martes, 30 de julio de 2024

LES FLEURS D’YVES SAINT LAURENT. MUSÉE YSL, PARIS. FAYE (DUNAWAY), DOCUMENTAL DE HBO

 Du 20 septembre 2024 au 4 mai 2025, le Musée Yves Saint Laurent Paris présente Les Fleurs d’Yves Saint Laurent. Cette exposition pensée par les commissaires Olivier Saillard et Gaël Mamine, fait suite à un premier chapitre présenté au Musée Yves Saint Laurent Marrakech du 2 mars 2024 au 5 janvier 2025. Pour la première fois, les deux musées se sont associés pour une programmation commune autour de cette thématique majeure dans l’oeuvre du couturier.

« Le Blé porte bonheur Les Lys, ma fleur favorite Une Venus de Bronze, symbole de mon métier et passion des bronzes A la recherche du temps perdu de Proust Depuis l’âge de 15 ans je ne cesse de relire cet oeuvre inégalable. »

Avec son partenaire Pierre Bergé, Yves Saint Laurent vivait quotidiennement entouré de fleurs et de jardins – dans ses appartements, ses résidences secondaires ou sa maison de couture. Amoureux de la flore, il y trouvait une source d’inspiration infinie.

Cette admiration pour la nature, Yves Saint Laurent la partage avec de nombreux artistes et écrivains tout particulièrement avec Marcel Proust, un de ses auteurs favoris comme il le déclare dans L’Egoïste en 1987*. L’univers de l’écrivain transparaît dans les intérieurs du couturier autant que dans ses défilés. Quand le premier se plait à décrire les femmes comme des fleurs, le second les en recouvre pour leur rendre hommage.

Présentées dans l’exposition, une trentaine de silhouettes textiles et des dessins mettent en lumière cette symbiose entre l’oeuvre d’Yves Saint Laurent, la nature et la littérature.

Comme dans un livre, chaque chapitre donne à lire et à voir les citations de Proust face aux silhouettes en fleurs d'Yves Saint Laurent ; accessoires et dessins du créateur sont présentés sur des lutrins. 

Tel un jardin, les fleurs se déclinent et nous racontent la personnalité et les goûts du créateur : du muguet fétiche de Christian Dior, au lys anagramme de ses initiales en passant par les roses de l’amour, les bougainvilliers du Maroc ou le blé porte bonheur.

Au fil de l’exposition, le visiteur découvre les pièces iconiques et les savoir-faire auxquels Yves Saint Laurent a fait appel pour donner vie à ses créations fleuries : ici, les premières broderies appliquées de

la robe printemps-été de 1962, là la virtuosité des imprimés dans la collection printemps-été 2001, référence inoubliable aux tableaux de Pierre Bonnard. En majesté, on aperçoit les fleurs en gazar de soie plus vraies que nature de la mariée d’été incarnée par Laetitia Casta en 1999, silhouette inoubliable d’Yves Saint Laurent.

Ce dialogue naturel entre les arts et les époques se prolonge avec l’artiste américain Sam Falls dont les oeuvres viendront ponctuer l’exposition. Parcourant le monde, il prélève des plantes et conserve la mémoire de ces paysage floraux au moyen d’une impression directe des pigments sur la toile. Les motifs et les couleurs de cette nature recréée entrent en harmonie avec ceux présentés sur les pièces haute couture.

 Dans les vêtements de Yves Saint Laurent comme dans les toiles de Sam Falls, les fleurs transcendent le temps et demeurent éternelles.

https://museeyslparis.com/expositions/les-fleurs-dyves-saint-laurent?utm_source=INFORMATION&utm_medium=EMAIL&utm_campaign=News%2BAo%25C3%25BBt%2BDerniers%2BJours%2BTransparences


https://www.academiatv.es/wp-content/uploads/2024/07/11330793_823606_3000x2975-scaled.jpg

«FAYE», el documental original de HBO sobre los altibajos en la vida de la actriz Faye Dunaway

11 de julio de 2024

La producción muestra a Faye Dunaway, actriz ganadora del Oscar® y estrella de cine durante varias décadas, como nunca antes vista.

HBO estrena, en streaming por Max, el próximo 14 de julio, Faye, documental que relata los triunfos y desafíos de la actriz a lo largo de su ilustre carrera. A través de una reflexión honesta, complementada con la opinión de colegas y amigos, Dunaway contextualiza su vida y su filmografía, desnudando sus luchas con la salud mental al tiempo que se enfrenta a la doble moral a la que estaba sometida como mujer en Hollywood.

