28.04 > 07.08.2022
Since 1893, the Royal Museums of Fine Arts of Belgium own Jacques
Louis David's masterpiece "The death of Marat" (1793). In order to
bear witness to the central position of this painting in the advent of modern
art, the Royal Museums dedicate an exhibition to this masterpiece of our
collections . For the first time, we are offering an unprecedented approach to
David's artwork by combining both historical and contemporary views, as well as
a scientific approach by presenting to the public of the results of a research
campaign that involved laboratory analyses.
The exhibition is structured in three sections giving the public an
new understanding of David's work. The first scientific section presents the
results of the material and technical pluridisciplinary study entitled "Face to Face" conducted on "The death of
Marat", which reveals for the first time the underlying sketch of the
masterpiece. This research, carried out by the European Centre for
Archaeometry of the University of Liège, is based on the use of scientific
imaging techniques and non-invasive physico-chemical analyses carried out in
situ.
In a second, historical section, studio replicas conserved in
Reims, Dijon and Versailles will be presented, as well as a version belonging
to a private collection (Paris). Finally, this section will be completed by
contemporary interpretations by artists such as Picasso, Ai Weiwei, Gavin Turk,
Jean-Luc Moerman, Jan Van Imschoot, or a work by Rachel Labastie, who shifts
the focus from Marat to Charlotte Corday, the absent protagonist in David's
representation.
https://www.fine-arts-museum.be/en/exhibitions/the-death-of-marat
ET UN LIVRE NOUVEAU
Quitter le luxe de l’avenue Foch, les dorures des châteaux lorrain et portugais, les jardins à l’anglaise, les dizaines de domestiques, les robes à smocks et autres excentricités aristocratiques familiales ? Il en faudrait plus pour effrayer Diane, la petite dernière des princesses Beauvau-Craon, qui débarque dans un New-York en pleine effervescence artistique.
Bien décidée à mener une existence hors du commun, elle devient à 18 ans, en 1973, l’apprentie de Roy Halston, le Yves Saint Laurent américain, avant de créer elle-même sa collection de vêtements. Très vite, elle est l’une des plus étonnantes figures du milieu underground new-yorkais. Ivre de vin blanc et de cocaïne, elle écume les boîtes de nuit en compagnie de Warhol et Mapplethorpe, avec qui elle se lie d’amitié. De la Factory au Studio 54, en passant par les grands défilés de mode, elle côtoie tous les artistes mythiques des années 1970-1980 : Mick Jagger, John Lennon et Yoko Ono, Margaux Hemingway, Diana Vreeland, Timothy Leary... Dans cet univers de paillettes et d’acide, Diane vit à cent à l’heure.
De rencontres exceptionnelles en péripéties romanesques, des affres de la dépendance aux années sida, Diane de Beauvau-Craon dresse le portrait d’une époque libre. Sans départir sont des mémoires généreux où le faste ne va pas sans légèreté. Une ode à la vie, pleine d’humour et de tendresse pour un monde aujourd’hui disparu.
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