domingo, 28 de diciembre de 2025

BRIGITTE BARDOT EST MORTE : L’ACTRICE FRANÇAISE DE LÉGENDE ET DÉFENSEUSE DES ANIMAUX EST DÉCÉDÉE À L’ÂGE DE 91 ANS

Brigitte Bardot est morte, annonce la fondation éponyme ce 28 décembre 2025. Elle avait 91 ans. L’actrice avait joué dans une cinquantaine de films, avant de décider de dédier sa vie à la protection des animaux.

Star planétaire, icône féminine du cinéma puis pasionaria de la cause animale coutumière des sorties polémiques : Brigitte Bardot est morte, longtemps après avoir tiré un trait sur la célébrité et le monde du 7e art. La star du cinéma, actrice emblématique et grande défenseuse des animaux s’est éteint à l’âge de 91 ans. Cette année, elle avait rencontré plusieurs problèmes de santé et avait été hospitalisée plusieurs semaines, dont la dernière fois en novembre.

"La Fondation Brigitte Bardot annonce avec une immense tristesse, le décès de sa fondatrice et présidente, Madame Brigitte Bardot, actrice et chanteuse mondialement reconnue, qui a choisi d’abandonner sa carrière prestigieuse pour dédier sa vie et son énergie à la défense des animaux et à sa Fondation", indique le communiqué transmis à l’AFP, sans préciser le jour ni le lieu du décès.

Problèmes de santé cet automne

Hospitalisée courant octobre à Toulon (Var) pour une opération chirurgicale dont la nature n’avait pas été précisée, elle était rentrée se reposer chez elle à Saint-Tropez. Après des informations de presse faisant état d’une nouvelle hospitalisation fin novembre, elle avait tenu à rassurer sur son état de santé. Et invité "tout le monde à se calmer".

Une icône

Brigitte Bardot avait tiré un trait sur le cinéma il y a plus de cinquante ans, laissant derrière elle une cinquantaine de films et deux scènes entrées au panthéon du 7e art, un mambo enfiévré dans un restaurant de Saint-Tropez dans "Et Dieu… créa la femme" et un monologue, nue, en ouverture du "Mépris".

Celle que l’on surnommait par ses initiales, B.B., avait tourné le dos au monde du cinéma il y a plus de cinquante ans, laissant derrière elle une cinquantaine de films et deux scènes entrées dans la légende : un mambo enfiévré dans un restaurant de Saint-Tropez ("Et Dieu… créa la femme", 1956) et un monologue où elle énumérait, nue, les différentes parties de son corps, en ouverture du "Mépris" (1963).

Mondialement connue, elle a façonné la légende de Saint-Tropez et de Buzios au Brésil, a imposé un style vestimentaire composé de ballerines, de marinières et d’imprimés vichy et popularisé l’image d’une femme libre "qui n’a besoin de personne", comme elle l’a chanté pour Serge Gainsbourg.

Elle fut une sorte de Marilyn Monroe à la française, comme elle blonde, à la beauté explosive et à la vie privée tumultueuse, poursuivie par les paparazzi.

"Même quand ça dérange"

Après un dernier film en 1973, elle avait quitté les plateaux pour attirer la lumière sur le combat de sa vie, celui de la défense des animaux, en créant notamment la fondation Brigitte Bardot en 1986.

Ces dernières années, l’ancienne actrice se distinguait surtout pour ses prises de position politiques et ses propos acerbes sur l’immigration, le féminisme, les chasseurs… dont certains lui ont valu des condamnations pour injure raciale.

"La liberté, c’est d’être soi, même quand ça dérange", proclamait-elle en exergue d’un livre intitulé "Mon BBcédaire", écrit de sa main et sorti début octobre chez Fayard. Elle y jugeait aussi que la France était "devenue terne, triste, soumise, malade, abîmée, ravagée, ordinaire, vulgaire…". La droite est le "seul remède urgentissime à l’agonie de la France", ajoutait-elle.

https://www.midilibre.fr/2025/12/28/brigitte-bardot-est-morte-son-association-annonce-son-deces-a-lage-de-91-ans-13134046.php

sábado, 27 de diciembre de 2025

ESCUCHA EN PRIMICIA BELCANTO SONGS, EL NUEVO ÁLBUM DE JUAN DIEGO FLÓREZ (IMPACTARTE)

Una de las más grandes personalidades de la lírica actual

Con una carrera que incluye actuaciones en los principales escenarios el mundo, Juan Diego Flórez se ha consolidado como uno de los grandes talentos de la ópera gracias a su extraordinario canto. Su generosidad, carisma y pasión son cualidades que lo distinguen en sus múltiples esfuerzos filantrópicos, además de sus aclamadas actuaciones y grabaciones.

Habrá un próximo concierto de este cantante patrocinado por Impactarte

Juan Diego Flórez, tenor

Vincenzo Scalera, piano

https://www.impactarte.es/juan-diego-florez/


1925-2025. CENT ANS D’ART DÉCO, UNE EXPOSITION DE LUXE. MAD PARIS


du 22 octobre 2025 au 26 avril 2026

Voyage au cœur de la création des Années folles et de ses chefs-d’œuvre patrimoniaux avec l’exposition « 1925-2025. Cent ans d’Art déco ». Mobilier sculptural, bijoux précieux, objets d’art, dessins, affiches et pièces de mode : près de 1 000 œuvres racontent la richesse, l’élégance et les contradictions d’un style qui continue de fasciner.



Cent ans après l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925 qui a propulsé l’Art déco sur le devant de la scène mondiale, le musée des Arts décoratifs célèbre ce style audacieux, raffiné et résolument moderne. 

Scénographie immersive, matériaux somptueux, formes stylisées et savoir-faire d’exception composent un parcours vivant et sensoriel, où l’Art déco déploie toutes ses facettes.




L’exposition se termine de façon spectaculaire sur le mythique Orient Express, véritable joyau du luxe et de l’innovation. 

Une cabine de l’ancien train Étoile du Nord ainsi que trois maquettes du futur Orient Express, réinventé par Maxime d’Angeac, investissent la nef du musée. Une invitation à explorer un univers où l’art, la beauté et le rêve s’inventent au présent comme en 1925.



Le commissariat général de l’exposition est assuré par Bénédicte Gady, directrice des musées, le commissariat par Anne Monier Vanryb, conservatrice des collections modernes 1910-1960 dans une scénographie de l’Atelier Jodar et du Studio MDA.

Né dans les années 1910 dans le sillage des réflexions européennes sur l’ornementation, l’Art déco puise dans les recherches de l’Art nouveau. Il se développe pleinement dans les années 1920 et se distingue par une esthétique structurée, géométrique, élégante, qui allie modernité et préciosité.


Ses formes séduisent les décorateurs, architectes et fabricants d’alors, mais restent souvent réservées aux catégories sociales aisées, du fait du coût élevé des matériaux et de la finesse des techniques mises en place à cette époque. 

L’Art déco incarne une période foisonnante, marquée par une soif de nouveauté, de vitesse, de liberté. Il touche tous les domaines de la création : mobilier, mode, joaillerie, arts graphiques, architecture, transports…

 L’exposition revient ainsi sur les différentes tendances de l’Art déco, entre l’abstraction géométrique affirmée de Sonia Delaunay et Robert MalletStevens, l’épure formelle de Georges Bastard et Eugène Printz, ou encore le goût du décoratif de Clément Mère et AlbertArmand Rateau.

