sábado, 30 de junio de 2012

PROGRAMACIÓN DE SALLE PLEYEL (PARÍS)


Du 30 juin au 9 juillet

Days Off, c’est parti !

Cité de la musique / Salle Pleyel

Créations originales, projets inédits, concerts exclusifs : le festival Days Off commence demain. De la pop à l’électro en passant par la folk et le rock, Days Off invite à un voyage musical hors des sentiers battus. Au rendez-vous cette année : une carte blanche à Yann Tiersen, un hommage àBrian Eno avec Icebreaker Ensemble etMondkopf, mais aussi Wild Beasts, Other Lives,Damien Rice, Hot Chip, Steve Reich, Agnès Obel, Antony and the Johnsons et des avant- concerts gratuits pour découvrir les talents de demain...
Encore quelques places à saisir 


Saga Africa

Cycle Afrique
Du 2 novembre 2012 au 22 juin 2013
En 2012-2013, la Salle Pleyel poursuit ses rendez-vous avec les musiques du monde. L’Afrique sera ainsi à l’honneur, mettant en avant de grands noms de la scène musicale africaine. Avec Tinariwen,Bombino, Staff Benda Bilili, Oumou Sangaré,Mulatu Astatke et bien d’autres, l’ambition de ce cycle est de refléter l’incroyable diversité des styles et la richesse de ces mouvements musicaux nés dans les années 1970. Entre rock, blues, jazz, afrobeat, rumba et tradition mandingue, la Salle vibrera aux rythmes de ces influences multiples !

Escale parisienne 
pour le St. Louis Symphony

David Robertson, direction
Christian Tetzlaff, violon
Vendredi 7 septembre, 20h
Ancien directeur musical de l’Ensemble intercontemporain puis de l’Orchestre National de Lyon et aujourd’hui à la tête du St. Louis Symphony, David Robertson mène cette saison son orchestre à Londres, Berlin, Lucerne et Paris pour sa première tournée européenne depuis près de quinze ans. Accompagnée du violoniste Christian Tetzlaff, soliste associé à l’événement, la phalange originaire du Missouri propose de confronter de grands classiques du répertoire symphonique avec Brahms puis Beethoven à des œuvres américaines plus contemporaines d’Elliott Carter etGeorge Gershwin.


Lucerne Festival Academy Orchestra

Pierre Boulez, direction
Deborah Polaski, soprano
Dimanche 9 septembre, 16h
Entouré des jeunes musiciens talentueux du Lucerne Festival Academy Orchestra, Pierre Boulez aborde pour ce concert un répertoire cher à son cœur : Sound and Furytout d’abord, l’œuvre commandée à Philippe Manoury par les orchestres de Chicago et Cleveland pour son 75ème anniversaire. Speakings de Jonathan Harvey ensuite, pour ensemble orchestral et dispositif électronique avec, aux commandes, les ingénieurs de l’IRCAM, institution qu’il fonda en 1977. Erwartung d’Arnold Schönberg enfin, père du dodécaphonisme dont Boulez est le plus brillant interprète, avec comme soprano assurant le monologue,Deborah Polaski, Brünnhilde consacrée au festival de Bayreuth.




Budapest Festival Orchestra
Iván Fischer, direction 
József Lendvay, violon
Mercredi 26 septembre, 20h
Habitués de marque de la Salle Pleyel, Iván Fischer et le Budapest Festival Orchestra s’y produisent de nouveau en septembre. Menée par son chef fondateur, la phalange hongroise met une fois encore son pays à l’honneur avec deux œuvres de Béla Bartók, dont le Concerto pour violon n°1 exécuté par l’archet pénétrant de son compatriote József Lendvay. La mythique Symphonie n°5 de Mahler clôturera magistralement le concert.
En savoir plus

ACTIVIDADES EN EL MUSEO JUDIO DE LONDRES


New exhibition and events

 

World City: Refugee Stories




Visit our new exhibition World City: Refugee Stories and discover the fascinating tales of nine refugees, each from a different country, who have come to London to find refuge over nine decades. The exhibition explores their stories with evocative photographic portraits of the refugees in their London homes and objects that have special meaning for them. Further refugee stories are explored in film and animation. 

