jueves, 30 de junio de 2022

ABRE LA CÁTEDRA SIMONE VEIL. DESCUBRE AL SER HUMANO Y AL PERSONAJE EN DOS PROGRAMAS DE RADIO SEFARAD

 El pasado 29 de junio de 2022 tuvo lugar en la Facultad de Educación de la Universidad Complutense de Madrid la inauguración de la Cátedra extraordinaria Simone Veil para la prevención del Racismoantisemitismo y fomento de la interculturalidad, en la que participaron los principales implicados en el proyecto ahora ya operativo, desde el vicerrectorado de la Facultad, a la presidencia de la Federación de Comunidades Judías de España, pasando por los que llevarán a cabo la labor. 


https://www.radiosefarad.com/nous-vous-aimons-madame-homenaje-a-simone-veil-en-paris/

https://www.radiosefarad.com/simone-veil-una-mujer-francesa-para-el-mundo/

LE PARLEMENTARISME, UNE INVENTION ANGLAISE ! Y CINE, MIS QUERIDÍSIMOS HIJOS, DIRIGIDA POR ALEXANDRA LECLÈRE


Par Philippe Delorme

Le Royaume-Uni est une monarchie constitutionelle et vit sous le régime de la démocratie parlementaire. © Bridgeman Images

Alors que les Français viennent d’envoyer au Palais-Bourbon une assemblée nationale sans majorité bien définie, rappelons que le Royuame-Uni, il y a deux siècles et demi, a inventé les délices du parlementarisme…

"Il n’y a plus de gouvernement !" Par cette déclaration lapidaire, prononcée devant la Chambre des communes, Frederick North tire la conséquence de son échec. Confronté à une motion de défiance des députés de l’opposition, le Premier ministre remet sa démission au roi George III. Pour la première fois dans l’histoire d’Angleterre – et sans doute du monde –, une assemblée a renversé légalement un ministère, au mépris de la volonté du souverain.

De ce jour mémorable du 20 mars 1782 date la véritable naissance du parlementarisme. La France prétend souvent avoir inventé les droits de l'Homme, dans l’élan de sa révolution de 1789. C’est oublier que, treize années avant, la déclaration d’indépendance des États-Unis en avaient jeté les prémisses. C’est omettre aussi que l’Angleterre, depuis plus de cinq siècles, arpentait le chemin tortueux de la démocratie...

L'éphémère République d'Oliver Cromwell 

Dès 1215, le haut clergé et les barons obligent le roi Jean sans Terre à signer la Grande Charte. Fondé sur les traditions féodales, ce pacte insiste sur les valeurs de liberté individuelle et confie à un Parlement élu le soin de discuter et de voter les impôts. À l’issue de la guerre de Cent Ans, l’Angleterre sombre dans les luttes intestines. En 1485, lorsque la Rose rouge des Lancastre l’emporte en la personne de Henri VII Tudor, l’aristocratie, décimée, n’a plus la force de s’opposer au triomphe de l’absolutisme. Cette tendance culmine avec le règne du terrible Henri VIII qui rompt avec Rome et se proclame chef de l’Église anglicane. Sa fille, Élisabeth Ire, imite son exemple, réunissant dans sa main les deux sceptres du temporel et du spirituel.

En 1603, Jacques VI d’Écosse, descendant de Henri VII en ligne féminine, hérite du trône d’Angleterre. Lorsque son fils, Charles Ier, veut gouverner sans en référer au Parlement, la guerre civile éclate, puis la révolution. En 1649, un siècle et demi avant Louis XVI, Charles Ier est décapité à Londres. La République, dirigée d’une main de fer par Oliver Cromwell, se révélera éphémère. Mais la restauration de Charles II – le fils du roi exécuté – n’empêche pas les Anglais d’aspirer à toujours plus de liberté.

En 1688, le Parlement chasse le catholique Jacques II et offre la couronne à sa fille Marie, protestante et épouse du stathouder de Hollande, Guillaume III. Cette "Glorieuse Révolution" se termine par la déclaration des droits de 1689, qui pose les bases d’une monarchie constitutionnelle. Elle reconnaît à tous les sujets la personnalité juridique et le droit d’adresse. Le monarque, pour sa part, ne peut plus agir sans l’assentiment de ses ministres. Quant au Parlement, élu au suffrage censitaire, son avis devient indispensable pour la suspension des lois, leur exécution, la levée de tout nouvel impôt, l’entretien d’une armée sur le pied de paix.

