viernes, 30 de junio de 2017

MORT DE SIMONE VEIL : DES OBSÈQUES OFFICIELLES MERCREDI AUX INVALIDES

Simone Veil en mai 1979. Elle était alors candidate aux élections européennes.  AFP/STAFF

Le Parisien
Politique Simone Veil
L'ancienne ministre de la Santé, à l'initiative de la loi qui a dépénalisé l'avortement, est décédée à son domicile parisien. Une cérémonie officielle aura lieu mercredi après-midi aux Invalides en présence du chef de l'Etat.

Elle était une grande figure de la politique française. Simone Veil est décédée ce vendredi matin à l'âge de 89 ans, comme l'a annoncé le site du «JDD». Son décès a été confirmé par son fils, l'avocat Jean Veil. «Ma mère est morte ce matin à son domicile.

«Elle allait avoir 90 ans le 13 juillet», a-t-il indiqué. L'été dernier, elle avait été brièvement hospitalisée pour des problèmes respiratoires. Symbole du droit des Femmes, depuis qu'elle avait fait adopter l'IVG (interruption volontaire de grossesse) au Parlement en 1975, elle s'est éteinte vers 8h15 à son domicile du 7e arrondissement de Paris.

Une «cérémonie d'obsèques officielles» sera organisée mercredi après-midi dans la cour des Invalides en présence du chef de l'Etat, Emmanuel Macron, qui prononcera un discours. «Tous les corps constitués seront invités», a précisé l'Elysée. «Le jour de la cérémonie, les drapeaux européens seront mis en berne tandis que les drapeaux français seront parés d'un crêpe noir» sur les bâtiments officiels.


En apprenant son décès, Emmanuel Macron a présenté ses«très vives condoléances à la famille de Simone Veil». «Puisse son exemple inspirer nos compatriotes, qui y trouveront le meilleur de la France», a ajouté le Président de la République. Son Premier ministre a quant à lui salué le «visage d'une République debout, humaine, généreuse».

Née en 1927 à Nice (Alpes-Maritimes), cette ancienne magistrate et académicienne avait été ministre de la Santé de 1974 à 1979 puis députée européenne (1979-1993), première présidente du Parlement européen (1979-1982). De 1993 à 1995, elle fut de nouveau ministre des Affaires sociales du gouvernement Balladur avant d'entrer au Conseil constitutionnel en 1998. 

Simone Veil avait été déportée à l'âge de 16 ans avec sa famille. Elle est devenue symbole de la Shoah lorsqu'en 1974, elle révélait publiquement sa déportation. Lors d'une inauguration, alors qu'elle glissait du ciment entre deux pierres, elle répondait à un préfet qui lui disait qu'elle maniait bien la truelle : «J'ai fait ça en déportation, ça a été mon métier.»

Son autobiographie, publiée en 2007, a été traduite dans une quinzaine de langues et venue à 550 000 exemplaires. L'auteur est élue à l'Académie française en 2008 et devient en 2010 la sixième Immortelle de l'histoire. Elle a occupé le 13ème fauteuil, celui détenu auparavant par Pierre Messmer, ancien Premier ministre, Paul Claudel ou encore Racine. Mon père, «disparu dans les pays baltes (...), révérait la langue française», se rappelait Simone Veil avec émotion dans son discours.

http://www.leparisien.fr/politique/simone-veil-est-morte-30-06-2017-7100136.php

Le discours de Simone Veil sur la loi autorisant l'IVG

jueves, 29 de junio de 2017

"MAISON CHLOÉ", LA NOUVELLE ADRESSE PARISIENNE À CONNAÎTRE

Le 2 juillet prochain, Chloé inaugurera sa maison, lieu où se côtoieront des expositions et les archives depuis les débuts, afin de se plonger dans l'univers féminin et romantique signature...
Au numéro 28 de la rue de la Baume dans le 8ème arrondissement, au cœur d'un immeuble Haussmannien et à quelques pavés de son siège situé Avenue Percier, Chloé installe sur 5 étages un espace culturel entièrement dédié à l'historique de la maison. Inaugurée le premier jour de la Fashion Week haute couture le 2 juillet, la Maison Chloé y mettra en scène son univers, son chic à la parisienne et sa féminité instinctive. La visite se poursuit au 5ème étage où sont exposées les archives remontant jusqu'en 1952, date de création de la maison parisienne. Pour l'occasion, Chloé fait appel à Judith Clark, qui a imaginé le lieu comme un musée. Lors de l'inauguration et comme première exposition, la maison rend hommage au photographe Guy Bourdin, avec l'exposition "Femininities – Guy Bourdin", qui dévoile des clichés de la maison depuis les années 50 - on notera d'ailleurs que Chloé est la marque la plus photographiée par Guy Bourdin dans Vogue Paris. Un nouveau lieu qui s'apparente à une ode à la féminité et au style romantique de la maison, représenté par Natacha Ramsay-Levi qui a pris la relève de Clare Waight Keller à la tête des collections en mars dernier.