El documental de HBO Original, producido y dirigido por el galardonado cineasta Laurent Bouzereau (Natalie Wood: Entre bambalinas, El niño de mamá), tuvo su estreno mundial en el pasado Festival de Cannes 2024.

Creció como Dorothy Faye Dunaway, hija de un padre que luchaba contra el alcoholismo y criada principalmente por su madre soltera. Dunaway se escapó al mundo de la interpretación, encontrando mentores en el director Elia Kazan y el dramaturgo William Alfred, cuya obra Hogan’s Goat ayudó a lanzar su carrera en 1965. En FAYE, la actriz, tres veces nominada al Oscar® -que ganaría por Network. Un mundo implacable en 1976-, explora la trayectoria personal de su vida al mismo tiempo que su carrera.


El documental incluye entrevistas con el hijo de Faye DunawayLiam Dunaway O’Neill, así como con colegas y amigos como el escritor Mark Harris, la periodista Robin Morgan, la profesora de cine Annette Insdorf, el fotógrafo y director Jerry Schatzberg, el autor David Itzkoff, los actores Sharon Stone y Mickey Rourke, y el cineasta James Gray.

HBO Documentary Films presenta FAYE, una producción de Amblin Documentaries en asociación con Nedland Media. Dirigida y producida por Laurent Bouzereau; producida por Markus KeithJustin Falvey y Darryl Frank; editada por Jason Summers; compositor, Tyler Strickland; directores de fotografía, Travers JacobsChris Johnson y Toby Thiermann. Para HBO: productoras ejecutivas, Nancy AbrahamLisa Heller y Sara Rodríguez.

BONNARD-MATISSE, A FRIENDSHIP. FONDATION MAEGHT. COTE D´AZUR. (ARTS IN THE CITY): EXPOSITION PHILIPPE TALLIS AU CHÀTEAU DE MONTE-CRISTO

 

Exposition Philippe Tallis au Château de Monte-Cristo

Château de Monte-Cristo
Du 27 juin au 22 septembre 2024

  • Oeuvre de Pierre TallisOeuvre de Pierre Tallis
  • Oeuvre de Pierre TallisOeuvre de Pierre TallisOeuvre de Pierre Tallis

Oeuvre de Pierre Tallis
© Château de Monte-Cristo

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Extravagant, fantasque, mégalomane… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la personnalité d’Alexandre Dumas, auteur génial des Trois Mousquetaires. Un esprit libre doté d’un redoutable sens de la mise en scène que l’on retrouve dans chacun de ses projets à commencer par celui-ci, le plus démesuré de tous : le Château de Monte-Cristo

L’écrivain pour qui les frontières entre la vérité et la fiction, entre la réalité et l’imagination, n’étaient que pacotilles, dépense sans compter pour faire construire, non loin de Paris, ce paradis terrestre cerné par les eaux. 

Une folie architecturale sortie tout droit d’un roman, composée d’un pavillon gothique servant de garçonnière littéraire et d’un château de style néo-Renaissance au sein duquel l’homme de lettres commanda un authentique salon mauresque, ciselé par des artisans tunisiens. 

Le jardin à l’anglaise abritait quant à lui des grottes, des cascades, des rocailles et depuis peu, le fabuleux univers de Tallis. Le peintre et sculpteur français dévoile dans l’antre de Dumas ses élégantes sculptures de pierre, de bronze et de bois, à l’endroit même où le génie de la littérature française accueillait autrefois ses plus illustres invités. Philippe Tallis métamorphose les matériaux les plus bruts en une forme poétique, tout comme Dumas avait le don de transformer de simples récits de cape et d’épée en mythes intemporels.

À vos agendas ! 
Tous les derniers dimanches du mois, des comédiens déguisés viennent vous surprendre durant votre visite du domaine, vous plongeant ainsi dans la vie du château à l’époque de Dumas : attendez-vous à croiser le Cardinal de Richelieu, Milady de Winter ou D’Artagnan et autres illustres hôtes sortis des chefs-d’œuvre de l’écrivain.

Plus d'informations

CHÂTEAU DE MONTE-CRISTO
Du 27 juin au 22 septembre 2024
Chemin du Haut des Ormes, 78560 Le Port-Marly

29th of June – 6th of October 2024

France’s first foundation for modern and contemporary art, the Maeght Foundation will celebrate its sixtieth anniversary in the summer of 2024. Created in 1964 by art dealers, publishers and lithographers Marguerite and Aimé Maeght, it was inaugurated in Saint-Paul-de-Vence by André Malraux and immediately recognised as a public utility. 