We have a programme of special events to support the show - Join us this Thursday for an evening event exploring the experiences of refugee women with the author Natasha Walter - tickets are still available for this event which is free with museum admission (galleries are open from 6pm).

 
 See below for other events happening soon and visit our What's On page for a full list of our summer events programme for adults and families!

28/06/2012 · 2.30-4pm
Hidden Histories Lecture Series in partnership with the LJCC
28/06/2012 · 7pm
05/07/2012 · 2.30-4pm
Hidden Histories Lecture Series in partnership with the LJCC
08/07/2012 · 2.00pm
Film screening and Q&A


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martes, 26 de junio de 2012

CANALETTO EN PARIS EN OTOÑO


LE MUSÉE MAILLOL sous le haut patronage de la Ville de Venise présente l’exposition

CANALETTO À VENISE

19 septembre 2012 -10 février 2013



Ces dernières années, Canaletto a été au centre d’une série d’expositions remarquables sur les vedutisti, dont nous nous contenterons d’en citer quelques unes, comme celle de Rome organisée par le grand et très regretté Alessandro Bettagno, avec Bozena Anna Kowalczyk, celle de Trévise par Giuseppe Pavanello et Alberto Craievich et, plus récemment, celles exceptionnelles de Londres et de Washington par Charles Beddington.



L’exposition du musée Maillol ambitionne de clore ce cycle décennal en laissant Canaletto accompagner seul le spectateur au fil de ses vedute à travers les détours de sa ville. L’ensemble mettra en évidence l’évolution stylistique de l’artiste. La confrontation d’oeuvres représentant un même sujet montrera comment la première manière du peintre, marquée par la touche de Marco Ricci et profondément liée à son activité de scénographe, se transformera peu à peu en une interprétation du réel avec une atmosphère à la fois subtile et sublime, donnant naissance à un art qui allait conquérir l’Europe.


 

lunes, 25 de junio de 2012

FESTIVAL DE SEGOVIA 2012



                Del 16 al 29 de julio, en los rincones históricos de la ciudad



           El Festival de Segovia ofrece la música más jugosa
           para un verano exquisito

·         El Patio de Armas de El Alcázar, la Plaza de San Martín, San Juan de los Caballeros, la Catedral, el Conservatorio, la Casa de la Moneda, jardines y patios, además de varios lugares de la provincia, se vestirán de música para albergar al Festival de Segovia: un festival de música de cámara avalado por 37 años de existencia en los que los mejores intérpretes del panorama internacional han dejado su huella.

·         “Golosinas” musicales y exquisiteces para oídos placenteros en un festival en el que no faltará la poesía de Machado, con José Sacristán y Judith Jáuregui, el soul de Patricia Kraus y su banda, la danza de los Solistas del Ballet de Cristina Hoyos, el cine y sus bandas sonoras de la mano de la Orquesta de Cámara de España, la percusión proveniente de Sinaloa o el mestizaje entre el barroco y el flamenco de Arcángel y Fahmi Alqhai.


·    El Cuarteto Brodsky, uno de los grupos del panorama internacional más importantes en la música de cámara y con una calidad avalada por una experiencia que se remonta a 1972, celebrará su 40 aniversario también en el Festival de Segovia, con un concierto alrededor de la rueda de la fortuna; el guitarrista y compositor David del Puerto, Premio Nacional de Música 2005, estará acompañado de la soprano Laia Falcón y del acordeón de Ángel Luis Castaño, para recorrer los principales episodios del libreto de Carmen, de Bizet y disfrutarla y jugar con sonoridades cercanas al jazz, el rock, y la simbiosis de la música sinfónica y la electrónica; el piano volcánico del joven grancanario Iván Martín, considerado como uno de los más sólidos intérpretes del momento, ejecutará un programa en el que se incluyen desde las sonatas de Antonio Soler hasta Debussy; y la Accademia del Piacere interpretará a Bach con Memorias de Leipzig.

