viernes, 31 de diciembre de 2021

BALLET ASHTON / EYAL / NIJINSKI SHARON EYAL OU LA FLUIDITÉ DES CORPS MARION BARBEAU RÉPÈTE FAUNES.OPÉRA DE PARIS


Par Antony Desvaux

À l’occasion de la première création de Sharon Eyal pour le Ballet de l’Opéra national de Paris, le magazine Octave s’entretient avec la Première danseuse Marion Barbeau. Relecture libre de L’Après-midi d’un faune de Nijinski, cette pièce d’Eyal pour huit danseurs s’intitule Faunes. Marion Barbeau nous partage l’imaginaire que ce ballet déploie, entre figures végétales, animales et humaines. Elle détaille également l’écriture de la chorégraphe, nourrie de la technique gaga, qui lui permet de donner corps à des créatures à la fois nymphes et faunes : une fluidité du masculin et féminin qui fait écho à la temporalité flottante de la partition de Debussy.

https://www.operadeparis.fr/magazine/sharon-eyal-ou-la-fluidite-des-corps

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