Par Pauline Sommelet
Lady Castlerosse, photographiée par Cecil Beaton, eut-elle une
liaison avec Winston Churchill ? © Cecil Beaton/Condé Nast/Shutterstock ©
Keystone/Getty Images
Après Jeanne Toussaint, la "panthère" de Cartier, Pamela
Harriman ou les sœurs Radziwill, la romancière revient avec un nouveau portrait
d’une de ces femmes fatales qui la fascinent* : Doris Delevingne, insatiable
séductrice qui fut peut-être le dernier coup de cœur du Vieux Lion.
Elle avait des jambes interminables, les dents du bonheur et un
sacré caractère dont semblent avoir hérité ses deux petites-nièces, Poppy et
Cara, mannequins et socialites aux extravagances assumées dans la plus pure
tradition britannique. Née en 1900 au sein du modeste foyer d’Edward et Jessie
Delevingne, Doris sait très jeune qu’elle est faite pour les draps de soie et
le champagne. "Le lit d’une Anglaise est son royaume" sera sa devise
et ils seront nombreux, hommes et femmes, à y succomber, de Tom Mitford à Cecil
Beaton en passant par Margot Hoffmann.
La romancière Stéphanie des Horts, autrice de Doris, Le secret
de Churchill, une biographie romanesque consacrée à cette héroïne haute en
couleur. © Astrid di Crollalanza
Quant à Winston Churchill, il l’a peinte quatre fois, plus que
n’importe quel autre modèle, et de ces aquarelles aux poses suggestives
aujourd’hui disparues, Stéphanie des Horts a fait tout un roman, imaginant...
https://www.pointdevue.fr/culture/livres/doris-delevingne-le-dernier-amour-de-churchill
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