http://www.vogue.fr/mode/news-mode/articles/maison-chloe-rue-de-la-baume-paris-archives-expositions/52645#G4VKhSmjoJlvCDb3.99

GISELLE, LE PLUS PARFAIT DES BALLETS ROMANTIQUES DANS LA VERSION INÉGALABLE D’ALICIA ALONSO. SALLE PLEYEL PARIS

Du 07 au 12 juillet 2017 : 6 représentations exceptionnelles
Giselle, jeune paysanne au cœur fragile, aime Albrecht. Elle danse en son honneur, faisant fi des remontrances de sa mère, qui lui rappelle l’histoire des Wilis, ces tristes jeunes filles transformées en fantômes pour avoir trop dansé. Amoureux éconduit par Giselle, le garde-chasse Hilarion découvre qu’Albrecht n’est autre que le duc de Silésie, fiancé à la fille du duc de Courlande. Devant tous il révèle l’identité de son rival. Giselle en perd la raison et s’effondre sans vie. Venus tour à tour se recueillir la nuit sur la tombe de Giselle, Hilarion et Albrecht sont la proie des Wilis et de leur reine, l’implacable Myrtha, qui les condamne à danser jusqu’à la mort. Sortant de sa tombe, Giselle, nouvelle Wili, tente d’intervenir. Albrecht ne sera sauvé que par les premières lueurs de l’aube qui font rentrer les Wilis dans leurs tombes.
Plus d’infos sur le site de Val Prod : www.balletnationaldecuba.valprod.fr
Les spectacles commencent à l’heure précise, les portes de la salle sont fermées dès le lever du rideau. Les spectateurs retardataires ne peuvent être placés qu’aux entractes.


https://www.sallepleyel.com/concerts-spectacles/danse/le-ballet-national-de-cuba-giselle_e86

LUMIÈRE SUR : LES RÉPÉTITIONS DE DRUMMING LIVE DRUMMING LIVE : UNE INVITATION À LA DANSE

Les percussions du minimaliste new-yorkais Steve Reich offrent une partition rythmique envoûtante à Drumming Live, pièce d’Anne Teresa De Keersmaeker créée en 1998 par la Compagnie Rosas, aujourd’hui interprétée par les danseurs de l’Opéra national de Paris. À l’instar de Rain, entrée au répertoire du Ballet en 2011, Drumming Live compte parmi les œuvres les plus abstraites de la chorégraphe, d’une grande sophistication formelle. Douze danseurs et neuf percussionnistes, baignés dans une fluorescence orange, sont habités par une pulsation obsédante et d’un état de transe semblant repousser les limites de l’espace. Tenu en haleine une heure entière, à partir d’un seul motif musical, le spectateur est pris dans la spirale d’une danse virevoltante et d’un voyage étourdissant.


En 1998, Anne Teresa De Keersmaeker crée pour les danseurs de la sa compagnie Rosas Drumming, une pièce intense et jubilatoire sur la musique envoûtante de Steve Reich, pionnier de la musique minimaliste. Sur scène, neuf danseurs se livrent à une chorégraphie éreintante aux rythmes tourbillonnants dont se dégage une profonde énergie vitale. Aujourd’hui, presque vingt-ans après, c’est au tour des danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris de s’en emparer. À cette occasion, la chorégraphe accepte de nous parler de cette pièce extrême.  


https://youtu.be/LBAmDhugS64

VADEMECUM PER LA VISIONE DI OTELLO AL CINEMA

di Caterina
Oggi, 28 Giugno, é una data che i molti melomani sparsi nel mondo aspettano. Fra poche ore verrà infatti trsmesso, in diretta cinematografica, Otello di Verdi dalla Royal Opera House di Londra.


Come ho già avuto modo di commentare su Operaclick http://www.operaclick.com/recensioni/teatrale/londra-royal-opera-house-otello , siamo di fronte ad una chiave di lettura quasi psicoanalitica. Il  Moro esordisce con  poche frasi in declamato, emerge quasi di soppiatto da una pedana che si innalza al di sopra del coro, e già lo sentiamo e vediamo umanamente esposto agli umori del popolo cipriota. Da subito l'Otello di Jonas Kaufmann ci appare come il prototipo dell'antieroe, condottiero vittorioso in battaglia ma dalla personalità spezzata in due. La sua vulnerabilità è facile preda del brutale e frontale attacco portato da Jago. Nessun contrasto è meglio riuscito di quello fra l'alfiere nefasto di Marco Vratogna, rozzo, brutale, e l'insicurezza latente del Moro. Bianco e nero, facce speculari della stessa medaglia, il rapporto fra i due avvelena e contamina l'esistenza di Otello grazie alla concertazione vibrante e drammaticamente efficace di Antonio Pappano .