Le Parlement prend plus de pouvoir sous la dynastie des Hanovres 

Au XVIIIe siècle, la dynastie hanovrienne accentue cet effacement du pouvoir du roi, qui devient une sorte de "subarbitre" de la nation, selon le mot de Voltaire. Ainsi, sous les règnes de George Ier et de George II, apparaît la fonction de Premier ministre, coordonnant l’action de ses collègues. Le souverain ne s’exprimant pas en anglais n’assiste plus aux réunions du gouvernement. De son côté, le Parlement tire prétexte de cette émancipation du cabinet pour instaurer la responsabilité politique des ministres.

George III, qui monte sur le trône en 1760, tente de rétablir son autorité. Pour ce faire, il s’appuie sur les conservateurs "tories", qui défendent les intérêts de l’aristocratie foncière. En 1770, il confie le poste de Premier ministre à Frederick North. Cette nomination provoque le mécontentement des colonies d’Amérique, qui rêvent de secouer le joug britannique. Au regard de l’Histoire, lord North – surnommé "Boreas", le vent du Nord par ses adversaires – sera accusé d’avoir entraîné la Grande-Bretagne dans la funeste guerre d’Indépendance, alors que George III porte également sa part de culpabilité dans ce désastre militaire et politique.

Quoi qu’il en soit, la défaite de Cornwallis à Yorktown, en octobre 1781, sera fatale au cabinet North. Au Parlement, l’opposition libérale "whig" hausse le ton, et fait passer une adresse au roi pour réclamer la paix en Amérique. De plus en plus attaqué, lord North résiste pied à pied, tant qu’il peut encore compter sur la confiance du Parlement.

Cependant, le 8 mars 1782, lord Cavendish présente aux députés une série de résolutions récapitulant les revers essuyés depuis 1775, dont il attribue la faute au cabinet en place. Il conclut en demandant formellement son renvoi. Lord North déploie tous ses talents d’orateur, et réussit à parer le coup avec adresse. Utilisant les craintes et les passions qui agitent les différentes factions de la chambre, il obtient une faible majorité. Mais c’est là son chant du cygne.

Frederick North et la guerre d'Amérique

La semaine suivante, une motion similaire est déposée aux Communes. Comprenant que, cette fois-ci, elle sera votée, le Premier ministre renonce à poursuivre un combat perdu d’avance. Si l’on en croit sa fille, lady Charlotte Lindsay, lord North n’aurait pas été mécontent de cette issue honorable : "Pendant les trois dernières années de son ministère, mon père eut un ardent désir de se retirer. Mais il se laissa gagner par les pressantes et fréquentes sollicitations de George III. Enfin, l’affaiblissement croissant de la majorité à la Chambre des communes rendit évidente la nécessité d’un changement dans le ministère, et le roi fut obligé, bien à contre-coeur, d’accepter sa démission. Ce fut un grand soulagement pour son esprit ; car, bien que je ne crois pas que mon père ait jamais eu des doutes sur la justice de la guerre d’Amérique, cependant je sais d’une manière certaine qu’il aurait voulu faire la paix trois ans avant qu’elle prît fin."

Pour autant, Frederick North ne disparaît pas du théâtre public. Dès le mois d’avril 1783, il revient à la tête du ministère de l’Intérieur, au sein d’une étrange coalition avec son ennemi d’hier, le whig radical Charles James Fox, sous l’autorité du duc de Portland. Ce gouvernement tombera le 17 décembre suivant, pour céder la place au fameux William Pitt le Jeune. North continuera de siéger au Parlement jusqu’en 1790. Devenu aveugle, il n’en succédera pas moins à son père à la Chambre des lords, en sa qualité de deuxième comte de Guilford, avant de s’éteindre à Londres, le 7 août 1792, à l’âge de soixante ans.

Le parlementarisme, une invention anglaise ! - Point de Vue


Y UN POCO DE CINE

 

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ESTE VIERNES LLEGA A LOS CINES

Divertida comedia sobre las relaciones familiares dirigida por Alexandra Leclère y protagonizada por los ganadores del César Josiane Balasko (“Vuelta a casa de mi madre”) y Didier Bourdon (“Un buen año”).

 Más información de la película y compra de entradas AQUÍ.