·         Para el público más familiar, concierto en familia con una “troupe de anarco-clowns” que combina magistralmente la acrobacia, el teatro y la música. Y además, un Festival Joven donde tendrá cabida la JONDE, en cuyo programa incluirá la Cuarta Sinfonía de Bruckner, los ganadores del Premio de Piano Santa Cecilia y los ganadores de los certámenes Intercentros, Pedro Bote, INJUVE e Infanta Cristina.

El IV Ciclo de Órganos Históricos, el V Curso de Música y Pedagogía “Ciudad de Segovia”, encuentros, charlas y la exposición de trajes de la Casa de la Danza, completarán uno de los festivales españoles con mayor tradición y solidez, que se cerrará este año con un broche de honor: el estreno de la Misa a cuatro voces del Maestro de la Capilla de la Catedral de Segovia, Juan Pérez Roldán, a cargo de la Capilla Jerónimo de Carrión, dirigida por Alicia Lázaro.


www.festivaldesegovia.org





domingo, 24 de junio de 2012

UNA ÓPERA SHAKESPEAREANA EN EL AUDITORIO NACIONAL DE MADRID


Madrid, Auditorio Nacional de Música,
Sala Sinfónica. Universo Barroco
          Semiópera en cinco actos: “The Fairy Queen” de
          Henry Purcell.
          Miércoles  20.06.12, 19.30h.


          GABRIELI CONSORT & PLAYERS
Paul McCREESH, director.
 Sophie BEVAN, soprano | Katherine MANLEY, soprano | Helen–Jane HOWELLS, soprano | Zoe BROWN, soprano | Nicholas MULROY, tenor | Benedict HYMAS, tenor |Joshua ELLICOTT, tenor | Peter HARVEY, barítono | Ashley RICHES, barítono |David ALLSOPP, contratenor del coro | Benjamin TURNER, contratenor del coro

Programa:
Henry Purcell (1659-1695): The Fairy Queen (La reina de las hadas) Z. 629 (1692)
Semiópera en cinco actos sobre un libreto anónimo basado en El sueño de una noche de verano de William Shakespeare.

El aclamado conjunto coral e instrumental británico Gabrieli Consort & Players, especializado en la música del Renacimiento y del Barroco, cumple este año su trigésimo aniversario. Para celebrarlo, el CNDM le ha encomendado a su fundador y director Paul McCreesh el cierre de su exitosa primera temporada de ópera barroca en concierto con la interpretación de la semiópera The Fairy Queen (La reina de las hadas) de Henry Purcell. Bajo la denominación  “Universo Barroco”, este ciclo del Centro Nacional de Difusión Musical ha traido a la Sala Sinfónica del Auditorio Nacional de Música a grandes nombres del panorama internacional de recuperación musical histórica como son Il Complesso Barocco (dirigido por Alan Curtis), Ensemble Matheus (dirigido por Jean-Christophe Spinosi), Capella Reial de Catalunya y Hespèrion XII (dirigidos por Jordi Savall) y El Concierto Español (dirigido por Emilio Moreno).

Aunque stricto sensu, Henry Purcell compuso una sola ópera (Dido y Eneas), aquel que en su tiempo fuera saludado como el “Orfeo británico” es posiblemente el más grande compositor teatral nacido nunca en las islas. Se cuentan por decenas las aportaciones de Purcell a comedias y dramas de su época y son cuatro las semióperas –esa genuina combinación inglesa de teatro hablado y música–, en las que colaboró. La reina de las hadas, basada en la obra El sueño de una noche de verano de William Shakespeare, es la más famosa de todas y Paul McCreesh, uno de los más brillantes conocedores y difusores de la música de su compatriota. El concierto llega avalado por las magníficas críticas recibidas la semana pasada en el festival londinense Spitafields Summer Music y repetirá en su visita a Madrid al excelente elenco elegido para esa ocasión. 

