Par Antony Desvaux
À l’occasion de la première création de Sharon Eyal pour le Ballet
de l’Opéra national de Paris, le magazine Octave s’entretient avec la Première
danseuse Marion Barbeau. Relecture libre de L’Après-midi d’un faune de
Nijinski, cette pièce d’Eyal pour huit danseurs s’intitule Faunes. Marion
Barbeau nous partage l’imaginaire que ce ballet déploie, entre figures
végétales, animales et humaines. Elle détaille également l’écriture de la
chorégraphe, nourrie de la technique gaga, qui lui permet de donner corps à des
créatures à la fois nymphes et faunes : une fluidité du masculin et féminin qui
fait écho à la temporalité flottante de la partition de Debussy.
https://www.operadeparis.fr/magazine/sharon-eyal-ou-la-fluidite-des-corps
No hay comentarios:
Publicar un comentario