miércoles, 22 de abril de 2020

LES BAGUETTES CAPTURÉES - EPISODE 3


En 1770, naissait l’un des plus grands génies de la musique : Ludwig van Beethoven.
Si nous ne pouvons partir ensemble à Vienne pour fêter le 250e anniversaire du compositeur allemand dans la ville qui l’a vu s’épanouir, nous vous proposons de voyager quelques minutes avec nous, bien installés, depuis votre canapé.


Notre échappée culturelle nous emmène sur les traces de sa vie quotidienne et musicale.
Écoutez Frédéric Pfeffer nous raconter le mystère qui entoure l’une des baguettes de sa collection, ayant appartenu à Ludwig van Beethoven.

Pour en savoir plus sur les chefs d’orchestre et leur rôle, nous vous invitons à découvrir le podcast de l’excellent Christian Merlin (France musique) intitulé A quoi sert le chef d'orchestre. Entre plusieurs extraits bien choisis, cet épisode d’Au Chœur de l’Orchestre se penche sur la question de l’utilité de la fonction de chef d’orchestre : passionnant !
Poursuivons le voyage auditif en nous plongeant dans l’univers de Beethoven avec la playlist de la Philharmonie de Paris, à écouter ICI : un concentré fulgurant d’émotions et de passions.

Le compositeur allemand habita Vienne presque toute sa vie, comme en témoignent ses inoubliables maisons d’Heiligenstadt et Pasqualati. Il a marqué son temps ainsi que les générations suivantes.


Frise Beethoven de Gustav Klimt – © WienTourismus/Paul Bauer

Pour une exposition de la Sécession, Klimt a créé, en 1902, l'une de ses œuvres les plus connues : La frise Beethoven.

L'exposition complète de l'époque était un hommage à Ludwig van Beethoven. Elle débutait par la frise monumentale de Klimt qui accueillait les visiteurs directement dans le hall d'entrée. Cette symphonie ornementale et opulente, dans laquelle Klimt part sur les traces de la « Neuvième » de Beethoven et de son interprétation par Richard Wagner, fait 34 mètres de large sur 2 de haut.

On trouve également, dans ce même hall d’entrée, au centre de l’exposition, l’imposante et somptueuse statue de Beethoven de Max Klinger.

No hay comentarios:

Publicar un comentario