi

Lucilla - Yo Otahara Silvano/Blansac - Dogukan Ozkan Germano - Emmanuel Franco Orchestra Filarmonica Italiana Produzione Fondazione Teatro Carlo Coccia

La divertente farsa rossiniana ‘La Scala di seta’ andata in scena il 9 maggio 1912 a Venezia, viene riproposta nella ‘bomboniera’ del Teatro Coccia esattamente nella ricorrenza della prima rappresentazione. Trattandosi di un atto unico viene abbinata e preceduta da una nuova commissione “Prima della scala”, affidata al giovane compositore Federico Gon su libretto di Stefano Valanzuolo i quali si cimentano, non in una parodia che avrebbe potuto sortire aspetti discutibili, ma con l’invenzione di un plausibile fantasioso antefatto alla messa in scena appunto dell’atto unico rossiniano.

Il risultato è assolutamente divertente e coinvolgente ed alla fine sembra addirittura tutto vero. Il racconto che precede diventa di fatto un tutt’uno con ‘La Scale di seta’ e modificando solo alcuni particolari della scena e dei costumi, senza intervallo, si arriva all’applauso finale. La musica di Gon è assolutamente ascoltabile in prima battuta e senza ricerca di stravaganze piace e diverte. Il libretto è accattivante con battute che si ricordano ...‘Venghino signori venghino, pianghino signori pianghino’

In entrambi i casi la regia è affidata a Deda Cristina Colonna, conosciuta anni fa nel ruolo di coreografa rinascimentale e barocca e ritrovata piacevolmente nelle vesti di regista teatrale; nelle sue realizzazioni spicca la sua analisi ed un percorso artistico veramente di tutto rispetto che spazia temporalmente fino a giungere al contemporaneo con il tratto di chi ha scrutato e sperimentato diversi mondi artistici. 

Questa regia è divertentissima e fa riprendere gesti e atteggiamenti, una per tutte i gesti dell’illusionista, che danno la continuità alla narrazione.

L’orchestra è la Filarmonica Italiana diretta da Francesco Pasqualetti, incontrato la prima volta nei panni del giovane direttore d’orchestra che ricercava la precisione ed il gesto, frequentando le Master Class tenute dai grandi del momento ed in quel caso si trattava di Gianandrea Noseda nell’ambito dello Stresa Festival. 

Ritrovato in altre occasioni al Regio di Torino o a Pisa, vanta ormai un percorso artistico decisamente importante ed è ritenuto un raffinato ed eclettico interprete che accetta le sfide e le risolve con eleganza, come internazionalmente riconosciuto. Al Coccia ha diretto con misura e attenzione, mantenendo il ritmo vivace che fa amare Rossini.

La scenografia di Matteo Capobianco parte dall’idea del circo e fa affiorare ricordi, luci e colori che hanno affascinato e affascinano i bambini di sempre e fanno luccicare gli occhi di allegrezza. 

La scena inizia in bianco e nero a raffigurare il dolore per la dipartita del proprietario del circo, che si rivelerà una fake news messa in atto solo per mettere alla prova i propri collaboratori, per poi ravvivarsi di luci e colori man mano che la vicenda prosegue. La scala che sale e scende è il filo rosso scenico e narrativo, quanto i costumi dello stesso Capobianco, istrionici e festosi che si incastonano molto bene all’insieme.

Le voci sono tutte gradevoli e adeguate ai ruoli davvero brillanti. Zabatta/Dormont incontrano il tenore Davide Lando sicuro e piacevole. Alina Tkachuk da volto e voce squillante ai personaggi di Nina/Giulia. Ezio/Dorvil vengono resi con briosità e buoni acuti da Paolo Nevi. Yo Otahara è una interessante Lucilla ed al basso Dogukan Ozkan sono affidati i personaggi di Silvano/Blansac che affronta con buon timbro e colore. Emmanuel Franco è oltre che interessante all’ascolto rende ottimamente Germano.

La Musica vince sempre.

Renzo Bellardone

VUELVE EL FESTIVAL CONEXIÓN BUENOS AIRES - MADRID A CASA DE AMÉRICA. MUSEO NAZIONALE ETRUSCO

El proyecto celebrará la que ya es su tercera edición con un amplio programa de actividades culturales del 19 al 23 de mayo

En colaboración con el Ministerio de Cultura del Gobierno de la Ciudad de Buenos Aires

La nueva edición del festival Conexión Buenos Aires - Madrid, que se celebrará en Casa de América del 19 al 23 de mayo, busca fortalecer el diálogo cultural entre estas dos ciudades hermanas.

Las actividades centrales estarán dedicadas al tango y al filete porteño, dos expresiones declaradas Patrimonio Cultural Inmaterial de la Humanidad por la UNESCO.

Un proyecto que es mucho más que una muestra cultural: es una invitación a descubrir el talento de una ciudad, a construir vínculos duraderos y a proyectar lo mejor de Buenos Aires hacia el mundo.

MÚSICA

Lunes 19 de mayo, 18:00

Charla | Conexión sonora: El valor y el impacto de la música de Buenos Aires en España

Con Sergio Chiappetta, Camilo Carballo, Gustavo González y Jaime Nieto

Jueves 22 de mayo, 19:00

Tango con humor: Hermanas Rubí

Con Verónika Silva, Daniela Horovitz y Hernán Reinaudo.

Viernes 23 de mayo, 19:00

Tango y folklore: Sueño al Sur

Con Marcelo Balsells, Claudio Méndez, Gustavo Nardi y César Angeleri

ARTE

19 al 23 de mayo, 11 a 19:30

Exposición | Urbana BA III: Gente de mi ciudad 2000-2024

Jueves 22 de mayo, 18:00

Charla | Filete porteño: pasado y presente

Con Ceci Calvet y Helena Ferronato

CINE

Ciclo Buenos Aires Film Commission - BAFC 2025:

Lunes 19 de mayo, 18:30

Proyección exclusiva de La educación de los cerdos, de Eduardo Pinto

Función privada con inscripción previa en prensaconexion@buenosaires.gob.ar

Martes 20 de mayo, 18:30

Proyección de Quinografía, de Mariano Donoso y Federico Cardone

Miércoles 21 de mayo, 18:30

Proyección de Adulto, de Mariano González

Jueves 22 de mayo, 18:30

Proyección de Elijo creer: el camino del campeón, de Martín Méndez y Sebastián Dietsch

Viernes 23 de mayo, 18:30

Proyección de Camila, de María Luisa Bemberg

TEATRO

Miércoles 21 de mayo, 18:00

Lectura dramatizada de la obra de teatro Paraíso (Inmaculada Alvear), a cargo del actor Luciano Cáceres

CLASES DE TANGO Y MILONGA

Jueves 22 de mayo, 17:00

Clases de tango para todos los niveles. Inscripción en  prensaconexion@buenosaires.gob.ar

Viernes 23 de mayo, 17:00

Clases de milonga para todos los niveles. Inscripción en  prensaconexion@buenosaires.gob.ar



LE COUP D'ENVOI DE LA 78 ÈME ÉDITION. NOUVEAU PAPE, LEÓN XIV (POINT DE VUE)

La matinale de BFMTV ce matin dans la première édition ; Festival de Cannes: le coup d'envoi de la 78 ème édition va être donné ce mardi avec la présence de Mylène Farmer .




POINT DE VUE