This anniversary will be marked by a major summer exhibition, “Bonnard-Matisse, a friendship”, the inauguration of new exhibition rooms devoted this year to the permanent collection, and a month of celebrations featuring concerts, dance performances, film screenings, readings, etc.

Over 60 years and more than 150 exhibitions of works by the great artists of the 20th and 21st centuries, the Maeght Foundation has left its mark on the history and dissemination of art through its own distinctive approach. The prism of friendship that unites the Maeght family, the Fondation and the artists, allows us to tell the story of art far from the traditional bookish approach: art and life are constantly linked, from exhibitions to Nuits de la Fondation (dance, theatre, music…), picnics, big meals and boat trips… 

But wasn’t it the artists themselves who pushed the Maeght couple to overcome the pain of losing their second son by taking a long trip to the United States in the 1950s? Then by creating the Foundation inspired by the great American references they were visiting at the time? Barnes, Guggenheim, Phillips…

To celebrate this anniversary, the Maeght Foundation is presenting a special exhibition entitled “Bonnard-Matisse, a friendship”. From 29 June to 6 October, the exhibition focuses on the friendly and respectful relationship between Pierre Bonnard and Henri Matisse, and traces their links with the Maeght family, for whom the two artist-friends embodied two geniuses of the 20th century, sharing with them the great – and more trivial – moments of life.

The exhibition is organised around a number of themes, and features a wealth of rare works and documents on loan for the occasion. The exhibition explores the specific characters of the two masters, but also, by mirror effect, the particularities of each in their approach to the same subjects: self-portraits, the street, the light of the Midi, the painter and his model…

The Foundation, whose history reminds us that all artistic disciplines intersect, is finally planning a month of celebrations to mark its sixtieth anniversary, from the end of June until 28 July, the anniversary of its inauguration in 1964, which was marked by a memorable concert featuring Ella Fitzgerald and Yves Montand. 

In 2024, the Maeght Foundation will once again be staging dance, concerts, readings, documentary films on Bonnard and Matisse, lectures, children’s workshops and more.

Guest curator: Marie-Thérèse Pulvenis de Seligny

Exhibition from the 29th of June to the 6th of October 2024

https://www.fondation-maeght.com/amities-bonnard-matisse/

lunes, 29 de julio de 2024

CARLA BRUNI, MUY SUGERENTE. EN LOS VERANOS DE LA VILLA. PATIO CENTRAL DEL CONDE DUQUE. Y “NO HAY ENTRADAS”.


Carla Bruni, recital en el Patio Central del C. Duque (Ayuntamiento de Madrid). Varios autores. 28 de julio de 2024


“Je ne suis pas une Dame, je ne suis pas une Dame,

Oh! non ne m´appelle pas Madame

Appelle-moi donc ma douce, ma chatte ou ma sirène…..

Je suis le quai du soir qui veille sur la Seine”

(“Pas une Dame”, Carla Bruni, Little French songs)


foto: Ayuntamiento de Madrid

La artista francesa interpretó en el mismo espacio donde el emperador Napoleón I en su ocupación de Madrid había situado a su ejército, grandes clásicos y algunos de sus éxitos más conocidos dentro de la 40ª edición de este Festival Veranos de la Villa, organizado por el Área de Cultura, Turismo y Deporte, del consistorio madrileño. A pesar del aforo pensado para 1046 personas, estaba todo absolutamente ocupado.

foto: Julio Serrano


Fueron tres músicos, Michel Amsellem (piano), Taofik Farah (guitarra) y Julie Gomel (bajo), los que acompañaron a la reconocida cantautora francesa, que ofreció un programa de clásicos como “Moon River”, de Henry Mancini, o “The Winner Takes It All”, de ABBA, “Il cielo in una stanza” de Gino Paoli, “Douce France”, de Charles Trenet, entre otros.

Sin embargo, el momento cumbre del concierto fue la interpretación de su mítico Quelqu’un m’a dit, el tema que la consagró hace más de dos décadas.  No pudieron faltar sus grandes “cartons” (superéxitos en francés), muchos dedicados a sus pensamientos y a las vivencias experimentadas en otros tiempos con sus acompañantes musicales, filosóficos o amorosos.