Per tutti coloro che saranno al cinema questa sera vi suggerisco di prestare attenzione all'interpretazione del tenore tedesco già dal duetto d'amore del primo atto. Il condottiero dalle gonfie labbra si abbandona in grembo ad una maternale Desdemona, Maria Agresta, indifeso e totalmente in balia della sua sposa.  Lo spirito indomito, il condottiero glorioso, ha già deposto le sue armi, lasciando l'iniziativa alla donna che ha lottato per averlo.
Photo Helga Geistanger


Salto temporale: Jago ha inoculato il veleno nel corpo di Otello. In apertura di terzo atto il processo di Jaghizzazione  è già in atto e Kaufmann oscilla tra il canto mellifluo pubblico al livore degli a parte. L'insinuante datemi ancor l'eburnea mano si scontra col feroce insulto  Vi credea...quella vil cortigiana che è la sposa di Otello. La mente vacilla, tra l'angoscioso e ardente desiderio di credere Desdemona innocente e la spietata certezza della colpa. Tutto è racchiuso in poche battute, la discesa agli inferi è davanti a noi.

Il monologo successivo è il vertice interpretativo di quest'Otello londinese. Vero soliloquio,  oscilla tra l'atroce sofferenza e il selvaggio Si  bemolle acuto all'arrivo di Cassio, ricadendo nel registro grave Orror,  supplizi immondi. Kaufmann si rifugia su una passerella al di sotto della quale ascolta Jago irretire Cassio a proposito delle sue conquiste amorose. Le frasi spezzate, lo sguardo velato rivelano un Moro schiantato.

La furia trattenuta che lo porta ad architettare l'uccisione di Desdemona é da brividi. Tra frasi sibilanti indirizzate alla moglie Frenate dunque le labbra loquaci e accenti d'ira incontrollata il terzo atto di Kaufmann é un capolavoro di interpretazione.  Il suo Otello arriva a compimento proprio lungo l'arco temporale di quell'atto.


Il canto sublime della scena finale, la carezza quasi pentita alla sposa addormentata prima di impugnare la scimitarra, è la logica conseguenza di una caratterizzazione finalmente arrivata a compimento dopo due atti discontinui.

Si esce da teatro contratti, consapevoli di aver assistito ad uno spettacolo imperfetto, ma allo stesso tempo consapevoli che nessun'altra chiave di lettura del capolavoro verdiano ci appagherà dopo questa.


https://amnerisvagante.wordpress.com/2017/06/28/vademecum-per-la-visione-di-otello-al-cinema/

A LIFE OF TOSCANINI, MAESTRO WITH PASSION AND PRINCIPLES

By ROBERT GOTTLIEB

TOSCANINI
Musician of Conscience
By Harvey Sachs

On the night of June 30, 1886, Arturo Toscanini — recently turned 19 — arrived, barely on time, at the imperial opera house in Rio de Janeiro, where the touring company for which he was the principal cellist was about to perform “Aida.” Pandemonium. The unpopular lead conductor had resigned in a huff. His unpopular replacement had been shouted off the podium by the audience. There was no one else. Toscanini, who was also assistant choral master, was thrust forward by his colleagues. “Everyone knew about my memory,” he would recall, “because the singers had all had lessons with me, and I had played the piano without ever looking at the music.” He was handed a baton and just started to conduct. A triumph! Typical of the glowing reviews: “This beardless maestro is a prodigy who communicated the sacred artistic fire to his baton and the energy and passion of a genuine artist to the orchestra.” For the remaining six weeks of the tour, Harvey Sachs tells us in his biography “Toscanini: Musician of Conscience,” the maestro led the orchestra in 26 performances of 12 operas, all from memory. No one offered him a raise, and it didn’t occur to him to ask for one.
It was almost 68 years later, in April 1954, that he conducted his final concert, an all-Wagner program, at Carnegie Hall. He was 87, and decades earlier had established himself as the world’s most famous conductor — the world’s most famous musician; a “genius,” in fact, alongside such names as Einstein, Picasso and, with a backward glance, Thomas Alva Edison. Nor was this a new notion: Back in the conservatory in Parma, his hometown, “Arturo’s fellow students teased him by calling him Gèni, the dialect word for ‘genius.’”


Toscanini, circa 1890. Credit From “Toscanini: Musician of Conscience.”

Genius or not, he unquestionably was a prodigy. At school he had been assigned the cello as his instrument, and he quickly mastered it — by the time he was 14 he was playing in the Parma opera company’s orchestra. He taught himself to play the piano, the violin, the double bass. He sang, he composed, he organized and led groups of his fellow students. Everyone was aware of his astounding photographic memory and his immense powers of concentration. In his final year he was named the school’s outstanding graduate, and he was liked as well as admired. “When I look back at the years of my adolescence,” he would reminisce, “I don’t remember a day without sunshine, because the sunshine was in my soul.”