Le musée des Arts décoratifs a joué un rôle central dans la reconnaissance de l’Art déco dès ses débuts, en accueillant les salons de la Société des Artistes décorateurs et en constituant une collection d’une richesse exceptionnelle. L’exposition « 19252025.

Cent ans dArt déco » puise dans ce fonds remarquable, enrichi d’œuvres prêtées par de grandes institutions et collections privées, pour présenter des pièces emblématiques : le chiffonnier en galuchat dAndré Groult, les créations raffinées de JacquesÉmile Ruhlmann, ou encore le spectaculaire bureaubibliothèque de Pierre Chareau conçu pour lAmbassade française, réinstallé à cette occasion. 

Trois créateurs phares – JacquesÉmile Ruhlmann, Eileen Gray et JeanMichel Frank y sont mis en lumière, incarnant chacun une facette singulière de lArt déco.

Dès la fin des années 1960, le musée s’impose aussi comme un pionnier dans la redécouverte du style, notamment avec l’exposition « Les Années 25 », qui a ravivé l’intérêt du public et des spécialistes. 

Ce renouveau se poursuit dans les décennies suivantes, porté dans les années 1970 par des figures majeures comme Yves Saint Laurent, passionné d’Art déco, et son complice le décorateur Jacques Grange à qui le musée offre une carte blanche au sein de l’exposition.

Organisée selon un vaste parcours chronologique et thématique qui se déploie dans la nef et dans les galeries aux 2e et 3e étages du musée, l’exposition retrace les origines, l’apogée, le développement et les réinterprétations contemporaines de l’Art déco. 

Elle révèle la richesse et l’actualité d’un mouvement en constante évolution, à travers plus de mille œuvres.

Tous les domaines de la création artistique et de la décoration sont présentés. Les remarquables laques de Jean Dunand côtoient les verreries de François Décorchemont, la tabletterie, les arts de la table, ou encore la bijouterie, illustrée par des pièces à la modernité saisissante, notamment une série de broches de Raymond Templier et de Jean Desprès. 

Le rôle fondamental du dessin est mis en lumière à travers des projets décoratifs, d’architecture intérieure et de mobilier, notamment les dessins de Groult pour la chambre de Madame dans le pavillon de l’Ambassade française, qui dialoguent avec le chiffonnier qui en est l’un des rares vestiges. 

L’univers de la mode et des arts textiles est représenté par la cape de Marguerite Pangon, la robe aux petits chevaux de Madeleine Vionnet, une veste réalisée par Sonia Delaunay, une robe de Jeanne Lanvin mais aussi des dessins de textiles et des projets de vitrines de magasins.

Symbole du voyage raffiné et du savoir faire français, l’Orient Express connaît son âge d’or dans les années 1920. Décoré par de grands artistes comme René Prou ou René et Suzanne Lalique, il devient un manifeste roulant de l’esthétique Art déco. 

Cent ans plus tard, ce mythe renaît. L’exposition dévoile en exclusivité, dans la Nef du musée, des maquettes d’intérieur grandeur nature du futur Orient Express, réinventées par le directeur artistique Maxime d’Angeac, dialoguant avec une cabine Art déco de 1926 provenant des collections du musée.

Puisant dans l’héritage du style et l’univers des métiers d’art, son projet fusionne artisanat d’excellence, innovations technologiques et design contemporain pour inventer le train du XXIe siècle. En 2025 comme en 1925, l’Art déco inspire un luxe tourné vers l’avenir.

Un ensemble exceptionnel de pièces de la maison Cartier présentées pour certaines, pour la première fois en dialogue avec les collections du musée, permet de mesurer l’impact de ce style dans le domaine de la joaillerie. 

Plus de 80 objets – colliers, diadèmes, boîtes, montres, nécessaires, dessins et documents d’archives – illustrent l’inventivité formelle et la richesse symbolique des créations de la maison. 

Entre géométrie rigoureuse et sensualité des matières, motifs inspirés de l’Orient et innovation technique, ces pièces incarnent l’esthétique du luxe Art déco, tout en reflétant l’évolution des goûts d’une clientèle internationale cosmopolite, à la recherche de distinction et de modernité. 

Un siècle après son émergence, l’Art déco continue d’inspirer par sa modernité, son élégance et sa liberté de formes. En croisant les regards d’hier et d’aujourd’hui, l’exposition montre combien ce mouvement reste vivant, en résonance avec les questionnements esthétiques et les savoirfaire contemporains. Plus quun hommage au passé, elle invite à repenser l’Art déco comme une source toujours féconde de création et d’innovation.

https://madparis.fr/1925-2025-Cent-ans-d-Art-deco

Photos et information, MAD et Alicia Perris





ALFRED BRENDEL. MILAGRERÍA Y ESCALAS DISONANTES. CUADERNOS DEL ACANTILADO


La expresividad y la sensibilidad únicas de Alfred Brendel al piano parecen trasladarse a las páginas del presente libro, en que el gran intérprete ofrece una visión crítica de la práctica pianística, especialmente de algunas composiciones de Beethoven y Schubert, así como un iluminador repaso de sus grabaciones.


Siguiendo el hilo invisible que une música, palabras e imágenes, Brendel, lector voraz y de una curiosidad inagotable, pone además la mirada en el cine, y nos ofrece lúcidas observaciones sobre el séptimo arte que revelan su comprensión del mundo y su conocimiento de sí mismo.

https://www.acantilado.es/catalogo/sobre-la-musica/


MAGELLAN, UN VOYAGE QUI CHANGEA LE MONDE. MUSÉE DE LA MARINE, PARIS

 Du 22 octobre 2025 au 1er mars 2026, plongez dans l’une des plus grandes épopées maritimes de l’histoire, à travers une exposition immersive mêlant narration, projections monumentales et dessins d’animation. Cinq siècles après la première circumnavigation, le musée vous embarque au cœur du périple de Magellan, entre découverte, exploits et zones d’ombre.

Une odyssée maritime fondatrice

zoom_inAgrandir l'image : Affiche-Magellan_Instagram_1080x1350px.jpg

En 1519, Fernand de Magellan quitte Séville à la tête d’une flotte de cinq navires et de 237 hommes. Son objectif : rallier les îles aux Épices par l’ouest en franchissant un passage inconnu à travers le continent américain. 

Trois ans plus tard, une poignée de survivants revient – sans leur capitaine Magellan, tué au cours du voyage – après avoir accompli le tout premier tour du monde par la mer. 

L’exposition retrace cette odyssée fondatrice, depuis les motivations géopolitiques jusqu’aux conséquences humaines et historiques, en s’appuyant sur la série animée L’Incroyable périple de Magellan Arte / Camera Lucida (Disponible sur arte.tv du 20 octobre 2025 au 19 avril 2026) .

Une immersion scénographique au cœur du voyage

Guidé par Antonio Pigafetta, chroniqueur de l’expédition, le visiteur revit les grandes étapes du voyage dans un parcours immersif jalonné de projections géantes, de décors évocateurs et de récits incarnés. 