Foto: Ayuntamiento de Madrid

La voz de Bruni sigue siendo un misterio: afelpada, de terciopelo, no distorsiona, vigila con cuidado unas emisiones ad libitum que forman parte de su inteligencia y de su forma de cantar/estar en el mundo. Ítalofrancesa y paseante universal, cosmopolita, cultivada, mestiza cultural, la cantante tan pronto se dirige al público del Conde Duque, en francés, poco, más en inglés y en español, lo suficiente como para hacerse entender por la audiencia y sobre todo, para conectar con ella.

Y canta en cuatro lenguas, justamente “Comme si de rien n´ était”, el (“como si tal cosa”), título de unas de sus canciones más populares. Los músicos, excelentes, la siguen con absoluta entrega y atención en sus evoluciones físicas y sonoras, con delicadeza, con sabiduría. Se desliza por el escenario como si hubiera nacido allí, serpentea, salva los escollos de los cables con soltura, gira, se acaricia el cuerpo y pone la mano a menudo en el diafragma para sentir correr el aire por todos los espacios de su anatomía, muy bella. Caudalosa melena bien cuidada.

Pantalones de cuero, pelo suelto, en movimiento gracias a un gran ventilador colocado a sus pies (truco de mannequin…) y braceo y posturas de manos más propias de una bailarina que la de una ex esposa presidencial, a menudo muy rígidas en todas partes. Evoluciona, se dobla y se pone en cuclillas, y sueña. Para la audiencia, seguramente un momento onírico, irrepetible. Una comunión en un setting sin coordenadas de tiempo ni de espacio. Raro y feliz coincidencia. Porque Bruni es oceánica y climática también. Y sexy, sensual y seductora como un gato. Bruni pensativa, ronroneante, Carla , un espíritu y una mujer libre.

foto: Ayuntamiento de Madrid

Reconocida modelo de su generación en los 90, se la respeta internacionalmente como musa de destacados diseñadores y fotógrafos, Bruni dio un giro a su carrera tras la publicación de su primer y valorado trabajo Quelqu’un m’a dit. Desde entonces ha publicado varios álbumes aclamados por la crítica –No Promises (2007), Comme si de rien n’était (2008), Little French Songs (2013), French Touch (2017) y un álbum homónimo, Carla Bruni (2020) –, todos ellos imbuidos de una sensibilidad poética única.

Hija de una familia aristocrática emigrada desde Torino, Italia a Francia en 1974, (circunstancia que mencionó la artista), a pesar de la ruptura geográfica se adaptó como un guante a una sociedad donde se supo rodear como el resto de su familia, de pensadores, artistas, políticos y periodistas. Y Francia la adoptó, generosa y maternal, como a tantos otros millones de inmigrantes de distintos puntos del planeta.

Su madre, gran concertista, compositor su padre europeo, su hermana es la conocida directora de cine Valeria Bruni-Tedeschi, de talento depurado también como actriz y con un importante “book” de películas que llevan su firma.

Veraneante en un palacete a orillas del mediterráneo de Cap Nègre en el Var francés desde hace décadas, suele compartir su casa de campo marinera con amigos, familia y con su esposo, el antiguo presidente de la República Nicolas Sarkozy, que siempre acude a sus recitales por el mundo y en casa.

Foto: Ayuntamiento de Madrid

En Madrid, el mandatario entró con gran discreción escoltado por el Consejero de Cooperación y de Acción Cultural y Director General del Institut français de España, Eric Tallon.

A su compañero de los últimos casi veinte años le agradeció Carla su presencia y compañía y le dedicó algunas de sus producciones de la noche. A la salida, con un discretísimo pasillo para facilitarle la marcha, el presidente estrechó manos y dedicó muchas sonrisas al público que había ido a escuchar a su esposa, con la que tiene una niña, Giulia.

foto: Julio Serrano

El “amor” pareció ser el hilo conductor de toda la velada, con una voz que emerge desde el fin de los tiempos, sublimada y fresca como el primer día, también hubo una interpretación de “¿Por qué te vas?”, benéfica conjunción planetaria en la que intervinieron en su día Manuel Alejandro, José Luis Perales y Jeanette.

foto: Ayuntamiento de Madrid

Hubo solo una propina, vínculo y guiño a sus queridos Rolling Stones y se retiró “porque hacía mucho calor en Madrid” y así me lo recomendaron.

Fue suficiente porque su aroma lejano (el escenario estaba lejos de los asistentes incluso de los de las primeras filas) y su halo de hada, a veces con inesperados poderes mágicos, nos dejó a todos y todas muy enamorados .¡Ah, Carlita! “¿por qué te vas?”

