Genre : Architecture
Lieu : Cité de l'Architecture et du Patrimoine, Paris 16e
Date de début : 14 octobre 2022
Date de fin : 29 mai 2023
Tarifs : Entrée 9€, tarif réduit 6€, moins de 26 ans/1er dimanche du mois gratuit (musée uniq.).
Programmation : Tous les jours (sauf mardi, 1er janvier, 1er mai, 25 décembre) 11h-19h, nocturne jeudi jsq 21h
Fermetures : Lieu fermé le mardi, le 1 janvier, le 1 mai, le 25 décembre
Présentation
Carte blanche à l'architecte Pierre-Louis Faloci, lauréat 2018 du Grand Prix national de l’architecture. Le parcours met en lumière la trajectoire et la démarche de ce dernier, articulées autour de la notion de « paysage global » qu’il a longtemps développée dans son enseignement et ses convictions d’architecte. Tout en comprenant l’importance indiscutable de l’écoconstruction, il y a, pour l'architecte, un matériau fondamental : « l’écologie du regard ». Une sélection de ses projets est notamment à découvrir.
L'événement Pierre-Louis Faloci, Écologie du regard est référencé dans notre rubrique Architecture / Design.
ET
MUSIQUE DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE, LE TEMPS DES CERISES
Le temps des cerises
Le Temps des cerises es una canción escrita en Francia en 1866, con texto de Jean-Baptiste Clément y música de Antoine Renard. La canción está fuertemente asociada a la Comuna de París. Con posterioridad, fue dedicada por el autor a una enfermera fallecida durante la Semana Sangrienta, el episodio final de la insurrección, cuando las tropas del Gobierno francés derrocaron la comuna.1
Letra de la canción[editar]
Hay muchas versiones de la letra original. La siguiente es la versión popularizada por Yves Montand, donde ciertas variaciones aparecen puestas entre paréntesis:
Quand nous chanterons le temps des cerises (Quand nous en serons au temps des cerises)Et gai rossignol et merle moqueur
Et le souvenir que je garde au cœur !
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au cœur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur
Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreille...
Cerises d'amour aux robes pareilles (vermeilles)
Tombant sous la feuille (mousse) en gouttes de sang...
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant !
Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Évitez les belles !
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour...
Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins (peines) d'amour !
J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps-là que je garde au cœur
Une plaie ouverte !
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne pourra jamais calmer (fermer) ma douleur...
J'aimerai toujours le temps des cerises
Referencias[editar]
- ↑ A ese propósito citaremos a Louise Michel en su libro La Commune Histoire et souvenirs (1898): Al momento en que saldrían los últimos tiros, llega una joven que venía de la barricada de la calle Saint-Maur a ofrecerles sus servicios: querían alejarla de ese lugar de muerte, se quedó a pesar de la oposición de ellos. Instantes después, la barricada lanzó en una formidable explosión, toda la metralla que le quedaba desapareció en esa enorme descarga, que escuchamos desde Satory (un barrio de Versalles), los que estábamos ahí prisioneros; a la enfermera de la última barricada y de la última hora, J.-B. Clément dedicó mucho tiempo después la Canción de las Cerezas. -Nadie volvió a verla. […] La Comuna había muerto, sepultando con ella miles de héroes desconocidos.
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