La scénographie met en lumière les tensions, les violences, mais aussi les découvertes et l’émerveillement, tout en posant un regard contemporain sur les représentations du monde à la Renaissance. Un voyage sensoriel et intellectuel, qui interroge l’héritage laissé par Magellan et les résonances de son aventure aujourd’hui.

Magellan, le parcours de l'exposition

Grâce à une mise en scène spectaculaire conçue avec Camera Lucida, Lucid Realities, l’exposition propose une plongée accessible à tous publics, du passionné d’histoire au jeune curieux. 

À travers une trentaine de modules audiovisuels, cartes animées et témoignages d’experts, elle invite à redécouvrir le premier tour du monde sous un jour nouveau, en résonance avec les enjeux contemporains du voyage, de la mondialisation et des représentations coloniales.

https://expo.paris/exposition/magellan-musee-national-de-la-marine-2025?gad_source=1&gad_campaignid=20344516988&gbraid=0AAAAADuQHuLfio6K4fSxprSMT93Jp-hAo&gclid=Cj0KCQiApL7KBhC7ARIsAD2Xq3CGCCyt9NYRJ--EJlgjg5nLNeG7qAcUwFBdx80UNUbGexmdUI-LN3caAnMVEALw_wcB

jueves, 25 de diciembre de 2025

CLAUDIO BAGLIONI LIVE CONCERTO DI NATALE 2025 AL SENATO. CD: RESPIGHI, LAUDA PER LA NATIVITÀ DEL SIGNORE

 21 dic 2025

Trasmesso su Rai1 il 21 dicembre 2025, in diretta dal Senato della Repubblica Italiana



Respighi : Lauda Per la Nativita del Signore / Frontini – Arman : Sicilian Christmas Carols – Chor des Bayerischen Rundfunks

Ottorino Respighi Lauda per la Natività del Signore
Traditional O sanctissima (arr. Howard Arman)
Francesco Paolo Frontini Chants de Noël siciliens (tiré de « Canti religiosi del popolo siciliano ») (arr. Howard Arman)
Giacomo Puccini Sogno d’or (arr. Howard Arman)

Chor des Bayerischen Rundfunks, Howard Arman, Natalie Schwaabe, Ivanna Ternay, Ramón Ortega Quero, Emma Schied, Jesús Villa Ordóñez, Relja Kalapis, Andreu Ferrandis, Max Hanft, Fritz Schwinghammer, Chen Reiss, Münchner Rundfunkorchester

martes, 23 de diciembre de 2025

SIGNORA NAPOLI, 2500 ANNI (21 DICEMBRE 2025)

Oggi 21 dicembre 2025 Napoli compie 2500 anni. La tradizione attribuisce a questa data la fondazione della città Neapolis, datata al 475 a.C.. Ma le orgini sono ancora più antiche! Infatti nasce vicino a Partenope, fondata sull'isolotto di Megaride (dove oggi c'è il Castel dell'Ovo) tra il 750 e il 720 a.C..

La leggenda vuole che qui sia approdata Partenope, la sirena innamorata di Ulisse. Da qui nacque Palepolis, "città vecchia", corrispondente all'attuale centro storico, poi inglobata nella nuova città. Napoli ha saputo essere sé stessa a cavallo di due millenni e mezzo, unendo culture di ogni tipo, da quella greca a quella romana, passando per quelle normanne, francesi, spagnole. 

Tra le tante manifestazioni, oggi la festeggiamo con la musica. Tantissime sono le canzoni di Napoli. Questa volta ascoltiamo un brano popolare, come è il ventre dei vicoli di Napoli, con un titolo che rappresenta il sentimento di oggi.

SIGNORA NAPOLI -

(R. Fiore - G. Ricci) 1985 , orch. G. Martini.

GIANNI VERSACE “TERRA MATER” – MAGNA GRECIA ROOTS TRIBUTE MUSEO ARCHEOLOGICO REGGIO CALABRIA

 Gianni Versace e la Magna Grecia: moda, mito e memoria mediterranea – dal 19 dicembre al 19 aprile

Apre da domani al pubblico la mostra Gianni Versace. Terra Mater. Magna Graecia Roots Tribute, promossa dal Museo Archeologico Nazionale di Reggio Calabria, diretto da Fabrizio Sudano, in occasione degli ottant’anni dalla nascita di Gianni Versace.

L’esposizione, che intreccia moda, arte e archeologia mettendo in dialogo il linguaggio creativo del fondatore della Maison Versace con le radici della Magna Grecia, è curata da Sabina Albano e Fabrizio Sudano ed è in programma dal 19 dicembre 2025 al 19 aprile 2026. La mostra si configura come un omaggio alla forza simbolica e all’immaginario classico che hanno attraversato l’opera dello stilista restituendo il legame profondo tra la sua visione creativa e la cultura antica della sua terra natìa.

Il percorso espositivo si sviluppa nel piano mostre del Museo e si articola in diverse sezioni tematiche, tra cui Città Madre, Visioni del Sud, Codice Versace, una ricostruzione del suo studio e un nucleo dedicato ai bozzetti per il costume e il balletto, testimonianza delle collaborazioni con Maurice Béjart, John Cox e Roland Petit.

Attraverso una selezione di oltre 400 pezzi, fra abiti, accessori, complementi di arredo appartenenti alla Home Collection e materiali d’archivio, provenienti da collezioni private, la mostra ricostruisce l’estetica di Gianni Versace, la sua costante ispirazione al mondo greco-romano, dai motivi a Meandro alla figura della Medusa, icona della Maison e simbolo di potente bellezza apotropaica.

In dialogo con i reperti archeologici della Magna Grecia e della Calabria protostorica, romana, tardo antica e bizantina, l’allestimento crea un percorso immersivo che mette in scena la continuità tra mito e modernità, tra classicità e linguaggio contemporaneo.

Nell’esposizione, i capi e gli accessori realizzati dallo stilista reggino sono affiancati da una selezione di reperti archeologici, in un intreccio di suggestioni visive che ne disvelano i richiami all’antico; ornamenti in bronzo e in argento, ceramiche figurate, affreschi, decorazioni architettoniche e sculture offrono un piccolo ma significativo spaccato sul complesso linguaggio culturale del mondo antico, con particolare riferimento proprio a quelle tipologie di oggetti e iconografie che ispirarono le creazioni di Gianni Versace. Tra i reperti più significativi, la lastra in stucco proveniente dalla chiesa di Santa Maria Theotokos di Terreti (RC), risalente al XI secolo d.C. che torna ad essere esposta dopo più di 15 anni, i frammenti di affresco con figure di pesci dalle Terme Romane di Reggio Calabria, del I-II secolo d.C., nuovamente visibili dopo un accurato intervento di restauro e una statuetta femminile in terracotta, con lunga veste e mantello, proveniente da Rosarno (RC).

L’allestimento è arricchito da reperti provenienti dal Museo Archeologico Nazionale della Siritide di Policoro (MT), tra cui un’antefissa con volto di Medusa e una Pelike (vaso per contenere liquidi) a figure rosse, entrambe di IV secolo a.C., eccezionalmente esposti a Reggio Calabria come frutto di una sinergica collaborazione tra luoghi e istituti della cultura.