Alicia Perris

sábado, 27 de julio de 2024

ANDREA BOCELLI, DUETS FOR HIS 30TH ANNIVERSARY. Y APERTURA J.O. EN PARÍS. AYA NAKAMURA 🤝 LA GARDE RÉPUBLICAINE.


Andrea Bocelli Duets - 30th Anniversary

LP
Our price:
Release on: 10/25/2024
Article no.: 508920

Beloved tenor Andrea Bocelli, the most celebrated classical singer in modern history celebrates his 30th anniversary as a global icon with a brand new album ‘Duets – 30th Anniversary’.

This ‘Highlights’ LP features all the biggest tracks from Andrea’s ‘Duets’ including  Ed Sheeran, Céline Dion, Sarah Brightman, Matteo Bocelli, Jennifer Lopez, Giorgia, alongside brand new superstar collaborations with Shania Twain, Chris Stapleton, Gwen Stefani, Matteo Bocelli & Hans Zimmer, Marc Anthony & Karol G. Andrea Bocelli - 30 years of bringing people together.

Tracklist:

Side A:
1. Time To Say Goodbye – Andrea Bocelli, Sarah Brightman
2. Vivo per lei - Andrea Bocelli, Giorgia
3. Quizás, Quizás, Quizás - Andrea Bocelli, Jennifer Lopez
4. Fall On Me - Andrea Bocelli, Matteo Bocelli
5. Perfect Symphony - Andrea Bocelli, Ed Sheeran
6. The Prayer - Andrea Bocelli, Céline Dion

Side B:
1. Time To Say Goodbye - Andrea Bocelli, Matteo Bocelli, Hans Zimmer
2. Da Stanotte in Poi (From This Moment On) - Andrea Bocelli, Shania Twain
3. Holding On (feat. Gwen Stefani)
4. Il Mare Calmo della Sera (feat. Chris Stapleton)
5. La Voce del Silenzio (feat. Marc Anthony)
6. Vivo por Ella (feat. Karol G)


APERTURA JUEGOS OLÍMPICIOS EN PARÍS

AYA NAKAMURA ET LA GARDE RÉPUBLICAINE

 


https://www.youtube.com/shorts/2S4KVzQjIuA?feature=share

AL MILLENNIUM FESTIVAL AO LARGO - BELLA CAVALLERIA RUSTICANA. VER CRITICA EN aliciaperris.com

 Ópera de Pietro Mascagni interpretada pela Orquestra Sinfónica Portuguesa e pelo Coro do Teatro Nacional de São Carlos

Cavalleria Rusticana (em português, Cavalheirismo Rústico) é uma ópera em um ato de Pietro Mascagni, estreada a 17 de maio de 1890, em Roma. 

Baseia-se numa novela com o mesmo título de Giovanni Verga e é geralmente considerada como a mais importante primeira obra do verismo, movimento que na ópera italiana foi o equivalente ao realismo ou naturalismo literário, pois procurava ilustrar a realidade social nua e crua, sem o filtro do amor que os românticos impunham como motor e visão do mundo.

A ação decorre numa aldeia da Sicília e nela se desenrola uma sangrenta história de ciúme e morte, temperada com algumas das características que o movimento realista procurava ilustrar, como fenómenos de religiosidade exacerbada, descontrolo emocional, atraso civilizacional. Aqui está patente uma visão puramente carnal, violenta e desapaixonada do amor. Conta-nos a história de Santuzza, que vive amancebada com Turiddu.

 Este interessa-se por Lola, casada com Alfio, cujos desejos a levam a cometer adultério. Santuzza, enlouquecida pelo ciúme e para se vingar, revela o facto a Alfio. Este, resumidamente, desafia Turiddu para um duelo e mata-o à facada para vingar a honra.

A ópera, de um dramatismo quase linear, contém um enorme apelo melódico que todos os públicos continuam a sentir. Os músicos na viragem dos séculos XIX para XX, saudaram-na como novidade. Quando surgiu, de facto, foi considerada "moderníssima" e acolhida entusiasticamente. 

Vianna da Motta, por exemplo, que assistiu em 1891 a uma récita da obra na Alemanha (um ano após a estreia mundial) considerou-a um salutar contraponto ao "envelhecido" Verdi, tendo deixado escrito: "Finalmente, começou uma nova época na ópera, finalmente, apareceu algo de novo, original, livre de imitação. Finalmente, a descoberta de novas terras, finalmente, uma nova constelação."

https://www.rtp.pt/programa/tv/p46010

PERPETUUM MOBILE PHOTOESPAÑA 2024. CIRCULO DE BELLAS ARTES, MADRID

29/05/2024 - 01/09/2024

La generación surgida en las primeras décadas del siglo XXI es la más madura y creativa de cuantas han existido en la historia de la fotografía española, también la mejor formada y la más numerosa. Pero hay una característica que la diferencia de las anteriores: la masiva presencia de las mujeres en un territorio que a lo largo de la historia había estado habitado mayoritariamente por hombres.