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"El sacrificio cómico de los actores es excelentey de una eficacia formidable (...) Esta comedia da en el blanco"Le Parisien"Bourdon y Balasko están perfectos en sus papeles de padres.Ambos se complementan como nunca antes.Su soltura en pantalla es asombrosa"Le Quotidien du Cinema

"Josiane Balasko y Didier Bourdon se divierten con éxito (...)Leclère dirige a la perfección a sus actores"Ciné-Feuilles

SINOPSIS

Chantal y Christian viven una jubilación tranquila. Pero desde que sus hijos dejaron el nido, han empezado a espaciar sus visitas y a olvidarse de ellos. Cuando anuncian que no irán a casa por Navidad, los padres idean un alocado plan para recuperarlos: fingirán que han ganado la lotería y son multimillonarios.

MASTERPIECES OF EGYPTIAN SCULPTURE MUSEUM FINE ARTS, BOSTON. ANCHE, ANTICORPI E FUMETTI, MOSTRA A ROMA

Journey back 4,500 years to the Giza plateau in ancient Egypt, where a group of artists and their patrons devised a new way of representing the human body in sculpture. Commanding in presence and sublime in aesthetic, their works represent a pinnacle of artistic innovation. For millennia, the Egyptians looked back on the sculpture of this period as benchmarks to follow.

“Masterpieces of Egyptian Sculpture from the Pyramid Age” tells the story of this artistic moment and the culture that shaped it through some of the singular landmarks of the Old Kingdom (2575–2150 BCE). 

The bust of Prince Ankhhaf, the man who oversaw the completion of the Great Pyramid, is the most convincing example of realistic portraiture to survive from the Old Kingdom. The pair statue of King Menkaura and queen is one of the most famous Egyptian sculptures in the world. 

These and every other work on display—all of them undisputed masterpieces—have been in the MFA’s collection since the first part of the 20th century, when they were excavated in Egypt by the Harvard University–Boston Museum of Fine Arts Expedition. Through maps, diagrams, photographs, and firsthand accounts, this gallery also sheds light on how they came from Giza to Boston more than a century ago.

The adjacent gallery, “Faces of Ancient Egypt,” illustrates the breadth of approaches sculptors took in creating distinctive likeness over 2,000 years of Egyptian artistic development. From the Twelfth Dynasty and the Late Period, respectively, the Josephson and Boston Green Heads are sensitive portrayals of a nobleman and a priest with startlingly realistic features. 

Meanwhile, a portrait of Pharaoh Amenhotep III from the Eighteenth Dynasty smiles broadly without a single crease in its cheeks, making it more of an elegant mask than a lifelike depiction.

https://www.mfa.org/gallery/masterpieces-of-egyptian-sculpture-from-the-pyramid-age



ANCHE...


ANTICORPI E FUMETTI
PAT CARRA
CASTELLO DI SANTA SEVERACOMUNE DI SANTA MARINELLA(ROMA)

Una mostra per ridere e riflettere sulla pandemia e sul pandemonio del presente.

Di fumetto in fumetto, sfilano dialoghi tra amiche, medici e pazienti, bombe, margherite, maghe, gatte, vermi, larve… anche il virus ha un volto per parlargli meglio e non ridurlo a un fantasma scientifico.Di fumetto in fumetto, sfilano dialoghi tra amiche, medici e pazienti, bombe, margherite, maghe, gatte, vermi, larve… anche il virus ha un volto per parlargli meglio e non ridurlo a un fantasma scientifico.

La mostra è promossa da Regione Lazio e organizzata da LAZIOcrea. Dopo l’esordio a Parma nel 2021, è arricchita e attualizzata con nuove tavole.

LA ORQUESTA SINFÓNICA DE KIEV ACTÚO PARA LA CUMBRE DE LA OTAN. Y ADEMÁS, EN EL AUDITORIO NACIONAL. REQUIEM DE BRAHMS, 1,2, Y 3 JULIO

Foto: © Pool Moncloa / Borja Puig de la Bellacasa.

 

El conjunto musical, invitado por el Gobierno de España, ha actuado en el Museo del Prado de Madrid frente a los mandatarios de la Cumbre de la OTAN, en un pequeño concierto previo a la cena euroatlántica promovida por el presidente del Gobierno, Pedro Sánchez.

Esta iniciativa de cooperación cultural ha sido posible gracias al convenio de colaboración suscrito entre la Fundación Albéniz (Escuela Superior de Música Reina Sofía) y la Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID), entidad adscrita al Ministerio de Asuntos Exteriores, Unión Europea y Cooperación a través de la Secretaría de Estado de Cooperación Internacional.