“Con questa mostra abbiamo voluto riportare Gianni Versace alle sue radici, restituendo il dialogo profondo che la sua visione creativa ha sempre intrattenuto con la storia e con l’identità culturale della Calabria” ha dichiarato Fabrizio Sudano, Direttore del Museo Archeologico Nazionale di Reggio Calabria e curatore. “Il MArRC ha realizzato questo progetto come un ponte simbolico tra antico e contemporaneo: da un lato le collezioni del Museo reggino, che ospita i Bronzi di Riace e numerose testimonianze figurative della Magna Grecia; dall’altro l’immaginario di uno stilista che ha saputo trasformare quei riferimenti in un linguaggio estetico riconosciuto in tutto il mondo. La forza di questa esposizione risiede nel mostrare come la classicità non sia un patrimonio immobile, bensì una riserva inesauribile di significati che continua a ispirare l’arte e la creatività contemporanea. Siamo orgogliosi di presentare un percorso che intreccia memoria, identità e innovazione, offrendo alla comunità e ai visitatori uno sguardo nuovo sul legame tra il nostro territorio e uno dei suoi figli più illustri”.

La maggior parte dei capi appartiene alla Private Collection di Antonio Caravano, così come tutta la Home Collection – dalle sedute ai cuscini, dalle lampade ai piatti decorati – e alla Fashion Archive di Franco Jacassi, fra cui la splendida serie di bottoni, oltre alla collezione di Tonino Serranò.

“La mostra nasce con l’intento di restituire Gianni Versace nel contesto culturale che ne ha profondamente orientato la visione creativa, evidenziando il rapporto strutturale e non episodico che la sua opera ha intrattenuto con l’eredità dell’Antico”. Ha affermato Sabina Albano, curatrice “Il dialogo tra il repertorio dello stilista e le collezioni del Museo Archeologico Nazionale di Reggio Calabria consente di rendere esplicita la complessità del suo linguaggio iconografico, fondato su una conoscenza attenta e consapevole delle forme, dei simboli e dei miti della Magna Grecia. Realizzare questo progetto espositivo all’interno del Museo significa ricondurre Versace al luogo della sua memoria e delle sue radici più profonde, dove l’osservazione diretta dei reperti archeologici ha contribuito alla formazione di un immaginario capace di tradurre la classicità in un codice espressivo contemporaneo”.

La mostra è patrocinata dalla Regione Calabria, dalla Città Metropolitana di Reggio Calabria e dalla Calabria Film Commission.

“La mostra è un tributo straordinario a due simboli potentissimi sui quali si fondano l’identità e la storia della nostra città di Reggio Calabria. La bellezza eterna, che attraversa i secoli, dei Bronzi di Riace, e delle altre meraviglie custodite nel Museo Archeologico Nazionale di Reggio Calabria, che s’intrecciano con l’eleganza e la creatività di un mito della moda italiana nel mondo come Gianni Versace. Un connubio di eccellenze che trasforma la nostra città in una capitale dell’arte e della moda, restituendo e rinsaldando il legame tra queste due icone e le loro radici reggine e magnogreche. Siamo felici di poter sostenere questo progetto di altissima qualità che si fonda sul binomio tra arte antica e contemporanea, celebrando le meraviglie di questa terra e proiettandole al centro della scena culturale internazionale”. Ha evidenziato Giuseppe Falcomatà, Sindaco della Città Metropolitana di Reggio Calabria.

Anton Giulio Grande, Presidente della Calabria Film Commission, ha dichiarato “Plaudo all’iniziativa che si tiene in un luogo di cultura internazionale qual è il Museo Archeologico Nazionale di Reggio Calabria. Per di più nella città natale di Gianni Versace, sua sublime fonte ispirazione, con la Medusa simbolo della maison; così attraverso il suo genio creativo Gianni Versace l’ha portata nel mondo rendendola eterna”.

Il percorso è inoltre arricchito da materiali provenienti dall’Archivio di Stato di Reggio Calabria, diretto da Angela Puleio, che ha prestato i registri anagrafici riguardanti la famiglia Versace, ma anche da documenti inediti quali libri, bozzetti, manifesti, cataloghi, appunti, polaroid e interviste, che documentano la costruzione del linguaggio creativo del designer e permettono di approfondire la genesi del suo progetto estetico. Contribuiscono alla lettura dell’opera di Versace le testimonianze dei suoi principali collaboratori: Bruno Gianesi, capo Ufficio Stile e autore di numerosi costumi per il balletto, e Manuela Brambatti, disegnatrice impegnata anche nella Home Collection.

Tra gli elementi centrali dell’allestimento figurano una scultura lignea del maestro Marcos Marin, appartenente alla serie “Paraphrase Project” e caratterizzata da tagli di ispirazione OpArt, collocata nella Piazza Orsi, sita all’interno del Museo e un’opera del maestro di origine reggina Natino Chirico, che ha voluto contribuire esponendo una tela dedicata all’amico d’infanzia Gianni Versace, appositamente creata per l’occasione.

Completano l’esposizione le fotografie di Roberto Orlandi, che raccontano gli inizi, le collaborazioni, le copertine e le modelle di spicco degli anni ’90 vestite da Versace, insieme a una selezione di ritratti più intimi che offrono nuove prospettive sulla sua figura. E ancora, due ritratti emblematici e complementari dello stilista, firmati da Helmut Newton e da Alice Springs.

L’esposizione si articola, quindi, come un racconto che restituisce Gianni Versace quale interprete colto e innovatore, capace di trasformare la cultura del passato in un alfabeto visivo moderno e universale. Il progetto espositivo, accompagnato da un catalogo edito da Rubbettino, di prossima pubblicazione, rafforza e valorizza il ruolo del Museo Archeologico Nazionale di Reggio Calabria come polo di dialogo tra arte antica e creatività contemporanea, stringendo ancor di più il proprio legame co il territorio.

Si inaugura oggi anche il progetto “GIANNI VERSACE TERRA MATER - IL TRIBUTO DELLA CITTA’ DI REGGIO CALABRIA”, un racconto plurale dello stilista Gianni Versace fortemente voluto dal Direttore Sudano, costruito come rete di istituzioni – musei, archivi, scuole, università – che uniscono le proprie risorse per creare una narrazione condivisa, capace di restituire la complessità di una figura emblematica per la città di Reggio Calabria.

Tra questi, il progetto educativo del Polo Liceale “T. Campanella – M. Preti – A. Frangipane”, diretto da Lucia Zavettieri, partner della mostra grazie a un protocollo d’intesa con il Museo. Il percorso ha coinvolto studenti del Liceo Classico, Artistico e della sede carceraria in attività di ricerca, produzione multimediale e realizzazione di manufatti artistici ispirati a Gianni Versace, alla Medusa e alla cultura magno-greca. Le opere – tra abiti, installazioni, pannelli pittorici, elaborati grafici e ceramici, inclusa una Medusa tattile – sono esposte negli spazi del Museo come rassegna in progress, testimoniando il valore formativo e culturale del dialogo tra scuola, territorio e patrimonio.

