jueves, 26 de enero de 2023

KONSTANTIN KRIMMEL EN EL CICLO DE LIED. TEATRO DE LA ZARZUELA. POMPIDOU, EXPOSITION SERGE GAINSBOURG

Teatro de la Zarzuela. Lunes 30 de enero. 20h00

Konstantin Krimmel, una de las voces más destacadas de la nueva generación de cantantes líricos, debuta en el Ciclo de Lied del CNDM y el Teatro de la Zarzuela junto al pianista Ammiel Bushakevitz

El barítono alemán interpretará algunos de los lieder más emblemáticos de Robert Schumann y Hugo Wolf

El concierto tendrá lugar el lunes 30 de enero a las 20:00h en el Teatro de la Zarzuela

Ambos artistas también estarán presentes en la “Schubertiada de Barcelona”, un ciclo del CNDM en coproducción con el Palau de la Música Catalana y la Associació Franz Schubert, el jueves 2 de febrero a las 20:00h en el Petit Palau

El joven barítono alemán Konstantin Krimmel, una de las grandes voces de la nueva generación de cantantes líricos, debuta en el XXIX Ciclo de Lied del Centro Nacional de Difusión Musical (CNDM) y el Teatro de la Zarzuela junto al pianista Ammiel Bushakevitz. 

Ambos artistas interpretarán un repertorio compuesto por algunas de las obras más emblemáticas de Robert Schumann, donde destacan el cuaderno Liederkreis, op. 39 y las canciones que integran Fünf Lieder, op. 40; y de Hugo Wolf, con una selección de los escritos sobre poemas de Joseph von Eichendorff y de Johann Wolfgang von Goethe. El concierto tendrá lugar el  lunes 30 de enero a las 20:00 horas en el Teatro de la Zarzuela.

Konstantin Krimmel (1993), que tiene a sus espaldas una sólida carrera operística, ha desarrollado un interés especial en el repertorio de lied. Pese a su juventud, ha obtenido numerosos galardones como el primer premio en el Concurso Internacional de Lied Helmut Deutsch en 2019, entre otros. 

En su presentación en el ciclo de Lied, la frescura y timbre exquisito del barítono alemán formarán un equilibrio magistral con el pianista Bushakevitz. Una ocasión perfecta para disfrutar de un género donde el piano excede al mero acompañamiento y toma protagonismo, junto con la voz, para dotar de alma sonora a la poesía.

El programa presenta algunos lieder de dos compositores fundamentales del repertorio, Robert Schumann (1810-1856) y Hugo Wolf (1860-1903). Del primero podrá escucharse una representación de la plenitud del Romanticismo y del segundo, la faceta más tardía del movimiento y su deriva hacia el mundo del Expresionismo.

El recital comenzará con una colección de canciones sobre poemas de Christian Andersen y Chamisso que Schumann compuso en 1840, Fünf Lieder, op. 40, canciones donde la voz alcanzará toda su expresividad. 

El recorrido continuará con varios lieder de Wolf: Abendbilder, IHW 1 (Paisajes Nocturnos) y dos colecciones sobre poemas de Eichendorff y Goethe. En ellas, el público podrá descubrir la melancolía de personajes como el arpista, o la oscuridad de la noche. 

En la segunda parte, Schumann volverá a estar presente con de Drei Gesänge, op. 83 y el extraordinario ciclo de canciones Liederkreis, op. 39, con textos de los poemas de Eichendorff, piezas con un fuerte contenido emocional y que constituyen un pilar del repertorio de la canción de cámara germánica

 Beaubourg: Gainsbourg

STYLO STYLÉ La Bibliothèque du Centre Pompidou, à Paris,  jusqu’au 8 mai  gratuite, 

« Serge Gainsbourg, le mot exact », abordant l’œuvre de l’artiste sous l’angle littéraire

Fabien Randanne

Serge Gainsbourg, en 1979,  dans sa bibliothèque qui était aussi son bureau (photo recadrée).
Serge Gainsbourg, en 1979, dans sa bibliothèque qui était aussi son bureau (photo recadrée). — Christian Simonpiétri / Sygma via Getty Images
  • La Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou (Paris 4e) accueille jusqu’au 8 mai l’exposition Serge Gainsbourg, le mot exact. L’entrée est gratuite. Le lieu est ouvert les lundis, mercredi, jeudi et vendredi de 12 heures à 22 heures ; les samedis et dimanche de 10 heures à 22 heures et fermé le mardi.
  • Manuscrits, tapuscrits et autres curiosités composent cette exposition qui aborde l’œuvre de Gainsbourg par le prisme littéraire. Elle reconstitue ses sources d’inspiration et ses méthodes d’écriture.
  • « Chez Gainsbourg, c’est le phonème [la sonorité] qui est le plus important. Il fait des associations de mots, cela lui donne un thème et cela débouche sur un poème », explique Anatole Maggiar, co-commissaire de l’exposition.

« Laissez parler les p’tits papiers », avait écrit Serge Gainsbourg dans la chanson popularisée par Régine. L’occasion nous est donnée d’écouter ce qu’ils ont à nous dire. Des dizaines de manuscrits, tapuscrits, articles de journaux et autres curiosités - comme ces pages de livres arrachées pour conserver les dédicaces de leur auteur - sont réunis à la Bibliothèque publique d’information (Bpi) du Centre Pompidou à Paris. Ils composent l’exposition Serge Gainsbourg, le mot exact, qui aborde l’œuvre de l’artiste par le versant littéraire. 

Gratuite et ouverte jusqu’au 8 mai, elle permet de reconstituer les sources d’inspiration et le processus d’écriture de celui qui a créé quelque 550 chansons entre 1954 et 1990.

« Il est touchant de voir son rapport au papier, à l’encre, aux livres », confie à 20 Minutes Anatole Maggiar, co-commissaire de l’exposition. 

Au début de la visite, plusieurs ouvrages venus de la bibliothèque de l’artiste attendent les curieux. « Il y a ceux qui ont marqué son enfance, comme les Contes d’Andersen, et tout un pan de littérature classique, comme Adolphe de Benjamin Constant, qui comptait énormément pour lui, ou A rebours de Huysmans », poursuit notre guide. Au côté d’un recueil de poèmes de Rimbaud ou du Joueur d’échecs de Zweig, on trouve des œuvres plus surprenantes, comme Dits de Francis Picabia. On apprend ainsi qu’il était féru de dadaïsme et de surréalisme.

Cadavres exquis et césures

On (re) découvre aussi que la lecture de Lolita de Vladimir Nabokov a été « un véritable choc » pour l’artiste. Il rêvait d’adapter en chanson le poème du roman. « Mais les droits étaient bloqués par la production du film de Stanley Kubrick, explique Anatole Maggiar, co-commissaire de l’exposition. Alors il a dû jouer avec les paraphrases et ça a donné Jane B. »


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