Music happened to him by accident. His good-natured if rather feckless father, Claudio — whose heart lay in his years of campaigning with Garibaldi’s army of the Risorgimento, and who made a somewhat precarious living through tailoring — and his cold and distant mother, Paola, were “musical,” but not exceptionally so. It was an elementary-school teacher who spotted little Arturo’s strong response to music and advised his parents to send him to Parma’s music conservatory, where once he was accepted as a live-in student all his expenses were taken care of — a boon to the financially strapped family.
Word of Toscanini’s South American success quickly got around, and soon he was a busy itinerant opera conductor: Turin, Bologna, Venice, Genoa, Palermo, Pisa, Rome — he was working everywhere, though undoubtedly his greatest satisfaction in those early days was playing cello for Verdi, his hero, at the 1887 premiere of “Otello.” After some years at Turin’s Regio Theater, where in 1895-96 he conducted the world premiere of “La Bohème” (he’d done the same for “Pagliacci” in Milan) and the first Italian production of “Götterdämmerung,” he was wooed away, inevitably, by La Scala, where he reigned on and off until in 1908 he left Italy to lead the Metropolitan Opera in New York. In Milan he had worked with (and disciplined) the young Caruso and Chaliapin, had forced audiences to accept darkened auditoriums, instituted a bitterly opposed policy of no encores, and had the orchestra playing in a pit rather than at stage level. He had mounted and conducted the first Italian performances of “Siegfried,” “Pelléas and Mélisande” and “Eugene Onegin.” And he had married.


Carlotta De Martini, in 1897 Credit From “Toscanini: Musician of Conscience

When Arturo met Carlotta De Martini in 1895, he was 28 and she was 18, a pretty, vivacious girl whom he pursued with all his intensity and tenacity. They married in 1897, and he liked telling people that their son Walter was born exactly nine months after the wedding: “in tempo, like a good conductor.” Two girls and another boy would follow. You could say that it was a successful marriage but not a happy one. Arturo and Carla would stay together until her death in 1951, both of them loyal to the idea of family but increasingly distanced from each other emotionally. Her messiness maddened him (“For 41 years I’ve suffered from this disorder of hers!!!”), and his serial philandering deeply wounded her. He came by his life of compulsive adultery honestly: Claudio, Arturo would say, “was a good-looking man. Women went after him. And what’s a young man to do? Some say yes, some say no.” Claudio said yes often, and Arturo, notably short though equally good-looking, said yes as well — many, many times, both as a young man and as an old one.

The most damaging of his extramarital relationships was a prolonged affair with the superb singer Rosina Storchio. The relationship was an open secret — one night when she was singing Cio-Cio San, one of her finest roles, a breeze ruffled her robes and a member of the audience shouted out, “Butterfly is pregnant with Toscanini’s child.” In 1903 Rosina gave birth to a son, Giovanni, but a mishap during the delivery left him brain-damaged, and Giovanni died at 16. Rosina never married.

In a dismaying echo of that tragedy, Arturo and Carla suffered an equally devastating loss. Their second boy, Giorgio, not yet 5, died of diphtheria while they were all in Buenos Aires, and Carla — not only drowning in grief but wildly angry because she believed her husband had been with Storchio as Giorgio was dying — packed her trunks to leave for Italy. She relented, though, as always torn between her love for her husband and her distress at the circumstances of her marriage. Besides, she had her other children to consider, Walter and her daughter, Wally. Despite her grief — or, as Sachs suggests, perhaps because of it — she determined to have another baby. But with the birth of Wanda, when Carla was 30, all sexual relations between husband and wife came to an end. As for Wanda, whose difficult disposition reminded her father of his difficult mother, she went on to marry the profoundly neurotic (and homosexual) piano virtuoso Vladimir Horowitz.

Toscanini’s relationship with Geraldine Farrar, the reigning diva of the Metropolitan Opera, was hardly a secret. She was determined to marry him, he had no intention, then or ever, of leaving Carla and the children, and it’s generally assumed that he resigned his leadership of the Met after seven years in order to escape her importunities. Among the dozens of other women with whom he was involved were other famous singers like Lotte Lehmann and Alma Gluck (and, some said, Gluck’s daughter, the writer Marcia Davenport). Carla put up with all of it — and, in fact, befriended a number of the mistresses.

One of the things that led Sachs to write a second biography of Toscanini, more than twice as long as his first (published in 1978), was the new availability of huge archives of documents and letters — in 2002 he edited “The Letters of Arturo Toscanini.” The letters cover an immense range of musical, political and personal matters, but the most astonishing ones are passionate love letters that sometimes go beyond the erotic to the pornographic. From a typical letter to Elsa Kurzbauer, with whom he was in love for many years: “Your kisses, your lips (oh! sweetness) your mouth inflame ever and evermore at the utmost my frenzy to have you under my libidinous caresses — kisses — suckings — lickings — bitings, all over your girlisch body — I am dying and lusting for every part nook — crevice — hole — holy hole of your lovely person.” Their relationship would pick up, though not quite where it had left off, 20 years later, when Elsa had escaped from Vienna to New York. “Don’t lose time,” the septuagenarian Arturo wrote to her. “Maybe before long God will take away even the little bit of virility that’s left me. And then? What misery!”