Seguirà nei prossimi mesi la presentazione dei percorsi condivisi, tra cui la collaborazione con il Dipartimento di Architettura e Design dell’Università Mediterranea di Reggio Calabria, dal titolo “Mediterranee. Architettura e design per Gianni Versace”, con l’Accademia di Belle Arti di Reggio Calabria, con l’Ordine degli Architetti PCC di Calabria e Sicilia e con gli altri attori del territorio, in un laboratorio di cultura condivisa permanente, dove la collaborazione tra enti pubblici e privati non è un fine, ma uno strumento per raccontare l’artista come interprete capace di trasformare le sue radici in un codice estetico universale.

La mostra, quindi, non celebra soltanto il Mito, ma lo riconnette al territorio che lo ha generato e ne fa attrazione delle istituzioni culturali cittadine: Reggio Calabria e il Sud come fonte d’ispirazione, come matrice creativa ed estetica.

*La mostra Gianni Versace Terra Mater - Magna Graecia Roots Tribute non è associata a Gianni Versace Srl e/o alla famiglia Versace.

REGGIO, AL MARRC LA MOSTRA DEDICATA A GIANNI VERSACE: UN OMAGGIO ALLA TERRA NATÌA



STIFFELIO – Teatro Municipale di Piacenza

 21 dicembre 2025 

Che dire! Talvolta  ci si innervosisce per le difficoltà dei trasporti, le corse nelle stazioni, l’affanno creato dai ritardi e dalla preoccupazione di perdere la preziosa coincidenza, si  combatte anche il malessere di stagione, ma quando si assiste poi ad una messa in scena di grande bellezza...la soddisfazione supera tutto.

Stiffelio - Gregory Kunde

Lina  - Lidia Frifman

Stankar  - Vladimir Stoyanov

Raffaele -  Carlo Raffaelli

Jorg  - Adriano Gramigni

Federico di Frenge  - Paolo Nevi

Dorotea  - Carlotta Vichi

Direttore  - Leonardo Siri

Regia, scene, costumi  - Pier Luigi Pizzi

Regista collaboratore e disegno luci  - Massimo Gasparon

Assistente alle scene  - Serena Rocco

Assistente ai costumi  - Lorena Marin

Editing video  - Matteo Letizi

Orchestra dell'Emilia Romagna 'Arturo Toscanini'

Coro del Teatro Municipale di Piacenza

maestro del coro  - Corrado Casati

 

NUOVO ALLESTIMENTO

coproduzione

Teatro Municipale di Piacenza

Teatro Comunale Pavarotti-Freni di Modena

Teatro Municipale Valli di Reggio Emilia

Stiffelio è un'opera lirica in tre atti composta da Giuseppe Verdi  su librtetto di Francesco Maria Piave, la cui prima assoluta risale al 16 novembre 1850 al Teatro Grande di Trieste. La vicenda si basa sulla commedia francese di Émile Souvestre ed Eugène BourgeoisLe Pasteur, ou L'Évangile et le Foyer (1848) ed oggi si direbbe una storia di ‘corna’ e di cronaca nera, seppur con il finale di perdono.

Di questi tempi che tendono all’omologazione e tristemente troppo sovente ‘al ribasso’ il titolo di ‘Maestro’ viene attribuito con facilità e talvolta con faciloneria. Certo è che quando si incontra un vero ‘MAESTRO’ lo si riconosce subito e citando le eleganti realizzazioni di Pier Luigi Pizzi, non si può che pensare ad un ‘Maestro’, il quale non necessita di apporre la sua firma... la raffinata eleganza delle scelte sono già di per sé una firma

Venendo però subito all’allestimento visto al Teatro Municipale di Piacenza, senza ombra di dubbio si può dire di aver assistito ad uno spettacolo di pregio in ogni suo aspetto.

L’orchestra dell’Emilia Romagna ‘Arturo Toscanini’ è davvero un bell’insieme e con il giovane direttore Leonardo Siri (peraltro con un invidiabile curriculum…),  il quale dirige con gesto chiaro e sicuro, senza (mi si permetta) inutili stravaganze o gestualità eccessiva, ma di grande attenzione ed invito, riesce a creare un gradevole ascolto di un’opera non così frequente nei cartelloni operistici. Già nell’ouverture appare il presagio della narrazione musicale e scenica  e si incontrano temi che Verdi riprenderà più tardi, sviluppandoli con toni e accenti che affascineranno il pubblico nel tempo. Musica molto interessante   che colpisce per vigore e sentimento ben trasmessi dall’entusiasmo sia del direttore che dell’orchestra.

Le scene, come predetto, portano una firma inconfondibile, anche se Pier Luigi Pizzi con l’ormai storico collaboratore Massimo Gasparon (il quale disegna le luci con la stessa eleganza di Pizzi) pur restando quasi sul monocolore, ha abbandonato il bianco per il nero, lasciando però immutata l’eleganza delle scene e l’efficace insieme! I costumi, sempre a firma di Pizzi sono quasi tutti neri, facendo spiccare il bianco di Lina nel primo atto ed alcuni elementi scenici,  i libri in rosso o l’oro dei candelabri e degli alamari, il tutto con sullo sfondo un drappo verde autunno prima e raffinate scene neoclassiche poi.

Toccanti davvero alcune scene, come quella dell’anello non portato al dito da Lina, che celandosi dietro un ‘silenzio accusator’ non confessa di averlo donato all’amante o, tanto per citare ancora, quando il superbo Coro del Municipale di Piacenza diretto da Corrado Casati intona ‘Signore non punire con il tuo furore’ ed al finale quando Stiffelio dal pulpito concede il perdono alla fedigrafa Lina, ispirato ai principi religiosi del perdono!

Venendo al cast posso esprimere senza dubbio la soddisfazione di aver udito delle belle voci, temprate e sensibili. Gregory Kunde nel ruolo del titolo  non necessita certo dei miei apprezzamenti, in quanto la sua bella voce e linearità di canto sono già state apprezzate in tutto il mondo ed ancora si riconferma quale grande tenore dalla voce limpida e possente con grande carattere e interpretazione da ricordare. Lidia Fridman, ascoltata per la prima volta mi è apparsa molto brava, coinvolgente e con una voce scura con toni e sfumature non comuni, che vengono accentuate da colori dai riflessi ambrati.

 Altro grande interprete Vladimir Stoyanov che ha ricevuto riconoscimento anche in corso d’opera per la sua partecipe e ben timbrata interpretazione. Anche Carlo Raffaelli nel ruolo di Raffaello (ironia del palcoscenico) ha interpretato con passione e bei colori il suo personaggio sottolineandone i tratti caratteriali.  Anche il giovane basso Adriano Gramigni  riflette una buona preparazione ed il desiderio di essere in ruolo, esprimendo anche toni di tutto interesse, con bel timbro e sicura emissione. Carlo Nevi, parimenti a Carlotta Vichi ottengono i medesimi apprezzamenti per la riuscita della loro solida  interpretazione.

La Musica vince sempre.

