domingo, 16 de noviembre de 2014

ROBERTO ALAGNA: « MA VIE EST UN OPÉRA »



Alors qu'il a fêté ses 50 ans, le ténor français est au sommet de sa gloire, adulé des deux côtés de l'Atlan­tique. Cerise sur le gâteau, il attend une fille avec sa nouvelle compagne, la soprano polo­naise Alek­san­dra Kurzak.
Une salle debout. A l'issue de la repré­sen­ta­tion du Tosca de Puccini au Metro­po­li­tan Opera, de New York, diffu­sée en direct dans deux mille ciné­mas dans le monde, Roberto Alagna (…) ne cachait pas son plai­sir. (…) Pour ne rien gâcher, sa vie privée prend un nouveau tour­nant. Récem­ment divorcé de la soprano roumaine Angela Gheor­ghiu, il entame un nouvel épisode de vie avec la chan­teuse polo­naise Alek­san­dra Kurzak, trente-six ans, avec qui il attend une fille. Un nouveau départ sous les yeux de sa fille Ornella, vingt-deux ans.


Gala: Comment avez-vous rencon­tré Alek­san­dra?
Roberto Alagna: Sur scène, il y a un an, en jouant avec elle L'élixir d'amour, à Londres. Et l'élixir a fonc­tionné pour de vrai! En fait, on s'est rencon­trés au boulot, comme plein de gens…(…)Alek­san­dra est une très grande soprano, je ne peux vivre qu'avec quelqu'un que j'admire. Dans le fond, je m'aperçois, avec le temps, que ma vie est une sorte d'immense opéra, et je ne m'en plains pas.
Gala: De plus, vous atten­dez une fille pour février…
R.A.:Oui, j'étais ravi quand je l'ai appris. J'ai déjà une grande fille Ornella, qui a vingt-deux ans. Avec elle, ça a été un bonheur de chaque jour. Elle a très bien travaillé à l'école et, aujourd'hui, elle est dans le cinéma, assis­tante réali­sa­trice. J'espère qu'avec la prochaine, ce sera la même chose. (…)
Gala: Quel genre de papa êtes-vous avec Ornella?
R.A.: Je suis un papa hyper­cool. Je fais confiance. (…) Dans ma famille,(…) chacun a été respon­sa­bi­lisé très tôt, et je fais pareil avec ma fille.
(…)

Gala: Votre première femme est morte lorsqu'Ornella avait un an…
R.A.:Florence était bretonne, très belle, avec une santé inso­lente, jamais un rhume, rien. Du jour au lende­main, on découvre une tumeur au cerveau et elle meurt. Une injus­tice incroya­ble… (…) Je me souviens, lorsque j'ai accom­pa­gné ma fille à l'école pour la première fois, j'étais en pleurs dans la voiture. Pas parce qu'elle me quit­tait pour la jour­née, mais parce que je voyais cette enfant sans maman et que je ne savais pas comment j'allais m'en sortir.
Retrou­vez dès demain dans Gala en kiosques l'émou­vante inter­view de Roberto Alagna.

http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/roberto_alagna_ma_vie_est_un_opera_302646

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