Journal intime et musicale d’Annie Ebrel
Ar c’hanaouennoù c’ha d’o’r huanadennoù
Ar c’hanaouennoù c’ha d’o’r huanadennoù
DIVAS DU MONDE
Autour de
la voix féminine, cette troisième saison de musiques du monde explore la
relation à la terre, aux racines, au patrimoine. Les artistes qui nous
rejoignent nous racontent leur vie et celle de leurs ancêtres en illustrant
l’art qui les anime, à l’image de la Bretonne Annie Ebrel, mise en scène par
Pierre Guillois. Le voyage nous emmène en Andalousie, dans le Kurdistan et
jusqu’à Zanzibar.
Annie Ebrel a grandi dans une petite
ferme du Centre Bretagne. À treize ans, elle monte pour la première fois sur
scène pour faire danser les gens. Elle comprend alors que le chant traditionnel
sera son mode d’expression et le breton sa seconde langue maternelle. Dans Le
Chant des Soupirs, qu’a mis pour elle en scène Pierre Guillois, cette artiste
nous raconte cette histoire banale et extraordinaire, et évoque avec tendresse
et respect ses deux grands-mères, qui l’ont inspirée. Ce spectacle, porté par
sa complicité avec le guitariste Kevin Seddiki, est aussi une invitation à
écouter musique et langue ne faire qu’une, lorsque « les chansons deviennent
des soupirs » : Ar c’hanaouennoù c’ha d’o’r huanadennoù.
http://www.opera-rennes.com/saison-2014-2015/tous-les-spectacles/18-annie-ebrel-le-chant-des-soupirs.html#tab=3
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