La velada

Con un aforo muy completo, aunque no totalmente cubierto, Paul McCreesh y sus instrumentistas dieron una lección de organización y musicalidad. No le agradan a este director los protagonistas que compiten por llevarse por sí solos el mérito de la función. La idea que intenta transmitir y lo consigue, es que entre todos hay que lograr alcanzar casi la perfección de la ejecución: limpieza, afectividad, buena representación escénica con sentido del humor, a pesar de que es una versión operística de concierto, complicidad. Y un grupo de instrumentistas y cantantes que funciona como una sola alma.
Es difícil hacer bien la música barroca, porque si no se consigue un buen nivel pueda sonar repetitiva, sin alicientes.
La partitura se fue desgranando con energía y con gracia. Las voces sonaron muy ajustadas en los solos y fantásticas en grupo. Y hubo todo tipo de colores vocales y matices diversos. Con un gusto exquisito para el subrayado de frases y conceptos.
Una ocasión excelente para disfrutar de una noche mágica, como la que quiso evocar el poeta de Stratford–upon-Avon, muy elegante, muy “british”, que el público recompensó con un largo y cálido aplauso. Hubo un bis de la misma partitura, que sonó con la calidez y la brillantez de toda la propuesta. Los responsables del diseño del programa del Universo Barroco del Auditorio Nacional, han vuelto a acertar.

Alicia Perris

EXPO BUENOS AIRES 1880-1940


TAMARA ROJO, NUEVA DIRECTORA DEL ENGLISH NATIONAL BALLET. LA BAILARINA ESPAÑOLA SE HARÁ CARGO DE LA COMPAÑÍA A PARTIR DE SEPTIEMBRE


Alumna de Víctor Ullate, es muy conocida internacionalmente por sus grandes creaciones donde se unen el ballet contemporáneo y el clásico, pero por desgracia nunca llegó a plasmar de manera estable, aunque le hubiera gustado, su actividad artística en España, debido a las dificultades de organización de todo tipo que la constelación de la danza tiene en ese país.
Nacida en Montreal en 1974, acaba de ser nombrada nueva responsable de la renombrada institución del Reino Unido.
Rojo, Primera Bailarina del Royal Ballet, ha sido elegida por concurso público en Londres como directora y su reacción ante la buena noticia es de sorpresa y estupor.   Se trata de la décima encargada de esta compañía que data de 1950, creada como London Festival Ballet, que tiene su sede en el Royal Albert Hall y el London Coliseum, sin por eso abandonar su cualidad de trashumancia artística por todo el país llegando a ofrecer 200 performances por año.
A pesar de ello viaja cuando puede a España, donde se la invita a participar en diferentes propuestas de danza y proyectos culturales y entonces se puede apreciar su increíbles simpatía y disponibilidad.
Cuando tenía 25 años se convirtió en la primera bailarina española en formar parte del Royal Ballet, aunque también actuó en el Ballet de la Ópera de Niza, en la Arena de Verona, en la Ópera de Berlín y en Teatro La Scala de Milán. Con el Scottish Ballet y gracias a la invitación de Galina Samsova, se lució entre otras representaciones en El cascanueces, La sylphide, Romeo y Julieta y El Lago de los cisnes.




La suya es una trayectoria apoyada por importantes premios en Italia, Francia, Inglaterra y España, donde en el 2005 compartió con Maya Plisetskaya el Premio Príncipe de Asturias de las Artes y fue nombrada también embajadora de la Fundación Hans Christian Andersen de Dinamarca. Y su historia continúa…

Alicia Perris

martes, 19 de junio de 2012

EL 20 DE JUNIO EL TEATRO REGIO DE PARMA SE SOLIDARIZA CON LOS DAMNIFICADOS POR EL TERREMOTO DE EMILIA ROMAÑA




Musicisti per lEmilia
Prime parti e musicisti dell’Orchestra del Teatro Regio di Parma,
della Scala di Milano, del Comunale di Bologna e dell’Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai in un grande concerto di musica da camera, e non solo,
in favore delle popolazioni colpite dal terremoto dell’Emilia Romagna
Teatro Regio di Parma
mercoledì 20 giugno 2012, ore 20.30


Le prime parti e i musicisti dell’Orchestra del Teatro Regio di Parma, dell’Orchestra del Teatro alla Scala di Milano, dell’Orchestra Sinfonica Nazionale RAI, dell’Orchestra del Teatro Comunale di Bologna, in varie formazioni da camera (dagli otto corni al doppio quintetto di archi e fiati, da un ensemble di ottoni e timpani al settimino di ocarine, al quintetto d’archi con clarinetto solista, …) si esibiranno gratuitamente al Teatro Regio di Parma, per raccogliere fondi da destinare alla Fondazione Scuola di Musica “Carlo e Guglielmo Andreoli”, che gestisce la scuola di musica impegnata in nove comuni dell’area nord della provincia di Modena colpiti duramente dal recente sisma.