Renzo Bellardone

lunes, 22 de diciembre de 2025

LA ORQUESTA Y CORO NACIONALES DE FRANCIA, LLAMATIVO CONCIERTO CON DIRECTOR Y SOLISTAS DE LUJO EN EL TEATRO DE LOS CAMPOS ELÍSEOS

PROGRAMA

SERGUEÏ RACHMANINOV

Les Cloches, op. 35

Pausa

SERGUEÏ RACHMANINOV

Symphonie n° 3 en la mineur, op. 44

El concierto presentado por Saskia de Ville se retransmitió en directo en France Musique y está disponible en francemusique.fr

CAST

MARINA REBEKA, soprano

PAVEL PETROV, tenor

ALEXANDER ROSLAVETS, bajo

CHŒUR DE RADIO FRANCE

AGNIESZKA FRANKÓW-ŻELAZNY directora del coro

ORQUESTA NACIONAL DE FRANCIA

Luc Héry, concertino


La Orquesta Nacional de Francia (ONF) propuso cinco encuentros con la música vocal y sinfónica del compositor ruso Rachmaninov.  Comenzaron el 11 de diciembre con las Danzas sinfónicas y terminarán con la Rapsodia de Paganini el 16 de abril. En esta ocasión se trata de una velada que comienza con Las Campanas op. 35 (título en ruso: Колокола), un poema sinfónico, que incluye coro y solistas, Inspirado en la tenebrosa literatura, fantasmal y onírica de Edgar Poe, fue compuesto entre 1912 y 1913 por el compositor y pianista ruso Serguéi Rachmaninov. Es una sinfonía coral para soprano, tenor, barítono, coro y gran orquesta.

El punto de partida, como explica la especialista del programa de mano, Laetitia Le Guay, es bastante curioso. En 1912, Rachmaninov recibió una carta aconsejándole leer un poema de Edgar Allan Poe, traducido por Constantin Balmont (quien "organizó el texto a su manera") para ponerlo en música. En cuanto lo leyó, al compositor se le ocurrió la idea de una sinfonía vocal en cuatro partes. Solo tras la muerte del compositor se supo quién era el autor de esta carta anónima: Maria Danilova, una violonchelista que no creía que su sugerencia fuera aceptada.

El estreno tuvo lugar el 30 de noviembre de 1913 en San Petersburgo bajo la dirección del compositor y Les Cloches recibió una acogida tremenda. En la presentación de la obra en el concierto de la Filarmónica de Moscú el 8 de febrero de 1914, Rachmaninov obtuvo un éxito inusual. Al final de la sesión, le entregaron coronas de laurel, flores y regalos, mientras el público le brindaba una ovación poco frecuente.

La partitura, que pasa por cuatro estados climáticos bien marcados, evoca las etapas de la vida del ser humano: según Vladimir Jurowski, el primer movimiento representa la edad de la infancia, el segundo de la juventud, la tercera guerra y la cuarta muerte. Son, por tanto:

Allegro ma non tanto, con voz de tenor – Las campanas de los trineos

Lento, con voz de soprano y luego coros - Las dulces campanas nupciales

Presto, con coros - Las campanas de alarma atronadoras

Lento lúgubre con voz de bajo-barítono: Las campanas de hierro melancólicas

Es importante recordar que esta obra fue compuesta entre 1912 y 1913, un año antes de la Primera Guerra Mundial. El tercer movimiento parece anunciar esta guerra y de hecho se enmarca en las habituales narrativas musicales de los compositores eslavos: la patria, la nostalgia, los amores imposibles, la muerte o ese sentimiento inconmensurable y poco definible conocido como “el alma rusa”. El compositor fue prohibido posteriormente en la URSS, debido a que "Esta música emana de un emigrado, un enemigo declarado de la Rusia soviética: Rachmaninov.

La composición de la Sinfonía n.º 3, que se desarrolló en la segunda parte,  se inició después de finalizar la Rapsodia sobre un tema de Paganini y las Variaciones sobre un tema de Corelli. A finales de abril de 1935 llegó a su recién construida Villa Senar en el Lago Lucerna en Suiza con la idea de escribir una sinfonía. Después de muchos retrasos, Rajmáninov llegó a los Estados Unidos justo a tiempo para los últimos preparativos del estreno de la obra, que se celebró en Filadelfia el 6 de noviembre de 1936 con la interpretación de la Orquesta de Filadelfia bajo la dirección de Leopold Stokowski. Y la primera publicación tuvo lugar en Nueva York en 1937 a cargo del editor Charles Foley.

La sinfonía consta de tres movimientos:

I. Lento – Allegro moderato – Allegro, en la menor

II. Adagio ma non troppo – Allegro vivace, en do sostenido menor

III. Allegro – Allegro vivace – Allegro (Tempo primo) – Allegretto – Allegro vivace, en la mayor

Contiene solamente tres movimientos, pero el central asume el papel dual de movimiento lento y scherzo, lo que supone una innovación sinfónica para Rajmáninov. La obra emplea la forma cíclica, con un sutil uso de los temas combinados, como viene siendo usual en las obras del maestro ruso, con referencias al canto llano Dies irae. Se trata de una obra de transición.

 Respecto al contorno melódico y el ritmo es su sinfonía más expresiva, particularmente en los ritmos de la última danza. El estilo ruso, evidente desde el comienzo con el canto de estilo ortodoxo, es un recordatorio de las raíces del compositor como un hombre que había sido desprovisto de ellas. La música está llena de tristeza y angustia. La melodía y armonía casi siempre se vuelven hacia sí mismas en vez de hacia afuera sin ningún sentimiento de alegría. Es posible que “Si hubiera una sola obra que expresara el dolor que Rajmáninov sentía al estar en el exilio, es esta”, escribió un crítico admirador.

Esta sinfonía sentó precedente por su gran economía de sonido en comparación con sus predecesoras. Su estilo más libre, puede recordar en un principio a la Rapsodia sobre un tema de Paganini. El profundamente trágico primer movimiento, representa un derrumbe con reminiscencias de Mahler en su gran impresión e inexorabilidad. Aunque Rajmáninov mantiene un equilibrio que finalmente se transforma en un poderoso finale.

La producción musical de este compositor fue revaluada durante la década de 1970, lo que hizo que la sinfonía se haya visto desde una perspectiva más favorable en esa época y se haya interpretado en salas de concierto y grabado con frecuencia.

El director rumano de la formación en cuestión (ONF), Cristian Măcelaru, ha querido en esta ocasión exhibir el enorme poder de la orquesta y el coro, que dieron una tonalidad casi trágica y melancólica a esta velada en el Teatro de los Campos Elíseos, sobre todo en vísperas de las Fiestas de Navidad y Fin de año occidentales (la población de París es multicultural, con razas, religiones y culturas muy diferentes).

Queda así en parte en un  segundo plano en la velada, el esfuerzo de la presentación de unos cantantes excepcionales. Especialmente Marina Rebeka, que se ha convertido en una diva de facto, siempre presente en las mejores salas del mundo y con un repertorio fantástico y diferente. El lunes anterior a París, se desplegó con gran éxito en el Ciclo de Lied del Teatro de La Zarzuela de Madrid y a los 3 días, defendió en la capital francesa una parte que le deja pequeño desempeño en el recital. Sin embargo, su versión “nupcial” de Les Cloches dejó de nuevo aflorar su timbre diamantino, la voz ancha, solvente y caudalosa, el fiato interminable, la escuela vocal, el saber estar y más en el escenario, aunque sentada, y la gracia con la que llevó un vestido blanco roto con lentejuelas, que hacía referencia a su participación en Las dulces campanas nupciales. Por cierto, las campanas y su sonido, el simbolismo que entrañan, forman parte de la historia rusa y de su música a través de los tiempos. Religiosa, profana a la vez y militar, de Pascua también.