The fullest correspondence, though — almost a thousand telegrams and letters from Toscanini, adding up to something like 240,000 words — was with Ada Mainardi, a pianist with whom he was besotted for seven years, beginning in 1933. They met rarely — she was in Italy, with her cellist husband, and he was mostly in America — which may explain why the relationship in all its intensity lasted so long. These letters are a revelation of his day-to-day doings, his ideas, his feelings. And he wrote, compulsively, of his passion: “I’m like a madman, I could commit a crime!! … When, oh when, will we be able to possess each other completely, clinging together, deep inside each other, our mouths gasping, united while awaiting the supreme voluptuousness at the same moment? When — when?” His erotic impulses toward Ada grew ever stronger — and stranger. Sachs tells us that “he had begun to send her a fresh handkerchief each month, with increasingly insistent requests that she stain it with her menstrual blood and send it back to him so that he could suck it — or so he claimed — ‘since I can’t quench my thirst directly at the delightful fount,’” and apparently she often complied. To each his own.

What eventually undermined the relationship was not their geographical separation but his increasing distaste, then disgust, for her political leanings and casual anti-Semitism. “You hurt me when you say that you don’t love the Jews. Tell me, rather, that you don’t love the human race,” he wrote to her in 1939. He had been deeply moved, by his experience three years earlier, when — at no fee and paying his own expenses — he inaugurated what would become the Israel Philharmonic. By that time, he was famous throughout the world for his implacable hatred of Fascism and Nazism. One of the many ways he demonstrated his hostility to Mussolini was his defiance of the law that the Fascist Party’s anthem, “Giovinezza,” be played at the start of every public performance. In response, in 1931 he was beaten by Fascist thugs outside the opera house in Bologna, and his passport was taken from him. Only in the face of an international outcry was it returned.

In 1933, after several extraordinarily successful seasons at the Bayreuth Wagner festival — Toscanini was the first non-German conductor to perform there — he informed Winifred Wagner, Wagner’s English daughter-in-law now in charge (and a close friend of Hitler’s), that given the conditions obtaining in Germany since the Nazis had taken over earlier that year, and despite a flattering personal letter from Hitler himself, he would not be returning. “For my peace of mind, for yours, and for everyone’s, it is better not to think any longer about my coming to Bayreuth.” Nothing could better demonstrate both his unbending loyalty to principle and the astounding position he held on the world stage.

In the same spirit, early in 1938, after having triumphed for the third time at the annual Salzburg Festival, he decided that with the Germans poised to overrun Austria, he would not return. Mussolini again had his passport impounded, and again worldwide indignation forced the Duce to change his mind. On the very day that the passport was suddenly returned, the Toscaninis left Milan for America. “To flee, to flee — that was the consuming thought!” he wrote to Ada. “To flee in order to breathe freedom, life!”………………………


https://www.nytimes.com/2017/06/27/books/review/toscanini-biography-harvey-sachs.html?rref=collection%2Ftimestopic%2FClassical%20Music&action=click&contentCollection=timestopics&region=stream&module=stream_unit&version=latest&contentPlacement=2&pgtype=collection

miércoles, 28 de junio de 2017

EL VIAJE AL INFIERNO DE AMEDEO MODIGLIANI

Antonio Lucas


Modigliani, Picasso y André Salmon frente al Café de la Rotonde, Paris. JEAN COCTEAU

