viernes, 23 de agosto de 2024

AUTOUR DES JEUX OLYMPIQUES DE 1900 : SPORT ET IDÉAL. MUSÉE D´ORSAY. ACANTILADO PUBLICA: "Arnold Schönberg Diario de Berlín y «Homehaje a Schönberg"» de Josef Rufer.

Jusqu'au 22 septembre 2024

La gare d’Orsay, avant de devenir musée en 1986, fut construite pour accueillir les 50 millions de visiteurs venus voir l’Exposition Universelle de 1900, mais aussi les Jeux Olympiques qui s’y étaient adjoints, les premiers à avoir été organisés à Paris. 

Cet accrochage multidisciplinaire, à l’instar des J.O., rend hommage à cet héritage.

La seconde moitié du XIXe siècle correspond à l’avènement d’une culture du sport, largement initiée en Angleterre et sous-tendue d’objectifs moraux : « un esprit sain dans un corps sain ». 

Les jeux modernes tels qu’ils furent pensés par Pierre de Coubertin, leur rénovateur, participent aussi à l’objectif d’une régénération nationale par la compétition, et d’une « renaissance physique » après la défaite de la France dans la guerre de 1870.

Le corps classique et l’idéal grec sont des modèles que l’on retrouve dans les arts, notamment dans les nombreuses représentations d’Hercule, fondateur mythique des jeux olympiques.

Émanant des élites et concernant d’abord les hommes, cette culture du sport se démocratise au tournant du siècle et les femmes se l’approprient. De part et d’autre de Jeu de volant (1900), toile monumentale de Maurice Denis, des œuvres de nos collections mettront en lumière cet engouement : c’est en 1900 que, pour la toute première fois, quelques femmes furent invitées à participer aux Jeux Olympiques.

Commissariat

Caroline Corbeau-Parsons, conservatrice Arts graphiques et Peinture

https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/autour-des-jeux-olympiques-de-1900-sport-et-ideal


Y UN LIBRO



4 DE SEPTIEMBRE
EN LIBRERÍAS

«Cuando las generaciones venideras quieran acercarse a la cultura de la primera mitad del siglo xx, descubrirán que las claves para hacerlo se encuentran en el legado de Schönberg».
 
Josef Rufer
13 DE SEPTIEMBRE     
150 ANIVERSARIO DEL NACIMIENTO DE ARNOLD SCHÖNBERG
Arnold Schönberg
Diario de Berlín
y «Homehaje a Schönberg» de Josef Rufer 


De enero de 1912 a mayo de 1915, Arnold Schönberg llevó un diario—el único del que se tiene constancia—en el que anotó sus vivencias, sentimientos y reflexiones. A pesar de su brevedad, se trata de un documento de enorme interés, pues nos brinda una instantánea de su vida en Berlín en un momento trascendental de su carrera, mientras componía Pierrot lunaire.

El presente volumen incluye además el texto con el que presentó su ópera cómica De hoy a mañana en una emisión radiofónica de la FunkStunde Berlin.

Asimismo, Josef Rufer, discípulo y estrecho colaborador de Schönberg, ofrece a modo de homenaje un ensayo en agradecimiento a lo que vivió y aprendió del maestro desde 1919, cuando lo conoció, hasta su muerte.
Arnold Schönberg (Viena, 1874 – Los Ángeles, 1951) fue un compositor, teórico musical y pintor austríaco de origen judío. En la década de 1920 lideró la Segunda Escuela de Viena, donde, junto a sus discípulos Alban Berg y Anton Webern, desarrolló la técnica de composición dodecafónica, uno de los mayores hitos del pensamiento musical del siglo xx.
Tras el ascenso de Hitler al poder abandonó Berlín, donde impartía clases en la Academia de las Artes de Prusia, y se exilió a París y después a Los Ángeles, donde prosiguió su labor docente. Es asimismo autor de una extensa obra de teoría musical que incluye los ensayos Tratado de armonía (1922) y El estilo y la idea (1950).

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