Comparada con la que se hizo visible tras la dictadura, esta generación sí se ha nutrido de referentes nacionales e internacionales y se ha aventurado con naturalidad a experimentar con hibridaciones formales, que desbordan la bidimensionalidad de las fotografías, y conceptuales, asumiendo la naturaleza subjetiva y polisémica que deriva del uso y lectura de las imágenes.

Perpetuum mobile propone una estructura abierta, una suerte de jardín de especies, que ilustra ese ensanchamiento de los límites de la creación fotográfica y las incesantes mutaciones que han ido transformando a lo largo de casi dos siglos el estatuto fundacional del medio: la mímesis de la realidad.

 La mayoría de quienes integran esta generación se desentienden de sancionar lo que es real o no. Generan imágenes que se mueven en las fronteras de la ficción. 

Se sirven de procedimientos antiguos que añaden tiempo y memoria a sus imágenes y exhiben nuevos soportes de representación, los que se han activado mediante las tecnologías digitales, para relacionarse con el presente y el pasado.

Construyen estructuras complejas de imágenes que apelan a la inestabilidad de las identidades y al carácter mutante de las certezas. Se sirven de la «intención intuitiva» para articular lo particular y lo universal, la materia y el espíritu desde nuevos parámetros de expresión.

Créditos imagen: Marina Núñez, Fuera de sí, Supernova Silvia, 2018 © Marina Núñez

https://www.circulobellasartes.com/exposiciones/perpetuum-mobile/

MUSEO ETNOGRÁFICO DE GRANDAS DE SALIME “PEPE EL FERREIRO”

  Es un museo público de carácter comarcal, cuya misión es reunir, custodiar, conservar, incrementar, investigar, comunicar y difundir el patrimonio material e inmaterial de carácter etnográfico de las comunidades del Occidente de Asturias.

El Museo fue fundado en el año 1984 sobre la base de la colección etnográfica reunida por J. Mª Naveiras Escanlar, “Pepe el Ferreiro”, quien fue su impulsor y director hasta el año 2010. Inicialmente instalado en los bajos del Ayuntamiento de Grandas de Salime, el Museo se trasladó a su actual ubicación en 1989, ocupando la antigua Casa Rectoral de la villa, que fue rehabilitada para la ocasión.

Desde entonces el Museo ha continuado creciendo y hoy sus instalaciones ocupan una superficie de más de 3.000 m2. Las áreas de exposición se distribuyen en tres edificios principales que ejemplifican la arquitectura tradicional de la zona: Casa Rectoral, Casa del Molinero y A Casoa.

Los espacios abiertos de tránsito se encuentran jalonados por arquitecturas menores y elementos muebles de finalidad específica, que también se integran en la exposición y entre los que se encuentran el molino, el hórreo, la panera, el cabazo o la capilla.

El núcleo central de la colección lo compone el elenco inicial recopilado por D. José María Naveiras Escanlar. Con posterioridad ha sufrido un incremento constante por adquisición pero, sobre todo, por donación y depósito de particulares.

 El repertorio material se centra en el modo de vida rural campesino tradicional y los oficios desarrollados en dicho medio, remitiendo su ámbito geográfico a los concejos del occidente asturiano, pero incorporando también muestras procedentes de otras zonas de Asturias, de diversas regiones peninsulares y de distintas áreas europeas.

https://www.museodegrandas.es/

DOGMAN - BANDE-ANNONCE (VOST). LUC BESSON AVEC CALEB LANDRY JONES. SEPTEMBRE 2024

"Partout où il y a un malheureux, Dieu envoie un chien."

- Lamartine

Découvrez la bande-annonce de DOGMAN, le nouveau film de Luc Besson avec Caleb Landry Jones, au cinéma le 27 septembre.


I LOVE YOU TONITE JOHNNY CASH. COMING BACK WITH HIS "SONGWRITER" ALBUM. CÉLINE DION À L´OUVERTURE DES JJ.OO DE PARIS 24




JEUX OLYMPIQUES DE PARIS 2024, CÉLINE DION À L´OUVERTURE