“Abbiamo da subito sposato questa pregevole iniziativa - dichiara il Sindaco di Parma Federico Pizzarotti - in quanto crediamo che le istituzioni e certamente l’Amministrazione di Parma mai come in questo momento debbano essere vicine a tutti coloro che sono in difficoltà. La musica è così anche un segnale tangibile di vicinanza e di solidarietà”.

“Il Teatro Regio ha accettato con entusiasmo la proposta di questo concerto benefico venuta dall’Orchestra - dichiara il Sovrintendente Mauro Meli. Una serata che vedrà generosamente protagoniste le prime parti e i professori d’orchestra di quattro tra le massime compagini orchestrali italiane, che hanno voluto così testimoniare e offrire la loro solidarietà”.

I musicisti che con slancio e generosità parteciperanno alla serata benefica, Eugenio Abbiatici, Andrea Affardelli, Stefano Alessandri, Lisa Bartolini, Emiliano Bernagozzi, Athos Bovi, Roberto Bracchi, Davide Braco, Fabio Caggiula, Fulvio Carpanelli, Claudio Cedroni, Fabio Codeluppi, Gianni Dallaturca, Massimiliano Denti, Luigi Duina, Stefano Franceschini, Ferruccio Francia, Fabio Galliani, Giovanni Battista Gatti, Riccardo Gatti, Corrado Giuffredi, Danilo Grassi, Daniele Greco D’Alceo, Gianni Grossi, Giovanni Hoffer, Dimer Maccaferri, Piero Mangano, Danilo Marchello, Luigi Mazza, Michelangelo Mazza, Filippo Mazzoli, Roberto Miele, Pedro Perini, Alberto Prandina, Roberto Rossi, Ezio Rovetta, Pietro Scalvini, Vittorio Schiavone, Antonio Somma, Angelo Sormani, Valentino Spaggiari, Danilo Stagni, Massimo Tannoia, Paolo Valeriani, Marco Venturuzzo, Simona Vincenzi, Biagio Zoli, eseguiranno pagine, tra gli altri, di Brahms, Bach, Mozart, Verdi, oltre a trascrizioni realizzate per le formazioni più diverse.

La Fondazione Scuola di Musica “Carlo e Guglielmo Andreoli” da anni organizza attività musicale per bambini, ragazzi, giovani e adulti proponendo corsi per oltre 800 allievi, progetti didattici per circa 4500 bambini, attività corali. Di grande rilievo è l’attività progettuale rivolta agli allievi disabili in collaborazione con il Servizio di Neuropsichiatria infantile dell’Azienda sanitaria. La Fondazione vanta inoltre diversi gruppi musicali, dalle bande giovanili, alle orchestre di chitarra e di archi, alla classe di musica d’insieme che coinvolge ragazzi con diversi gradi di disabilità, ai cori, ai gruppi rock.

L’incasso della serata sarà interamente devoluto alla Scuola di Musica “Carlo e Guglielmo Andreoli” per il finanziamento di borse di studio che consentano di proseguire l’attività didattica agli allievi colpiti dal sisma, nonostante la drammatica situazione delle loro famiglie che hanno subito danni gravi alle abitazioni e ai luoghi di lavoro. Il concerto è reso possibile anche grazie alla collaborazione dell’Associazione Pier Antonio Pesci Note in Aiuto, con la quale numerosi musicisti hanno eseguito dal 2004, anno della sua costituzione, vari concerti a scopo benefico.


