Peu de partitions pour
soprano sont aussi exigeantes et complexes que celle d’Isolde. Aussi, toute
prise de rôle est en soi un événement, tant pour son interprète que pour le
spectateur venu assister à cette expérience musicale unique. Après avoir été sur
la scène de Bastille une immense Sieglinde dans La Walkyrie et plus récemment
une non moins bouleversante Elsa dans Lohengrin, Martina Serafin s’attaque
aujourd’hui au « rôle des rôles » du répertoire wagnérien dans la mythique
production de Peter Sellars et Bill Viola.
https://www.operadeparis.fr/magazine/leveil-disolde
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