Le styliste japonais Kenzo Takada, fondateur de la marque Kenzo, est mort des suites du Covid-19
Le créateur de mode, âgé de 81 ans, n'a jamais quitté Paris depuis son arrivée en France dans les années 1960. Polyvalent, il a laissé son empreinte sur la mode et la création.
Emmanuel Macron a de nouveau défendu "la liberté de
blasphémer" en France à propos de la republication par Charlie Hebdo des
caricatures de Mahomet, lors d'une conférence de presse à Beyrouth.
"Demain, nous aurons tous une pensée pour les femmes et les hommes
lâchement abattus" lors de l'attaque de Charlie Hebdo en janvier 2015,
a-t-il ajouté, à la veille de l'ouverture du procès de l'attentat qui avait
décimé la rédaction du journal satirique.
POLITIQUE
Entre Charlie et l'insécurité, Macron se cherche en défenseur de la République
Le chef de l'État livre un discours sur le "patriotisme républicain" à l'occasion des 150 ans de la proclamation de la République.
POLITIQUE - La date tombe plutôt très bien. Emmanuel Macron a choisi de célébrer les 150 ans de la proclamation de la République ce vendredi 4 septembre au Panthéon, mettant ainsi à l’honneur un événement souvent oublié du calendrier des cérémonies de commémoration.
Le chef de l’État va profiter de l’anniversaire de cet acte fondateur pour livrer un discours de “combat” afin de “rappeler aux Français ce qu’ils doivent à la République”, selon les mots de la présidence. Pourquoi maintenant? Car nous sommes, à en croire l’entourage du chef de l’État dans un “temps historique où il est urgent, impératif” de le faire.
Plus concrètement, le procès des attentats de Charlie Hebdo qui a débuté mardi 2 septembre a réouvert certaines plaies en rappelant les entailles faites à la liberté de blasphème ou à la liberté d’expression. Dans le même temps, les questions autour du sentiment d’insécurité s’imposent toujours davantage dans le débat public, sous l’impulsion de l’omniprésent Gérald Darmanin et des oppositions de droite heureuses de s’engouffrer dans la brèche.
“Conquête et combat”
Autant d’événements et de “phénomènes” qui poussent Emmanuel Macron à vouloir célébrer, en grande pompe, les valeurs de la République contre les “forces obscurantistes” et les “replis communautaires”.
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