El miércoles 29 de junio de 2022 los músicos de la Orquesta Sinfónica de Kiev han vivido uno de los momentos más emocionantes de toda su carrera: interpretar la música de dos conocidos compositores ucranianos frente a los grandes líderes mundiales que esta semana se reúnen en Madrid para asistir a la Cumbre de la OTAN.

La Orquesta -dirigida por el italiano Luigi Gaggero- ha sido invitada por el Gobierno de España a participar en la Cumbre ofreciendo un pequeño concierto en el Museo del Prado delante de todos los mandatarios, justo antes de la cena euroatlántica que el presidente del Gobierno, Pedro Sánchez, ha organizado en el propio museo.

Se trata de un proyecto de cooperación cultural ha sido posible gracias al convenio de colaboración suscrito entre la Fundación Albéniz (Escuela Superior de Música Reina Sofía) y Agencia Española de Cooperación Internacional para el Desarrollo (AECID), entidad adscrita al Ministerio de Asuntos Exteriores, Unión Europea y Cooperación a través de la Secretaría de Estado de Cooperación Internacional.

 El programa que la Orquesta Sinfónica de Kiev ha presentado a los líderes de la Cumbre de la OTAN consta de dos piezas: Sinfonía núm. 1 en do mayor (ca. 1770) de Maksym Berezovsky (1745-1777) y "Melodie" en do menor (1981) de Myroslav Skoryk (1938-2020).


Y ADEMÁS, 

Johannes Brahms Un réquiem alemán, op. 45

Auditorio Nacional de Música. Sala Sinfónica

David Afkham, Director titular y artístico

Katharina Konradi, soprano

Peter Mattei, barítono

Orquesta y Coro Nacionales de España

Ciclo Sinfónico 24

01, 02 y 03 de julio de 2022

Un réquiem alemán

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Un réquiem alemán (título original en alemánEin deutsches Requiem) es una composición para sopranobarítonocoro y orquesta de Johannes Brahms. Catalogada como su opus 45, se trata de una meditación sobre la vida y la muerte a partir de textos bíblicos. Se estrenó de forma parcial en la Catedral de Bremen el 10 de abril de 1868, día de Viernes Santo, y de forma completa en 1869 en la Gewandhaus de Leipzig. Posteriormente, se interpretó por toda Europa y Brahms empezó a ser considerado como un compositor de importancia.1

Brahms realizó los primeros esbozos de la obra en 1861 y acometió el trabajo fundamental a partir de 1866, tras la muerte de su madre y de su protector Robert Schumann.

Se trata de un híbrido entre la cantata y el oratorio, donde la sensibilidad está muy próxima a la misericordia, la compasión y el optimismo,2​ lo que la aleja del réquiem en sentido litúrgico, así como de la Misa de difuntos o de una intencionalidad sacra. En este sentido, Brahms se aleja de la tradición católica, y se sitúa en la órbita de las enseñanzas del luteranismo, al seleccionar textos bíblicos que eluden referencias a la vida eterna, al juicio final o a un Dios castigador.

En sus siete partes incorpora 15 textos bíblicos titulados de la siguiente manera:

  1. Chor: „Selig sind, die da Leid tragen“ 9:24
  2. Chor: „Denn alles Fleisch, es ist wie Gras“ 14:16
  3. Bariton (Solo) und Chor: „Herr, lehre doch mich“ 8:55
  4. Chor: „Wie lieblich sind deine Wohnungen“ 5:28
  5. Sopran (Solo) und Chor: „Ihr habt nun Traurigkeit“ 6:35
  6. Bariton (Solo) und Chor: „Denn wir haben hie keine bleibende Statt“ 10:42
  7. Chor: „Selig sind die Toten




ROBERTO ALAGNA ,UNA VOZ MEDITERRÁNEA, CANTÓ EN EL TEATRO COLON DE BUENOS AIRES


Por Sebastiano De Filippi

A una década de su primera presentación en el Teatro Colón, Roberto Alagna vuelve a nuestro escenario, esta vez para brindar un recital solista. El tenor lírico ya se ha elevado al rango de superstar de la escena operística, elogiado tanto por sus cualidades vocales como por su expresivo estilo actoral. Honrando su doble herencia, cantó y grabó todas las grandes óperas del repertorio francés (Manon, Werther, Carmen) e italiano (La Bohème, La Rondine, Tosca, Il Trovatore). Será una gran oportunidad ideal para disfrutar lo mejor de su arte.