Se publica el libro de André Salmon que repasa la figura del pintor italiano
Llegó a París desde la Toscana con maneras de burgués y un carnet de dibujos pinzado bajo el sobaco. Había que estar en París, gran cocedero del arte. Aquella ciudad que entre el arranque del siglo XX y hasta la Segunda Guerra Mundial inventó una de las esquinas de la modernidad y despeinó Europa con un ventarrón de vanguardias. Había que estar en París. El joven Amedeo Modigliani (1884-1920) se hizo a sí mismo ese encargo, vivir aquello como si no hubiese en el mundo otra opción. Quería ser pintor. Tenía 21 años. Era judío y de buenos modales. Atesoraba un talento aún inédito y se ceñía trajes de buen paño con chaleco a juego. Alto, apuesto, callado. Salió de casa en 1906 con un dinero que le dio su madre y cuando llegó al destino pajariteó por los barrios de artistas hasta que recaló en Montmartre, en una casa cercana al Bateau-Lavoir, donde andaba Picasso junto a un planetario de poetas fundando (aún sin saberlo) una nueva astronomía.
En aquella tribu luciferina destacaba el escritor André Salmon (junto al opiómano y cabalista Max Jacob, el extraordinario Apollinaire, el flaco Cocteau, la riquísima Gertrude Stein, que les echaba de comer...). Aquel hombre alto con algo de jefe de expedición clavó la atención en el pintor italiano, siempre apartado, siempre con chicas, siempre a lo suyo en algún tabernazo. Salmon asistió en primera fila al ascenso y (velocísima) caída de Modigliani. Desde los primeros pasos huroneando alrededor de la galería/galpón de Ambroise Vollard (donde acumulaban polvo los primeros picassos, piezas de Matisse, de Cézanne, de los impresionistas y de todo aquello que sirviese para hacer fortuna) hasta los días finales de delirio o el entierro de príncipe desahuciado que le propiciaron sus amigos para vengar tanta miseria. Modigliani se dejaba ver, pero casi nadie lo quiso mirar. Empezando por Vollard, negociante implacable con andar de elefante, que fijó la atención ya demasiado tarde.París era una rueda de fuego y el joven pintor estaba dispuesto a dejarse inmolar. André Salmon fue el primero en darse cuenta. Y el más audaz para saber contarlo. Antes, mucho antes de que Modigliani fuese icono de la pintura contemporánea, comenzó a armar una biografía que sólo tomó sentido según el protagonista fue abriendo infiernos a su paso. Su manual de abismos. Hasta quedarse a vivir en uno de ellos. El libro de Salmon lleva un título casi vulgar, La apasionada vida de Modigliani. Lo recupera ahora la editorial Acantilado. Y sale de un ensayo previo: El vagabundo de Montparnasse: vida y muerte del pintor A. Modigliani, publicado por Salmon en 1939."Modigliani llevaba poco tiempo en París, pero en una sola tarde había visto y estudiado todo lo que se exponía en las galerías Georges Petit, Durand-Ruel, Vollard y Clovis Sagot. Aunque nunca dijo qué pensaba de todo aquello... Todavía no era un gran bebedor, pero sintió que necesitaba un vasito de tinto para reflexionar sobre cosas tan complejas. Le obsesionaba un cuervo de Picasso. Era como si aquel cuervo le picoteara la cabeza... Modigliani había visto una vez a Picasso, de lejos, en las inmediaciones de la place de Clichy", escribe Salmon. Picasso era un malagueño de 25 años que despertaba curiosidad y espanto en los otros artistas. Iba por la vida a una velocidad inesperada. Se hacía sitio en el arte desde donde nadie antes lo había logrado. El primer vasito de vino fue el kilómetro 0 del desbarrancadero vital en el que fue cayendo Modigliani, como aquel personaje de El bebedor de Hans Fallada. No vendía [pero en 2015 su obra Desnudo acostado alcanzó los 158 millones de euros en subasta]. No despertaba curiosidad. No había encontrado aún la voz de su pintura y sólo acumulaba fortuna entre las modelos de taller, que no sabían (ni querían) escapar de la jurisdicción de aquel italiano con ramalazos prematuros de galán vencido. "El único en aquel París que sabía vestir", dijo Picasso.La única exposición que tuvo en la ciudad, en la galería Berthe Weill (1917), fue suspendida el día de la inauguración por el escándalo que desataron sus desnudos. Modigliani había encontrado una identidad en la pintura. Retratos de mujeres de cuello infinito. Cuello rosado. Ojos vacíos. Cabeza de almendra. Asumidas desde una sensualidad de líneas suaves. Una delicadeza que a la vez tenía ráfagas de convulsión. Acumuló tantas amantes como borracheras. Cada vez más monumentales. Con Maurice Utrillo entró en las nubes de hachís. Consigo mismo, en la absenta a destajo. Cuando más ebrio mejor recitaba de memoria a Dante, antes de caer aplastado por su propia desesperación. Su intoxicación comenzó, de algún modo, el mismo día en que pisó París. Pocas biografías tan malogradas. Pocos seres tan dotados para lo nuevo y tan incapaces para asentarse. Tuvo un ángel atento en el italiano Manuel Ortiz de Zárate, que le compraba carbón una vez a la semana. Modigliani quemaba sus dibujos para calentarse. O los regalaba en los cafés. O los rompía por cualquier inseguridad imprevista. La desesperación no tenía más cima que él. Vivía en un círculo diabólico donde sólo lo acompañaba la paciente Jeanne Hébuterne, a la que conoció en un baile de disfraces cuando ella tenía 19 años. En los últimos años vivieron en un chiscón infecto. La dulce Jeanne se cultivaba por amor en el abismo. Modigliani pintaba cuando las resacas dejaban un hueco entre daño y daño. Tan sólo dos coleccionistas le ayudaron: Paul Guillaume y Zborowski. Lo demás fue miseria. Miseria y malditismo. La bohemia había quedado atrás. Y el pintor sumó la tuberculosis a la masa de su sangre. Según la destrucción lo acecha, su talento se hace más visible y poderoso. "Pero, ¿de qué moría aquel enfermo terriblemente deteriorado por el alcohol y el hachís, extenuado además por demasiadas comidas miserables, por demasiadas incomodidades y también por terribles violencias del espíritu, desde las horas de cruel meditación hasta los instantes de cólera salvaje?", escribe André Salmon. Por tuberculosis y meningitis.Ortiz de Zárate, tras varios días sin tener noticia de Amedeo y de Jeanne, decidió echar la puerta del estudio abajo. Y ahí estaban. Rodeados de botellas de vino vacías y latas de sardinas. Jeanne embarazada de ocho meses. "Bella y pura hasta dar miedo". Él seminconsciente, tronadísimo. Jeanne retratándolo a lápiz. Él diciéndole que se sumase al viaje del cielo, donde sería su modelo. "Su amigo Kisling conservaría en la memoria el terrible grito, el más desgarrador, el más estridente, pero un único grito. El que ha podido lanzar una mujer ante el cuerpo casi sin vida de su hombre". Modigliani llegó al hospital el 24 de enero de 1920 con aura de mendigo. Murió esa misma noche. Su entierro fue el más fastuoso del momento en París, financiado por los amigos. Amantes, pintores, músicos, poetas, actores, acompañaron el cadáver hasta el cementerio Père-Lachaise de París. El marchante Ambroise Vollard se acercó pocos días después del entierro a una galería de la Rue La Boétie. Colgaba dentro un desnudo pintado por Modigliani. Recordaba que por uno de esos cuadros pedían, poco tiempo atrás, 300 francos. Iba a la caza. Estaba dispuesto a pagar hasta 3.000. El galerista le dio la medida de su error: "Caballero, la tela está valorada en 300.000". Modigliani había muerto una semana antes. Jeanne se arrojó por el balcón, con el hijo en el vientre, pocos días después. Es la historia de un triunfo. Del revés.