Igual de solventes el tenor bielorruso Pavel Petrov, sereno, contenido, eficaz y claro (había sobretítulos en francés e inglés, con idioma original ruso), que ganó el Concurso Operalia de zarzuela en 2018 y se ha ganado ya un lugar en reconocidos escenarios líricos.

Alexander Roslavets, el bajo ruso, recuerda los instrumentos vocales que han fascinado a Occidente en la historia de la ópera. Serio, potente vocalmente, de técnica cuidada, sin esforzarse, cumplió también una parte breve, pero de manera contundente.  

En cuanto a La Orquesta Nacional de Francia, es la “garante de la interpretación francesa por su dinamismo y su patrimonio y legado”. Heredera de la tradición interpretativa de la música francesa, ha intentado crear un repertorio propio a través de estrenos de obras de los más grandes compositores contemporáneos: Pierre Boulez, Olivier Messiaen, Henri Dutilleux, Edgar Varèse o Iannis Xenakis Ha grabado muchos discos y obtenido muchos premios. A Sergiu Celibidache, primer director invitado desde 1973 a 1975, le siguió Lorin Maazel. Desde 2008 a 2016, el director italiano Daniele Gatti ha sido el director musical de la orquesta.

La joven directora del coro aquí, a cargo de una masa vocal imponente, como la orquesta, ya que desbordaban el escenario del teatro, Agnieszka Franków-Żelazny (nacida el 24 de marzo de 1976 en Głubczyce) es polaca y profesora de artes musicales y directora artística de muchos conjuntos conocidos en su país entre otras varias actividades. Dirigió con autoridad y fue recompensada por el director y el público cuando salió con todos a saludar.

En esta oportunidad, al frente de la magnífica velada, con un sentido exquisito de los planos sonoros, la elegancia en cada momento de las interpretaciones, el entendimiento y la comunicación con los intérpretes con gestos pequeños,  exultante, el director Cristian Măcelaru. Nacido en Timișoara (1980) es además violinista y el menor de una familia de 10 hijos. Măcelaru se convirtió en director musical de la ONF el 1 de septiembre de 2020, un año antes de lo previsto originalmente. En septiembre de 2022, la ONF anunció una extensión del contrato de director rumano hasta el año 2027. Su relación con la orquesta de la que es titular se ve y se oye fluida y natura, pero exigente.

Se podría concluir después de esta exhibición de calidad, entrega y esfuerzo, que el concierto resultó un hallazgo de repertorio (hay que explorar caminos menos socorridos en salas de prestigio para públicos de todo tipo), de audiencia ( la sala al completo) y no hay que olvidar(siempre se hace)  el papel de todos los equipos que, además de los estrictamente musicales, hacen posible que todo discurra como la seda: entre ellos, los responsables de la tienda que vende libros y cds escogidos, el disponible Café con champán y macarons ad libitum. Y todos aquellos que hacen amable el control “vigipirate” (de seguridad) a la sala, a veces tan molesto y tan mal gestionado. Hacen que el tiempo de espera de entrada al teatro se convierta en una charla entre amigos y en preámbulo de lo que podrá disfrutarse luego: una velada amable, cuidada, concebida con talento y con afecto. Voilà.

Alicia Perris   

VERSION AL ITALIANO

L’ORCHESTRA E IL CORO NAZIONALI DI FRANCIA, CONCERTO IMPRESSIONANTE CON DIRETTORE E SOLISTI DI LUSSO AL TEATRO DEGLI CHAMPS-ÉLYSÉES

PROGRAMMA
SERGEJ RACHMANINOV
Le Campane, op. 35

Intervallo

SERGEJ RACHMANINOV
Sinfonia n. 3 in la minore, op. 44

Il concerto, presentato da Saskia de Ville, è stato trasmesso in diretta su France Musique ed è disponibile su francemusique.fr.

CAST
MARINA REBEKA, soprano
PAVEL PETROV, tenore
ALEXANDER ROSLAVETS, basso

CHŒUR DE RADIO FRANCE
Agnieszka Franków-Żelazny, direttrice del coro

ORCHESTRA NAZIONALE DI FRANCIA
Luc Héry, primo violino

L’Orchestra Nazionale di Francia (ONF) ha proposto cinque appuntamenti dedicati alla musica vocale e sinfonica del compositore russo Rachmaninov. Il ciclo è iniziato l’11 dicembre con le Danze sinfoniche e si concluderà il 16 aprile con la Rapsodia su un tema di Paganini. In questa occasione si è trattato di una serata che si apre con Le Campane op. 35 (titolo originale russo: Колокола), un poema sinfonico con coro e solisti, ispirato alla letteratura cupa, fantastica e onirica di Edgar Allan Poe, composto tra il 1912 e il 1913 dal compositore e pianista russo Sergej Rachmaninov. È una sinfonia corale per soprano, tenore, baritono, coro e grande orchestra.

Il punto di partenza, come spiega Laetitia Le Guay nel programma di sala, è piuttosto curioso. Nel 1912 Rachmaninov ricevette una lettera che gli consigliava di leggere una poesia di Edgar Allan Poe, tradotta da Konstantin Balmont (che “organizzò il testo a modo suo”), per metterla in musica. Dopo la lettura, al compositore venne l’idea di una sinfonia vocale in quattro parti. Solo dopo la morte del compositore si scoprì l’autrice di quella lettera anonima: Maria Danilova, una violoncellista che non credeva che il suo suggerimento sarebbe stato accolto.

La prima esecuzione ebbe luogo il 30 novembre 1913 a San Pietroburgo sotto la direzione dello stesso compositore, e Le Campane ricevettero un’accoglienza straordinaria. Alla presentazione dell’opera al concerto della Filarmonica di Mosca, l’8 febbraio 1914, Rachmaninov ottenne un successo fuori dal comune: al termine della serata gli furono consegnate corone d’alloro, fiori e doni, mentre il pubblico gli tributava un’ovazione rara.

La partitura, articolata in quattro stati emotivi ben distinti, evoca le fasi della vita umana: secondo Vladimir Jurowski, il primo movimento rappresenta l’infanzia, il secondo la giovinezza, il terzo la guerra e il quarto la morte. Sono dunque:

  • Allegro ma non tanto, con voce di tenore – Le campane delle slitte
  • Lento, con voce di soprano e poi cori – Le dolci campane nuziali
  • Presto, con cori – Le campane d’allarme fragorose
  • Lento lugubre, con voce di basso-baritono – Le campane di ferro malinconiche

È importante ricordare che quest’opera fu composta tra il 1912 e il 1913, un anno prima della Prima Guerra Mondiale. Il terzo movimento sembra preannunciare il conflitto e si inserisce nelle consuete narrazioni musicali dei compositori slavi: la patria, la nostalgia, gli amori impossibili, la morte o quel sentimento immenso e difficilmente definibile noto come “l’anima russa”. Il compositore fu in seguito proibito in URSS, poiché «questa musica emana da un emigrato, un nemico dichiarato della Russia sovietica: Rachmaninov».