El programa para este recital es tan variado como inusual: en él se alternan números de ópera bien conocidos con otros que lo son mucho menos (incluyendo una curiosa excursión en terreno baritonal), canciones de cámara en dos idiomas, un manojo de canzonette napolitanas con largo historial de interpretación por parte de tenores y –en el medio de todo ello– tres interludios instrumentales con música pianística.

 La primera parte se abre con un aria de Le roi d’Ys (1888) del francés Édouard Lalo, con libreto de Édouard Blau basado en la leyenda bretona sobre la mítica ciudad sumergida de Ys, en Cornualles: la aubade “Vainement, ma bien aimée” (En vano, amada mía), en la que el caballero Mylio refrenda a su enamorada la profundidad de sus sentimientos. El panorama operístico francófono prosigue con “Suspendez à ces murs”, aria de Les Abencérages (1813) del italiano Luigi Cherubini, con versos de Étienne de Jouy, sobre la novela de Claris de Florian. En ella, el joven guerrero Almanzor se dirige agitadamente a su escudero con la frase “Cuelguen en estas paredes mis armas, mi bandera”.

Esta sección se cierra con el aria más famosa de una ópera que fue vehículo de lucimiento para grandes tenores –recordemos a Enrico Caruso, Giovanni Martinelli, Richard Tucker, José Carreras y Neil Schicoff– como lo es La juive (1835) del francés Jacques Halévy, sobre texto de Eugène Scribe: “Rachel, quand du Seigneur” (Raquel, cuando del Señor). En ella, el joyero Eléazar se propone salvar a su hija adoptiva de la condena a muerte que él mismo causó, en su afán por oponerse al cardenal Brogni, padre carnal de la joven.

Tras el paréntesis pianístico que trae el Nocturno en Re bemol mayor –Opus 2, Nº 2– del franco-polaco Frédéric Chopin, Alagna acomete repertorio italiano, comenzando con “O figli, o figli miei” (Oh hijos, oh hijos míos), la magnífica aria de Macduff en Macbeth (1847) de Giuseppe Verdi, sobre libreto de Francesco Maria Piave: el príncipe escocés lamenta la muerte de sus hijos y esposa a manos del usurpador Macbeth, y jura venganza…………………

martes, 28 de junio de 2022

‼ SAISON 22→23 VENEZ DANSER - THÉÂTRE NATIONAL DE LA DANSE. ARTSY: COLLECT PAPER


Faites votre programme !

spectacles - concerts - expositions - performances - installations

issus de la danse, du rap, du théâtre, du cirque et des arts visuels


 

••• Via Katlehong/ Amala Dianor/ Marco Da Silva Ferreira • Marlene Monteiro Freitas • Ana Isabel Castro • Vera Mantero et Gabriel Godoi • Jonas & Lander • (LA)HORDE / Ballet national de Marseille • Kery James • Robyn Orlin • Brigel Gjoka, Rauf “RubberLegz” Yasit et Ruşan Filiztek • Fanny de Chaillé • Gisèle Vienne • Rachid Ouramdane • Keren Ann & Quatuor Debussy • Sylvain Huc • Mehdi Kerkouche • Dorothée Munyaneza • Ballet British Columbia • Pascal Rambert • Marion Muzac • Aterballetto / Angelin Preljocaj / Rachid Ouramdane • Nadia Vadori-Gauthier • Jonathan Drillet et Marlène Saldana • Maud Le Pladec feat. Jr Maddripp • Ayelen Parolin • Lara Barsacq • Anne Teresa de Keersmaeker • Aurélie Charon / Amélie Bonnin • François Chaignaud • Akaji Maro • Compagnie DCA / Philippe Decouflé • Compagnie Arcosm / Thomas Guerry • Mette Ingvartsen • Smaïl Kanouté • Mélanie Perrier • Batsheva Dance Company / Ohad Naharin • Ensemble chorégraphique du CNSMDP • Jeune ballet du CNSMD Lyon • Adrien M & Claire B • GöteborgsOperans Danskompani / Damien Jalet / Imre et Marne van Opstal • Gilles Jobin • La Compagnie AΦE • Julie Desmet Weaver / Claire Allante / Eugénie Andrin • Faustin Linyekula • Mamu Tshi • NDT 2 / Nadav Zlener / Marco Goecke •••


 

Collect Works on Paper

Paper is an essential material for so many artists—and it offers collectors a more affordable way to acquire works by artistic legends.Below, explore a selection of available unique drawings by Robert RauschenbergRobin F. Williams, and more leading artists.