http://www.elmundo.es/cultura/literatura/2017/06/28/5952b6b446163f31038b4642.html

EXPOSICIÓN: 'LA FICCIÓN ES UNA REALIDAD POR SUCEDER'. LLIBRERIA_BLANQUERNA

Hasta el sábado 15 de julio.
Esta exposición forma parte de Peu a fora, un ciclo de Espai 13 de la Fundació Joan Miró comisariado por Jordi Antas y producido por la Fundación Joan Miró con la colaboración de Fundación BancSabadell.


 Jordi Antas, 1976.

Vive y trabaja en Lleida.

Es comisario independiente y combina su práctica curatorial con otras actividades paralelas como la gestión cultural o la docencia. Especialmente interesado en la relación con el entorno, las estrategias de recepción, la narrativa en el arte o la funcionalidad social del artista. Es fundador y curador del espacio satélite de arte contemporáneo del Centro de Arte La Panera, Dafo Projectes en Lleida. Ha comisariado exposiciones como el ciclo expositivo Perturbaciones, Capella de Sant Roc, Valls (temporada 2013-2104); el ciclo Imposibilidades, Espacio Guinovart, Agramunt (temporada 2011-2012); La figura perfecta, Dafo, Lleida (2014); El estandarte dorado, Los Inmutables o Leyendas de combate, en Dafo, Lleida (2012-2013). Desde 2010 dirige el programa de formación en las artes visuales Demo en La Panera, Lleida.  Actualmente, forma parte del equipo del Centro de Arte La Panera, y está comisariando la temporada 2016-2017 en el Espai 13 de la Fundación Miró de Barcelona.


http://delegaciomadrid.gencat.cat/es/centre_cultural_llibreria_blanquerna/centre_cultural/activitats/activitats-centre-cultural/

COSTUMES ESPAGNOLS ENTRE OMBRE ET LUMIÈRE. HORS LES MURS DU PALAIS GALLIERA À LA MAISON DE VICTOR HUGO

Du 21 juin au 24 septembre 2017
Cette exposition est la deuxième de la Saison Espagnole du Palais Galliera, programmation qui a débuté avec « Balenciaga, l’oeuvre au noir » au musée Bourdelle (8 mars - 16 juillet 2017) et se clôturera avec la première rétrospective parisienne consacrée à Mariano Fortuny au Palais Galliera (4 octobre – 7 janvier 2018).


