It’s no secret that New York’s dynamic art scene is what brings our city to life. Dozens of museums, hundreds of art galleries, countless nonprofit spaces and temporary venues, and of course public art everywhere all add color and vitality to this sprawling metropolis.
Spring may be the time for flowers, but we believe the real beauty of New York lies in its inclusiveness. There is something for everyone here, so go out and see it all!
Take a walk through one of our many public parks and soak in the marvelous architecture, landscaping, and art projects, or check out the commercial art galleries of Lower Manhattan to see some work by emerging and established artists alike.
Or better yet, make a day of it and go
museum-hopping to see some of the best art the city has to offer.
This guide is focused on the art institutions that help make this city great, highlighting the breadth of venues throughout the boroughs and a section on new art spaces we’re particularly excited about, as well as a few shows in the tri-state area for those who want to explore outside the city limits.
Art in New York is unlike anything else in the world: Go make the most
of it.
https://hyperallergic.com/800995/hyperallergic-spring-2023-new-york-art-guide/
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Critique The Fabelmans de Steven Spielberg : un chef-d’œuvre sur la mère du cinéaste
Une ode à l’art, à la poursuite de ses rêves, mais aussi un drame familial qui nous permet de pénétrer dans les pensées du jeune cinéaste.
Dans cette autobiographie libre de Steven Spielberg, The Fabelmans suit l’enfance et l’adolescence de Sammy Fabelman, un personnage alter-ego du metteur en scène, plongé dans la fièvre réalisatrice dès son plus jeune âge. Ce film aurait pu être un egotrip, un long-métrage narcissique sur le mythe d’un génie doté d’une maestria divine inexplicable, comme béni par les anges hollywoodiens. Il n’en est rien. Steven Spielberg évite avec une élégance hors du commun le topos trop banal d’un enfant surdoué, et danse autour du piège de son propre talent sans jamais y tomber.
Comment le réalisateur parvient-il à une telle maîtrise acrobatique de l’autobiographie ? Probablement en refusant d’en être le personnage principal. Car si la narration est bel est bien cousue autour des fils de la personnalité en construction de Sammy Fabelman, le film peut être interprété comme un hommage poignant à sa famille, et surtout à sa mère, brillamment interprétée par Michelle Williams. Incarnation de l’artiste par excellence, pianiste fabuleuse qui n’a jamais osé en faire son métier, ce personnage apparaît comme une nymphe de la musique à l’expression toujours mutine, dont la sensibilité à fleur de peau peut éclater à tout moment, dans la beauté comme dans la laideur. Le tableau prend alors forme, le jeune Sammy est le digne héritier de sa mère, et si son talent a pu éclore, c’est en partie grâce à sa famille, dépeinte avec grande justesse jusqu'à son déchirement.
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