La composizione della Sinfonia n. 3, eseguita nella seconda parte della serata, iniziò dopo il completamento della Rapsodia su un tema di Paganini e delle Variazioni su un tema di Corelli. Alla fine di aprile del 1935 Rachmaninov arrivò nella sua appena costruita Villa Senar, sul Lago di Lucerna in Svizzera, con l’idea di scrivere una sinfonia. Dopo molti ritardi, il compositore giunse negli Stati Uniti giusto in tempo per gli ultimi preparativi della prima esecuzione, che ebbe luogo a Filadelfia il 6 novembre 1936 con l’Orchestra di Filadelfia diretta da Leopold Stokowski. La prima pubblicazione avvenne a New York nel 1937 a cura dell’editore Charles Foley.

La sinfonia è articolata in tre movimenti:

I. Lento – Allegro moderato – Allegro, in la minore
II. Adagio ma non troppo – Allegro vivace, in do diesis minore
III. Allegro – Allegro vivace – Allegro (Tempo primo) – Allegretto – Allegro vivace, in la maggiore

Pur avendo solo tre movimenti, quello centrale svolge un duplice ruolo di movimento lento e scherzo, rappresentando un’innovazione sinfonica per Rachmaninov. L’opera utilizza la forma ciclica, con un uso sottile dei temi combinati, come è consueto nelle opere del maestro russo, e con riferimenti al canto gregoriano Dies irae. Si tratta di un’opera di transizione.

Per quanto riguarda il profilo melodico e ritmico, è la sua sinfonia più espressiva, in particolare nei ritmi dell’ultima danza. Lo stile russo, evidente fin dall’inizio con il canto di impronta ortodossa, richiama le radici del compositore, di cui egli era stato privato. La musica è intrisa di tristezza e angoscia: melodia e armonia tendono quasi sempre a ripiegarsi su sé stesse, senza alcun sentimento di gioia. «Se ci fosse un’unica opera capace di esprimere il dolore che Rachmaninov provava nell’esilio, sarebbe questa», scrisse un critico ammirato.

Questa sinfonia segnò un precedente per la grande economia del suono rispetto alle opere precedenti. Il suo stile più libero può inizialmente ricordare la Rapsodia su un tema di Paganini. Il primo movimento, profondamente tragico, rappresenta un crollo con reminiscenze mahleriane per imponenza e inesorabilità, pur mantenendo un equilibrio che sfocia infine in un potente finale.

La produzione musicale di questo compositore è stata rivalutata negli anni Settanta, il che ha portato a considerare la sinfonia in una luce più favorevole, favorendone l’esecuzione nelle sale da concerto e le incisioni discografiche.

Il direttore rumeno dell’ONF, Cristian Măcelaru, ha voluto in questa occasione mettere in mostra l’enorme potenza dell’orchestra e del coro, che hanno conferito alla serata al Teatro degli Champs-Élysées un tono quasi tragico e malinconico, soprattutto alla vigilia delle festività natalizie e di fine anno occidentali, in una Parigi multiculturale.

In secondo piano è rimasto, almeno in parte, lo sforzo della presentazione di cantanti eccezionali. In particolare Marina Rebeka, ormai diva di fatto, presenza costante nei migliori teatri del mondo, con un repertorio vasto e originale. Il lunedì precedente a Parigi aveva riscosso grande successo nel Ciclo di Lied del Teatro de La Zarzuela di Madrid e, tre giorni dopo, ha affrontato nella capitale francese una parte che le offriva meno spazio rispetto a un recital. Tuttavia, la sua versione “nuziale” di Les Cloches ha messo nuovamente in luce il timbro diamantino, la voce ampia e generosa, il fiato interminabile, la scuola vocale, l’eleganza scenica – anche da seduta – e la grazia con cui indossava un abito bianco avorio con paillettes, in riferimento alle Dolci campane nuziali. Del resto, le campane e il loro suono, con il simbolismo che racchiudono, fanno parte della storia russa e della sua musica: religiosa, profana e militare al tempo stesso, anche pasquale.

Altrettanto valido il tenore bielorusso Pavel Petrov, sereno, misurato, efficace e chiaro (con sovratitoli in francese e inglese, in lingua originale russa), vincitore nel 2018 del Concorso Operalia nella sezione zarzuela, che si è già conquistato un posto in importanti palcoscenici lirici.

Alexander Roslavets, basso russo, richiama quegli strumenti vocali che hanno affascinato l’Occidente nella storia dell’opera. Serio, potente, tecnicamente curato e senza sforzo apparente, ha affrontato una parte breve ma con grande incisività.

Quanto all’Orchestra Nazionale di Francia, essa è la “garante dell’interpretazione francese per dinamismo, patrimonio ed eredità”. Erede della tradizione interpretativa della musica francese, ha cercato di creare un proprio repertorio attraverso prime esecuzioni di opere dei più grandi compositori contemporanei: Pierre Boulez, Olivier Messiaen, Henri Dutilleux, Edgar Varèse o Iannis Xenakis. Ha inciso numerosi dischi e ottenuto molti premi. A Sergiu Celibidache, primo direttore ospite dal 1973 al 1975, è succeduto Lorin Maazel. Dal 2008 al 2016 il direttore musicale dell’orchestra è stato l’italiano Daniele Gatti.

La giovane direttrice del coro, alla guida di una massa vocale imponente come l’orchestra – tanto da traboccare dal palcoscenico – Agnieszka Franków-Żelazny (nata il 24 marzo 1976 a Głubczyce), è polacca, docente di arti musicali e direttrice artistica di numerosi ensemble nel suo Paese. Ha diretto con autorità ed è stata premiata dal direttore e dal pubblico al momento dei saluti finali.

Alla guida di questa magnifica serata, con un senso squisito dei piani sonori, eleganza in ogni momento interpretativo, grande intesa e comunicazione con gli interpreti attraverso gesti contenuti ma eloquenti, il direttore Cristian Măcelaru si è mostrato in stato di grazia. Nato a Timișoara nel 1980, è anche violinista ed è il più giovane di una famiglia di dieci figli. Măcelaru è diventato direttore musicale dell’ONF il 1º settembre 2020, un anno prima di quanto inizialmente previsto. Nel settembre 2022 l’ONF ha annunciato il rinnovo del suo contratto fino al 2027. Il rapporto con l’orchestra di cui è titolare appare fluido e naturale, ma al tempo stesso esigente.

Si può concludere, dopo questa dimostrazione di qualità, dedizione e impegno, che il concerto è stato un successo sotto il profilo del repertorio (è necessario esplorare percorsi meno battuti nelle sale prestigiose per pubblici diversi), del pubblico (sala completamente esaurita) e non va dimenticato – come spesso accade – il ruolo di tutti i team che, oltre a quelli strettamente musicali, rendono possibile che tutto scorra alla perfezione: tra questi, i responsabili del negozio che vende libri e CD selezionati, l’accogliente Café con champagne e macarons ad libitum, e tutti coloro che rendono più umano il controllo di sicurezza “vigipirate”, talvolta tanto fastidioso quanto mal gestito. Essi trasformano l’attesa per l’ingresso in teatro in una chiacchierata tra amici e nel preludio di ciò che seguirà: una serata piacevole, curata, concepita con talento e affetto. Voilà.

Alicia Perris