I biglietti (poltrona e palco centrale euro 15,00; palco laterale euro 10,00; galleria euro 5,00) sono disponibili presso la biglietteria del Teatro Regio, aperta dal lunedì al venerdì dalle ore 10.00 alle 14.00 e dalle ore 17.00 alle 19.00 e un’ora e mezza precedente lo spettacolo. La biglietteria è chiusa il sabato e la domenica. Per informazioni: tel. 0521 039399 fax 0521 504224 biglietteria@teatroregioparma.org  www.teatroregioparma.org

Per aiutare la Fondazione Scuola di Musica “Carlo e Guglielmo Andreoli” è stato attivato un conto corrente riservato alle borse di studio per gli allievi colpiti dal sisma:
BIC  CRFIIT3F     IBAN: IT47R0616066850100000005266

NOCHE HISTÓRICA DE ÓPERA EN EL TEATRO MASSIMO DE PALERMO (18 DE JUNIO DE 2012)


Palermo es una ciudad mítica, desde los tiempos de los griegos. Por ella pasaron batallones de invasores y ocupantes. Muchos fueron sucesivamente expulsados y otros se quedaron para siempre fecundando la hermosa tierra isleña de una sabiduría y una sangre agreste, belicosa pero con un corazón dulce y entregado, rendido al paisaje y a sus gentes. Un aroma intenso de cítricos y a lo lejos, alguien vestido de riguroso luto, cruza un territorio aparentemente hostil y descarnado, pero en el fondo primigenio y fecundo. Famosa en la literatura, en el cine y en todo el mundo por sus historias tenebrosas de bandidos y vendettas, es un puerto donde reciben bien al viajero.


                                     Fotos: Teatro Massimo ©Franco Lannino
                                                   
Recuerdo con delicia las poltronas increíbles de la platea del Teatro Massimo, donde me invitaron a disfrutar una Gioconda que reseñé al volver con enorme placer. Ahora el repertorio italiano, tan añorado por mí en otras latitudes, nos regaló un Elisir d´Amore mítico.
Desirée Rancatore y Celso Albelo, sus protagonistas, nos ofrecieron un bis de sus arias a pedido del público en esta producción del Palau de les Arts de Valencia representada estos días en el famoso teatro siciliano.


La soprano palermitana Desirée Rancatore y el tenor tinerfeño Celso Albelo protagonizaron una velada mágica anoche en el Teatro Massimo de Palermo cuando, a pedido del público, ambos accedieron a repetir sus respectivas arias, él la famosa Una furtiva lagrima y ella la pirotécnica cabaletta de Prendi, per me sei libero, cargada de coloratura y ornamentaciones, una práctica muy poco común en el mundo de la ópera.
Para ambos cantantes, estrellas de la nueva cantera de la lírica internacional, esto de repetir un aria de esta obra maestra de Donizetti no les viene de nuevo, ya que ella lo había hecho con anterioridad en producciones en La Fenice de Venecia y en el Teatro Comunale de Piacenza, mientras que Celso Albelo accedió a hacerlo también en La Fenice de Venecia -siempre junto a Rancatore, teatro al que regresan juntos este mes de julio- además del Teatro Lirico de Cagliari y en la temporada de ópera de la ABAO, en Bilbao.


Alicia Perris

sábado, 16 de junio de 2012

SE CUMPLE UN AÑO DE LA DESAPARICIÓN DE ROLAND PETIT

El próximo 11 de julio se cumple una año del fallecimiento del bailarín y coreógrafo Roland Petit. Con mucha nostalgia, presentamos una reseña de la exposición que el Museo Rath de Ginebra le dedicó en 2007.El 61 Festival de Santander de este verano, le dedica también una velada.