La Maison de l’écrivain français le plus hispanophile, Victor Hugo, accueille un remarquable ensemble de costumes traditionnels espagnols issu des collections du Museo del Traje, le Musée du Costume et du Patrimoine ethnologique à Madrid. Pour la première fois à Paris, une quarantaine de vêtements et accessoires de la fin du XVIIIe au début du XXe siècle, jadis catalogués au rang de témoignages folkloriques, révèleront le savoir-faire et l’ingéniosité de ceux qui les ont réalisés. Leur finesse d’exécution, leur impressionnante variété, ont inspiré les plus grands couturiers espagnols, comme Balenciaga.
Représentatifs de la vie en région, ils racontent l’âme des provinces espagnoles : Canaries, Andalousie, Catalogne, Majorque, Aragon, Castille, Salamanque… Emblématiques d’un métier, d’un groupe social ou culturel, d’un lieu d’origine ou encore des croyances religieuses de chacun, leur créativité ressort aujourd’hui avec force.
La scénographie met cette collection en miroir avec une importante sélection de photos de José Ortiz Echagüe (1886-1980) – ingénieur de formation, sa grande passion fut la photographie. Du Maroc espagnol, aux provinces de son pays natal, il sut saisir les paysages, les monuments, les habitants et leurs rituels avec acuité et bienveillance restituant avec force leur beauté.
Exposition organisée avec la participation exceptionnelle du Museo del Traje à Madrid
Commissaire : Olivier Saillard, directeur du Palais Galliera
#CostumesEspagnols


http://www.palaisgalliera.paris.fr/fr/expositions/costumes-espagnols-entre-ombre-et-lumiere

GOLEM ! AVATARS D’UNE LÉGENDE D’ARGIL

jusqu'au dimanche 16 juillet 2017
Cette exposition explore le riche devenir de la figure du Golem dans les arts visuels, à travers un parcours mêlant peinture, dessin, photographie, théâtre, cinéma, littérature, bande dessinée et jeu vidéo.

Avec 136 œuvres provenant de 28 institutions et prêteurs privés, cette exposition explore le riche devenir de la figure du Golem dans les arts visuels, à travers un parcours mêlant peinture, dessin, photographie, théâtre, cinéma, littérature, bande dessinée et jeu vidéo. De la présentation d’un remarquable Sefer Yetsirah (« Livre de la Création ») imprimé à Mantoue en 1612 à la projection d’extraits de Terminator 2, en passant par des œuvres de Boris Aronson, Christian Boltanski, Gérard Garouste, Antony Gormley, Philip Guston, Amos Gitaï, R.B. Kitaj ou Anselm Kiefer, l’exposition montre comment cette légende juive médiévale opère encore aujourd’hui dans un imaginaire mondialisé.
Être d’argile animé à l’aide de lettres sacrées, le Golem est l’un des mythes juifs les plus célèbres et l’une des figures majeures de la littérature fantastique. Celui que l’on a coutume de représenter sous les traits d’un géant aux pouvoirs surhumains n’a cessé de fasciner et d’endosser de multiples significations au fil du temps.

Au Moyen Âge puis à la Renaissance, c’est une entité connue des seuls mystiques, qui débattent des opérations magiques permettant de lui donner vie. Au XIXe siècle, le Golem devient une figure populaire : une créature destinée à soulager la communauté juive de travaux pénibles et à la protéger des persécutions. Mais nombre de récits insistent sur l’épisode ou cet être se retourne contre Rabbi Yehuda Loew, son créateur, et c’est à ce moment que naissent les premières images du Golem. Hugo Steiner-Prag lui donne, en 1915, une physionomie mongoloïde et inquiétante, dans les illustrations du célèbre roman de Gustav Meyrink, et Paul Wegener lui confère, dans son film de 1920, des traits qui marqueront durablement l’imagier du XXe siècle. La légende du Golem fascine les artistes, qui y voient une métaphore de leur position de créateurs face à une matière inerte à laquelle « donner vie ». D’emblée, ils soulignent l’ambivalence du personnage : être miraculeux et monstrueux à la fois, il oscille entre humanité et inhumanité, entre protection et menace.
La plasticité du mythe du Golem est à l’origine de la plupart des créatures artificielles, imaginaires ou réelles, et sa féconde descendance ne cesse de croître, notamment dans le domaine de la robotique et de l’informatique. Précurseur des superhéros et des avatars numériques, le Golem est aussi une figure qui permet de penser un monde ou l’homme pourrait perdre le contrôle sur ses inventions.
Commissariat
Ada Ackerman, Thalim-CNRS et Paul Salmona, mahJ


https://www.mahj.org/fr/programme/golem-avatars-d-une-legende-d-argile-47805

DAYS OFF, LE BLIND TEST


Days Off a 8 ans !
Testez vos connaissances en retrouvant les artistes que le festival a accueillis depuis 2010 et gagnez des places de concert !
Pour ce deuxième blindtest, focus sur l’édition 2013.
Cette semaine, 2 places à gagner pour le concert de RY X le lundi 10 juillet.


Le principe est simple :
- écoutez le morceau d’1 minute ci-dessous ;
- identifiez l’artiste et le titre (en option) pour chacun des 6 extraits de 10 secondes qui se succèdent ;
- remplissez le formulaire.
http://www.daysoff.fr/concours-blind-test