Exposición
Zizi Jeanmarie y Roland Petit, 
un patrimonio para la danza
 
(y una buena razón para acercarse a Ginebra)
(Por Alicia Perris)


El Museo Rath, que data de 1825, fue construido en Ginebra, a instancias del militar del ejército del zar del mismo nombre, para exponer sus poco convencionales obras de arte.
La Exposición “Zizi Jeanmaire-Roland Petit, un patrimonio para la danza”, en el Rath, viene haciendo las delicias de un público de aficionados y expertos, desde su apertura, el día del vernissage, el 4 de abril de este año. La muestra seguirá abierta hasta el 12 de agosto de 2007 y para los amantes de la danza como espectáculo de arte total, es una buena excusa para acercarse a Ginebra, donde además, otras tentaciones históricas y culturales los esperan.
El programa de mano de la exposición, comisariada por Alexandre Fiette y patrocinada por las Fundaciones Juan March y Hans Wilsdorf, junto con la Fnac, cuenta con varias actividades paralelas en diferentes lenguas: visitas individuales, para grupos, para las escuelas y los profesores, reuniones de los miércoles, visitas temáticas de los domingos, un ciclo de proyecciones y talleres para los jóvenes. La muestra no intenta ser una retrospectiva de la danza, aunque buena parte de los artistas que jalonan la biografía de Jeanmaire y Petit, algunos bailarines, se encuentran acompañando a estas dos figuras del arte del Siglo XX.

Un papel destacado tienen los decorados, el diseño, la fotografía, los vestuarios, la concepción del espacio escénico, la música, la imagen, ampliada de manera hipnótica en un vídeo de “Carmen”, que describe las evoluciones de la famosa cigarrera de Sevilla, un torero inefable y Don José. El modisto Yves Saint Laurent, fascinado por estos dos personajes de la danza, enamorado de Jeanmaire, tal vez de Petit, o de los dos, va señalizando la exposición con muchos de los mensajes, confeccionados a mano, con los que desde Marraquech u otros lugares del mundo, envía su amistad y su afecto a la pareja. Estos dos bailarines polifacéticos, que han excedido con mucho los a veces algo estrechos cánones de la danza clásica, se han volcado en el music-hall, la chanson, el cine y la televisión. Cada una de sus creaciones artísticas, juntos o separados, ha marcado un hito en la historia de la búsqueda del ser humano por expresarse, comunicar, solidarizarse con el espíritu del otro. Más de ciento cincuenta espectáculos han contribuido a dibujar la leyenda, a fascinar con el mito. Al talento de Roland Petit como coréografo y bailarín (¿quién no recuerda sus pasos seductores, bailando estrechamente enlazado a Coppelia?), se unen los nombres de Jean Cocteau, Pablo Picasso, Rudolf Nureyev, Jacques Prévert, Brassaï, Jean Genet, Milhaud, Max Ernst. Todos ellos compañeros de viaje de los creadores de un nuevo lenguaje de la danza.


Instalados en Ginebra, Jeanmaire y Petit no han dejado de afirmar su impronta en Hollywood y en París, donde han ennoblecido el arte del music-hall, escoltados por una pléyade de creadores más o menos heterodoxos como Erté, César o Serge Gainsbourg.



En 1972 Roland Petit toma la dirección de los Ballets de Marsella, donde crea y desarrolla, de una manera coral, coreografías, interpretaciones y sueños. Como escribe Fiette, responsable de la muestra, “una importante selección de trajes aporta una dimensión escénica, permitiendo a veces medir el camino que habita entre la idea y la realización. Pintura, escultura, dibujo, costura y fotografía multiplican, en conjunto, la mirada sobre la escena, la danza, el ballet”. Las opiniones de artistas famosos como Baryshnikov, Boris Vian, Charlie Chaplin, Nijinski, Maurice Chevalier, Louise de Vilmorin, rebosantes de “esprit” y de agradecimiento y admiración, enriquecen más si cabe, la trayectoria de la exposición de una ciudad que, desde su aparente quietud y equilibrio, desde su innegable estilo, ilumina cada vez más el panorama artístico y cultural de la Europa culta y sensible que incendia la llamada a nuevas autopistas del arte.

Para terminar, es inevitable evocar las palabras que Michel Tournier, insaciable conocedor en la recreación de paraísos inalcanzables le dedicó al dúo: “Querido Roland, cuando te veo a ti y a la pareja mágica que formas con Zizi, me digo que la danza es mucho más que la danza. Es una filosofía, un arte de vivir, la más elegante de todas las soluciones a todos los problemas”.